Le staff de ubisoft
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ça se ressens dans les jeux
nonobstant je m'amuse bien sur farcry
Le wokisme est sans conteste la cause principale des échecs que traverse l'industrie vidéoludique, peu importe ce qu’on en dit. Ce qui coule le secteur du jeux vidéo, c’est sa politique de recrutement axée uniquement sur la diversité et l'inclusion (DEI), où les compétences sont reléguées au second plan au profit du score ESG.
Résultat : ils recrutent n’importe qui, majoritairement des activistes plus intéressés par l’imposition de leur idéologie que par le jeu vidéo. Ces gens méprisent les joueurs, souvent des hommes Blancs hétéros peu enclins aux délires Progressistes alors que ce sont eux qui faisaient autrefois de cette culture une niche unique
Ces militants n’ont rien à faire dans l’industrie du jeu vidéo ou dans la culture en général. Ils y ont vu une opportunité de diffuser leur propagande politique parce que cette industrie rapporte gros et attire une communauté massive. Mais en leur laissant carte blanche, on en arrive à l’effacement de tout ce qui faisait l’essence des jeux vidéo. Les vrais passionnés se retrouvent exclus de leur propre culture. Tout a commencé quand le jeu vidéo est devenu plus mainstream, avec des jeux de plus en plus faciles pour plaire à un public casual. Cette "casualisation" a entraîné des jeux à licence simplistes, avec des scénarios pauvres, un gameplay médiocre et une uniformisation flagrante. La tendance s’est accentuée au cours des dix dernières années, avec une politisation excessive : inclusivité forcée, diversité omniprésente, et des personnages définis uniquement par leur couleur de peau, leur genre ou leur orientation sexuelle, au détriment d’histoires bien construites
Le wokisme est donc au cœur du problème du déclin qualitatif de l'écriture et de la créativité dans l’industrie du jeu vidéo actuelle
Le 26 novembre 2024 Ă 16:26:01 :
Le wokisme est sans conteste la cause principale des échecs que traverse l'industrie vidéoludique, peu importe ce qu’on en dit. Ce qui coule le secteur du jeux vidéo, c’est sa politique de recrutement axée uniquement sur la diversité et l'inclusion (DEI), où les compétences sont reléguées au second plan au profit du score ESG.
Résultat : ils recrutent n’importe qui, majoritairement des activistes plus intéressés par l’imposition de leur idéologie que par le jeu vidéo. Ces gens méprisent les joueurs, souvent des hommes Blancs hétéros peu enclins aux délires Progressistes alors que ce sont eux qui faisaient autrefois de cette culture une niche uniqueCes militants n’ont rien à faire dans l’industrie du jeu vidéo ou dans la culture en général. Ils y ont vu une opportunité de diffuser leur propagande politique parce que cette industrie rapporte gros et attire une communauté massive. Mais en leur laissant carte blanche, on en arrive à l’effacement de tout ce qui faisait l’essence des jeux vidéo. Les vrais passionnés se retrouvent exclus de leur propre culture. Tout a commencé quand le jeu vidéo est devenu plus mainstream, avec des jeux de plus en plus faciles pour plaire à un public casual. Cette "casualisation" a entraîné des jeux à licence simplistes, avec des scénarios pauvres, un gameplay médiocre et une uniformisation flagrante. La tendance s’est accentuée au cours des dix dernières années, avec une politisation excessive : inclusivité forcée, diversité omniprésente, et des personnages définis uniquement par leur couleur de peau, leur genre ou leur orientation sexuelle, au détriment d’histoires bien construites
Le wokisme est donc au cœur du problème du déclin qualitatif de l'écriture et de la créativité dans l’industrie du jeu vidéo actuelle
Merci a tout le golems qui investissent en bourse pour rendre BlackRock toujours plus riche et puissant
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Données du topic
- Auteur
- Quaasared
- Date de création
- 26 novembre 2024 Ă 16:11:25
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