La "modération" expliquez moi votre démarche :)
Supprimé- 1
Le 16 décembre 2024 à 12:06:15 :
Post avant 410
Par le camp du bien
Le 16 décembre 2024 à 12:07:05 :
Je serais curieux de savoir quelle est cette fameuse fake news. Ça nous aiderait à mieux comprendre
Des fameux chercheurs estiment que le taux de fausses accusations de viols n'est que de 2% oui oui ci même marqué sur Wikipidia https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Accusation_infond%C3%A9e_de_viol
https://femmesdedroit.be/informations-juridiques/abecedaire/fausses-accusations-de-violences-sexuelles/
https://egalitaria.fr/le-mythe-des-fausses-accusations-de-viol/
Le debunkage Fausses accusations : <spoil> "Chercheurs" vs enquêteurs.
Dans le domaine du viol, on entend souvent dire que les fausses accusations déposées à la police seraient rares ou très rares ; il y aurait un consensus scientifique autour du chiffre de 6 % des plaintes (ou de 2 % à 10 %). C’est une question d’une actualité brûlante. En effet, nous vivons une époque où, après #Metoo, les femmes sont incitées à porter plainte tous azimuts, ce qui représenterait une salutaire « libération de la parole » des victimes.
Libération de la parole ?
Étrange euphémisme qui semble plutôt dénoter le développement d’une culture de la dénonciation1. Si les fausses accusations ne représentent pas 6 % des plaintes mais une proportion bien plus élevée de celles-ci, ce que l’on décrit comme une libération bénéfique pourrait être en réalité une psychose collective, alimentée de toutes parts, causant beaucoup plus de mal que de bien. En effet, les mis en cause à tort subissent un très grave préjudice.
Il est intéressant de noter que dans les années 1990, le chiffre présenté comme consensus scientifique était non pas de 2 à 10 % des plaintes, mais simplement de 2 %. Des dizaines d’articles scientifiques sur ce sujet citaient ce chiffre de 2 %, associé à l’idée que les fausses accusations de viol étaient donc très rares, ce qui était déjà devenu un lieu commun dans la communauté académique à cette époque. Et cela jusqu’à la parution d’un article de Edward Greer en 2000 dans la Loyola Law Review, article qui a fracassé ce « consensus » en montrant qu’il ne reposait en réalité sur aucun élément factuel.
D’abord Greer rappellait que selon certains auteurs « les féministes alarment le grand public en gonflant les statistiques » et que :
« Les estimations du nombre d’agressions sexuelles calculées par les chercheurs féministes incarnent moins un effort basé sur une démarche scientifique qu’elles ne sont une tentative de persuader le grand public de l’importance d’un problème méconnu. Elles sont générées non par des falsifications pures et simples, mais à travers un processus de distorsion plus subtil. »
Ensuite, il a essayé de trouver d’où venaient ces 2 %, en remontant la piste des citations incluses dans ces nombreux articles. Il a découvert un système extrêmement touffu de références en cascade, menant toutes au final, après de multiples incarnations, à une source orale unique n’ayant aucune valeur scientifique. Le chiffre de 2 %, présenté par la communauté académique comme étant le fruit d’un consensus scientifique, était donc totalement invalide. L’apparence de consensus provenait du nombre énorme de citations, ce qui créait, disait Greer avec ironie, un consensus de second ordre.
« [La source initiale] a été transformée par la répétition d’un article féministe à un autre jusqu’à ce que son origine problématique ait été oubliée. Ces répétitions multiples ont mené le dernier auteur dans la chaîne, Deborah L. Rhode, présidente de l’Association Américaine des Écoles de Droit, à appeler un consensus académique, ce qui n’était en réalité qu’un discours unique, non publié, cité il y a un quart de siècle par Susan Brownmiller. »
Source : https://www.contrepoints.org/2022/08/12/436780-fausses-accusations-de-viol-chercheurs-vs-police source de la source https://digitalcommons.lmu.edu/llr/vol33/iss3/3/ </spoil>
Le 16 décembre 2024 à 12:09:33 :
Le 16 décembre 2024 à 12:07:05 :
Je serais curieux de savoir quelle est cette fameuse fake news. Ça nous aiderait à mieux comprendreDes fameux chercheurs estiment que le taux de fausses accusations de viols n'est que de 2% oui oui ci même marqué sur Wikipidia https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Accusation_infond%C3%A9e_de_viol
https://femmesdedroit.be/informations-juridiques/abecedaire/fausses-accusations-de-violences-sexuelles/
https://egalitaria.fr/le-mythe-des-fausses-accusations-de-viol/Le debunkage Fausses accusations : <spoil> "Chercheurs" vs enquêteurs.
Dans le domaine du viol, on entend souvent dire que les fausses accusations déposées à la police seraient rares ou très rares ; il y aurait un consensus scientifique autour du chiffre de 6 % des plaintes (ou de 2 % à 10 %). C’est une question d’une actualité brûlante. En effet, nous vivons une époque où, après #Metoo, les femmes sont incitées à porter plainte tous azimuts, ce qui représenterait une salutaire « libération de la parole » des victimes.
Libération de la parole ?
Étrange euphémisme qui semble plutôt dénoter le développement d’une culture de la dénonciation1. Si les fausses accusations ne représentent pas 6 % des plaintes mais une proportion bien plus élevée de celles-ci, ce que l’on décrit comme une libération bénéfique pourrait être en réalité une psychose collective, alimentée de toutes parts, causant beaucoup plus de mal que de bien. En effet, les mis en cause à tort subissent un très grave préjudice.
Il est intéressant de noter que dans les années 1990, le chiffre présenté comme consensus scientifique était non pas de 2 à 10 % des plaintes, mais simplement de 2 %. Des dizaines d’articles scientifiques sur ce sujet citaient ce chiffre de 2 %, associé à l’idée que les fausses accusations de viol étaient donc très rares, ce qui était déjà devenu un lieu commun dans la communauté académique à cette époque. Et cela jusqu’à la parution d’un article de Edward Greer en 2000 dans la Loyola Law Review, article qui a fracassé ce « consensus » en montrant qu’il ne reposait en réalité sur aucun élément factuel.
D’abord Greer rappellait que selon certains auteurs « les féministes alarment le grand public en gonflant les statistiques » et que :
« Les estimations du nombre d’agressions sexuelles calculées par les chercheurs féministes incarnent moins un effort basé sur une démarche scientifique qu’elles ne sont une tentative de persuader le grand public de l’importance d’un problème méconnu. Elles sont générées non par des falsifications pures et simples, mais à travers un processus de distorsion plus subtil. »
Ensuite, il a essayé de trouver d’où venaient ces 2 %, en remontant la piste des citations incluses dans ces nombreux articles. Il a découvert un système extrêmement touffu de références en cascade, menant toutes au final, après de multiples incarnations, à une source orale unique n’ayant aucune valeur scientifique. Le chiffre de 2 %, présenté par la communauté académique comme étant le fruit d’un consensus scientifique, était donc totalement invalide. L’apparence de consensus provenait du nombre énorme de citations, ce qui créait, disait Greer avec ironie, un consensus de second ordre.
« [La source initiale] a été transformée par la répétition d’un article féministe à un autre jusqu’à ce que son origine problématique ait été oubliée. Ces répétitions multiples ont mené le dernier auteur dans la chaîne, Deborah L. Rhode, présidente de l’Association Américaine des Écoles de Droit, à appeler un consensus académique, ce qui n’était en réalité qu’un discours unique, non publié, cité il y a un quart de siècle par Susan Brownmiller. »
Source : https://www.contrepoints.org/2022/08/12/436780-fausses-accusations-de-viol-chercheurs-vs-police source de la source https://digitalcommons.lmu.edu/llr/vol33/iss3/3/ </spoil>
C'est pas une fake news
Le 16 décembre 2024 à 12:10:53 :
Le 16 décembre 2024 à 12:09:33 :
Le 16 décembre 2024 à 12:07:05 :
Je serais curieux de savoir quelle est cette fameuse fake news. Ça nous aiderait à mieux comprendreDes fameux chercheurs estiment que le taux de fausses accusations de viols n'est que de 2% oui oui ci même marqué sur Wikipidia https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Accusation_infond%C3%A9e_de_viol
https://femmesdedroit.be/informations-juridiques/abecedaire/fausses-accusations-de-violences-sexuelles/
https://egalitaria.fr/le-mythe-des-fausses-accusations-de-viol/Le debunkage Fausses accusations : <spoil> "Chercheurs" vs enquêteurs.
Dans le domaine du viol, on entend souvent dire que les fausses accusations déposées à la police seraient rares ou très rares ; il y aurait un consensus scientifique autour du chiffre de 6 % des plaintes (ou de 2 % à 10 %). C’est une question d’une actualité brûlante. En effet, nous vivons une époque où, après #Metoo, les femmes sont incitées à porter plainte tous azimuts, ce qui représenterait une salutaire « libération de la parole » des victimes.
Libération de la parole ?
Étrange euphémisme qui semble plutôt dénoter le développement d’une culture de la dénonciation1. Si les fausses accusations ne représentent pas 6 % des plaintes mais une proportion bien plus élevée de celles-ci, ce que l’on décrit comme une libération bénéfique pourrait être en réalité une psychose collective, alimentée de toutes parts, causant beaucoup plus de mal que de bien. En effet, les mis en cause à tort subissent un très grave préjudice.
Il est intéressant de noter que dans les années 1990, le chiffre présenté comme consensus scientifique était non pas de 2 à 10 % des plaintes, mais simplement de 2 %. Des dizaines d’articles scientifiques sur ce sujet citaient ce chiffre de 2 %, associé à l’idée que les fausses accusations de viol étaient donc très rares, ce qui était déjà devenu un lieu commun dans la communauté académique à cette époque. Et cela jusqu’à la parution d’un article de Edward Greer en 2000 dans la Loyola Law Review, article qui a fracassé ce « consensus » en montrant qu’il ne reposait en réalité sur aucun élément factuel.
D’abord Greer rappellait que selon certains auteurs « les féministes alarment le grand public en gonflant les statistiques » et que :
« Les estimations du nombre d’agressions sexuelles calculées par les chercheurs féministes incarnent moins un effort basé sur une démarche scientifique qu’elles ne sont une tentative de persuader le grand public de l’importance d’un problème méconnu. Elles sont générées non par des falsifications pures et simples, mais à travers un processus de distorsion plus subtil. »
Ensuite, il a essayé de trouver d’où venaient ces 2 %, en remontant la piste des citations incluses dans ces nombreux articles. Il a découvert un système extrêmement touffu de références en cascade, menant toutes au final, après de multiples incarnations, à une source orale unique n’ayant aucune valeur scientifique. Le chiffre de 2 %, présenté par la communauté académique comme étant le fruit d’un consensus scientifique, était donc totalement invalide. L’apparence de consensus provenait du nombre énorme de citations, ce qui créait, disait Greer avec ironie, un consensus de second ordre.
« [La source initiale] a été transformée par la répétition d’un article féministe à un autre jusqu’à ce que son origine problématique ait été oubliée. Ces répétitions multiples ont mené le dernier auteur dans la chaîne, Deborah L. Rhode, présidente de l’Association Américaine des Écoles de Droit, à appeler un consensus académique, ce qui n’était en réalité qu’un discours unique, non publié, cité il y a un quart de siècle par Susan Brownmiller. »
Source : https://www.contrepoints.org/2022/08/12/436780-fausses-accusations-de-viol-chercheurs-vs-police source de la source https://digitalcommons.lmu.edu/llr/vol33/iss3/3/ </spoil>
C'est pas une fake news
Qu est ce qui est pas une fake news ? Les 2% ?
https://digitalcommons.lmu.edu/llr/vol33/iss3/3/ bonne lecture le bot feminazi.
Le 16 décembre 2024 à 12:14:14 :
L'O.P tu crois vraiment que les modos ont encore du pouvoir ? Ca fait belle lurette qu'ils n'en n'ont quasi plus , d'ailleurs le poste ne sert plus a rien vu que tout passe par les admins .
C'est donc les admins qui s'occupent de la modération donc je veux comprendre leur démarche
- 1
Données du topic
- Auteur
- reveilchinois
- Date de création
- 16 décembre 2024 à 12:04:49
- Date de suppression
- 16 décembre 2024 à 13:14:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
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- Nb. messages JVC
- 12