Infirmier, j'ai du raser ma premier b***

Il était là, debout devant moi, vêtu de cette blouse fine qui laissait entrevoir la courbe de ses épaules. 27 ans, peut-être un peu moins. Grand, bien bâti, avec cette peau légèrement hâlée qui trahissait quelqu'un qui prenait soin de lui. Mais ce n'était pas sa carrure qui me frappait, c'était son regard. Un mélange de nervosité et de confiance qu’il avait déposé entre mes mains, comme s’il me donnait la clé d’une part de lui-même.

Je vais devoir vous raser pour l’opération, dis-je d’une voix que je voulais professionnelle, mais qui me sembla bien trop faible à mes propres oreilles.

Il hocha la tête et, sans dire un mot, commença à dénouer sa blouse. Mes yeux vacillèrent, tentant de se fixer ailleurs, sur le mur, sur mes instruments… Mais lorsque le tissu tomba, dévoilant sa nudité, il n’y avait plus d’échappatoire.

Il monta sur le lit, son corps entièrement exposé sous la lumière crue. Mon regard glissa malgré moi, de son torse sculpté jusqu’à son bas-ventre. Là, au centre de sa vulnérabilité, son membre, flasque mais imposant, reposait sur ses cuisses. Je sentis mes joues chauffer, une vague d’embarras me submerger, mais je me repris rapidement. C’était mon travail. Rien de plus.

Détendez-vous, lui dis-je en posant une main sur son ventre, une tentative maladroite de le rassurer.

Sa peau était chaude, tendue, et sous mes doigts je pouvais sentir la montée et la descente rapide de sa respiration. Il détourna les yeux, visiblement gêné d’être dans cette position. Mais moi ? Moi, je luttais contre quelque chose d’autre. Une chaleur qui montait en moi, une prise de conscience que je ne voulais pas nommer.

J’installai mon matériel, le rasoir électrique bourdonnant doucement dans ma main. Mes gestes étaient précis, mes yeux fixés sur mon travail, mais chaque mouvement me rappelait à quel point j’étais proche de lui, de cette partie de lui.

Je passai la lame doucement sur sa peau, sentant la résistance des poils avant qu’ils ne cèdent. Je fis tout pour rester concentré, mais le poids de la situation pesait sur moi. Sa respiration était devenue plus lente, comme s’il avait fini par s’abandonner à l’étrangeté du moment. Je l’enviais presque.

Quand j’eus terminé, je relevai les yeux. Il me regardait, et dans ce regard, il y avait quelque chose que je ne pouvais pas définir. Une reconnaissance, peut-être. Ou un reflet de ce que je ressentais moi-même, sans vraiment vouloir l’admettre.

Le 20 décembre 2024 à 08:34:45 :
j'ai bandé

Ba je dois t'avouer que moi aussi, cette expérience est troublante

Le 20 décembre 2024 à 08:34:23 :
Je suis hétéro

Relis ce que tu viens d’ecrire

Le 20 décembre 2024 à 08:41:25 :
J'ai explosé
Mais ça va si c'est en tout hétérosexualité

No Fake je suis full hétéro

J'ai été ce patient

Mais c'était une infirmière

Le 20 décembre 2024 à 08:38:58 :
Chat gpt + taré + non

C'est trop sincère pour être Chat GPT, là on sent l'amour viril entre 2 hommes totalement hétérosexuels à travers ces lignes

Le 20 décembre 2024 à 23:30:45 :
J'ai été ce patient

Mais c'était une infirmière

Raconte
Mais je pense pas que tu avais le même genre de membre que lui... Tellement gros ...

Le 20 décembre 2024 à 23:32:02 :

Le 20 décembre 2024 à 08:38:58 :
Chat gpt + taré + non

C'est trop sincère pour être Chat GPT, là on sent l'amour viril entre 2 hommes totalement hétérosexuels à travers ces lignes

Remplace "l'armour" par l'amitié virile alors ok

Le 20 décembre 2024 à 23:40:02 :

Le 20 décembre 2024 à 23:30:45 :
J'ai été ce patient

Mais c'était une infirmière

Raconte
Mais je pense pas que tu avais le même genre de membre que lui... Tellement gros ...

Une ernie testiculaire, rien de méchant mais fallait quand même une opération
Franchement, le coup de la tondeuse c'est le moment où j'ai perdu le plus de dignité

Le 20 décembre 2024 à 23:45:02 :

Le 20 décembre 2024 à 23:40:02 :

Le 20 décembre 2024 à 23:30:45 :
J'ai été ce patient

Mais c'était une infirmière

Raconte
Mais je pense pas que tu avais le même genre de membre que lui... Tellement gros ...

Une ernie testiculaire, rien de méchant mais fallait quand même une opération
Franchement, le coup de la tondeuse c'est le moment où j'ai perdu le plus de dignité

Elle en a vu d'autre

Le 20 décembre 2024 à 23:43:20 :
Les regards se sont croisés khey...