Sur l’application Telegram, le nombre d’abonnés à ces gang bangs est passé de 2 000 à près de 2 500. « (Cet article) nous a fait une pub d’enfer », a fanfaronné « Z » quelques jours après ce qu’il nomme « THE article, sur nos soucis de voisinage. » Car dans ce quartier où le mètre carré vaut parfois plus de 10 000 euros, ces événements dans les locaux commerciaux du sous-sol dérangent. « On a seulement eu droit à quelques jours de répit fin novembre », regrette une mère vivant dans les étages, qui ne voit pas là du libertinage « mais une pratique dégradante pour la femme ».