L'Adam pose de nouveaux problèmes aux professionnels de la médecine.
L'évolution de nos outils entraine celle de nos canons esthétiques.
Voyez-vous, jadis, j'étais heureux d'enlever une verrue ou de révéler l'être humain qui se cachait derrière le monstre de foire. Mais c'était avant. Nous faisions, n'est-ce-pas, avec les moyens du bord...
Avec l'Adam, la chair même redevient cette argile originelle, ce matériau brut, riche d'une infinité de possible ! Ne serait-ce pas criminel de notre part de ne pas sculpter cet argile, encore et encore, jusqu'à ce que l'œuvre soit là, devant nous, inondée de sa perfection.