Ma caissière : "Si les enfants étaient mis au monde par un acte de raison pure ...
Le 24 novembre 2024 à 19:43:18 :
Le 24 novembre 2024 à 19:36:31 :
... la race humaine continuerait-elle d'exister ? L'Homme ne préférerait-il pas avoir assez de sympathie pour la génération à venir pour lui épargner le fardeau de l'existence ? ou, en tout cas, ne pas prendre sur lui de lui imposer ce fardeau de sang-froid."Elle m'a dit ça alors qu'elle scannait mes gousses de vanille (je prépare du rhum arrangé), franchement sur le coup je m'y attendais pas du tout alors j'ai répondu sèchement "Ça suffit !" et je suis parti en fronçant les sourcils
Vous êtes d'accord avec elle ou pas ? Elle a eu raison de me dire ça ?
"Madame, votre question soulève des abîmes de réflexion que peu d'entre nous osent sonder. Si la raison pure devait guider nos actes, peut-être que chaque âme à naître serait pesée sur la balance de la souffrance et de la joie. Mais l'existence humaine n'est-elle pas un mélange inextricable des deux ? En choisissant de ne pas imposer le fardeau de la vie, ne privons-nous pas aussi de la possibilité de connaître l'amour, la créativité et la découverte ?
La vie est un pari, un acte de foi en l'avenir. Chaque naissance est une promesse, une potentialité infinie. Certes, la souffrance est inévitable, mais n'est-ce pas dans cette lutte que nous trouvons notre humanité ? La question de la procréation est peut-être moins une affaire de raison pure que de courage et d'espoir.
En fin de compte, peut-être que la véritable sagesse réside non pas dans l'évitement de la souffrance, mais dans l'acceptation de celle-ci comme une partie intégrante de notre condition humaine. Et qui sait, peut-être que dans cette acceptation, nous trouvons la force de créer un monde où la joie peut fleurir malgré tout."
https://vocaroo.com/13bWo2qHSxuO
Ma caissière à l'instant : "l'âme ne vit qu'en fuyant les choses donc la convoitise la fait périr"
Elle m'a sortit ça pendant qu'elle bippait mon paquet de trésor, c'est giga déplacé non?
Elle n'avait pas à dire ça ! Je condamne fermement.
Le 24 novembre 2024 à 19:45:16 Bra_Tac a écrit :
Le 24 novembre 2024 à 19:36:31 :
... la race humaine continuerait-elle d'exister ? L'Homme ne préférerait-il pas avoir assez de sympathie pour la génération à venir pour lui épargner le fardeau de l'existence ? ou, en tout cas, ne pas prendre sur lui de lui imposer ce fardeau de sang-froid."Elle m'a dit ça alors qu'elle scannait mes gousses de vanille (je prépare du rhum arrangé), franchement sur le coup je m'y attendais pas du tout alors j'ai répondu sèchement "Ça suffit !" et je suis parti en fronçant les sourcils
Vous êtes d'accord avec elle ou pas ? Elle a eu raison de me dire ça ?
"Madame, votre question soulève des abîmes de réflexion que peu d'entre nous osent sonder. Si la raison pure devait guider nos actes, peut-être que chaque âme à naître serait pesée sur la balance de la souffrance et de la joie. Mais l'existence humaine n'est-elle pas un mélange inextricable des deux ? En choisissant de ne pas imposer le fardeau de la vie, ne privons-nous pas aussi de la possibilité de connaître l'amour, la créativité et la découverte ?
La vie est un pari, un acte de foi en l'avenir. Chaque naissance est une promesse, une potentialité infinie. Certes, la souffrance est inévitable, mais n'est-ce pas dans cette lutte que nous trouvons notre humanité ? La question de la procréation est peut-être moins une affaire de raison pure que de courage et d'espoir.
En fin de compte, peut-être que la véritable sagesse réside non pas dans l'évitement de la souffrance, mais dans l'acceptation de celle-ci comme une partie intégrante de notre condition humaine. Et qui sait, peut-être que dans cette acceptation, nous trouvons la force de créer un monde où la joie peut fleurir malgré tout."
En quoi quelqu'un qui n'existe pas aurait besoin de connaître l'amour ? Bizarre ta réponse je trouve
no fake j'ai demandé à la copine de mon frère qui est caissière chez action elle a un BEP vente, bon en gros voilà sa réponse, je la reproduis à peu près comme elle a répondu :
Si la procréation devenait un acte purement rationnel, il est fort probable que la population mondiale diminuerait considérablement : la raison pourrait nous inciter à peser les coûts et les bénéfices de la parentalité de manière très froide. Les considérations économiques, environnementales et sociales pourraient l'emporter sur le désir d'avoir des enfants.
Il est difficile d'affirmer avec certitude que la race humaine s'éteindrait. L'instinct de survie est profondément ancré en nous, et il pourrait y avoir des individus qui choisiraient de procréer malgré les raisons rationnelles de ne pas le faire. De plus, les avancées technologiques pourraient permettre de contourner les limites biologiques et de maintenir la population à un niveau stable.
L'idée que l'on pourrait épargner aux générations futures le "fardeau de l'existence" est séduisante, mais elle repose sur une vision pessimiste de la vie. Si la raison nous incite à voir la vie comme une succession de souffrances et de difficultés, il est compréhensible que nous ne souhaitions pas faire naître d'autres êtres dans ce monde.
Cependant, la vie n'est pas uniquement faite de souffrances. Elle est aussi source de joie, d'amour, de création et de sens. En choisissant de ne pas avoir d'enfants par peur de leur faire subir les mêmes souffrances que nous, nous risquons de nier cette part positive de l'existence.
La décision d'avoir un enfant est souvent motivée par des sentiments d'amour, de désir et d'attachement. Ces émotions jouent un rôle fondamental dans la construction de nos identités et de nos relations sociales. Une société où la reproduction serait uniquement motivée par la raison risquerait de perdre une part importante de son humanité.
Si nous considérons que chaque vie humaine a une valeur intrinsèque, alors nous sommes tenus de la préserver. En choisissant de ne pas avoir d'enfants, nous limitons la diversité génétique et culturelle de l'espèce humaine.
En ayant des enfants, nous transmettons non seulement nos gènes mais aussi nos valeurs, notre culture et notre savoir. Nous avons une responsabilité envers les générations futures de leur offrir un monde meilleur.
Donc, la question de savoir si la race humaine continuerait d'exister si la procréation était un acte purement rationnel est complexe et ne peut recevoir de réponse définitive. Elle nous invite à réfléchir sur notre place dans le monde, sur le sens que nous donnons à la vie et sur les valeurs que nous souhaitons transmettre aux générations futures.
Le 24 novembre 2024 à 19:45:39 BlocMajoritaire a écrit :
https://vocaroo.com/13bWo2qHSxuOMa caissière à l'instant : "l'âme ne vit qu'en fuyant les choses donc la convoitise la fait périr"
Elle m'a sortit ça pendant qu'elle bippait mon paquet de trésor, c'est giga déplacé non?
Elle n'avait pas à dire ça ! Je condamne fermement.
Par curiosité c'est quels trésors que tu achètes ?
Le 24 novembre 2024 à 19:48:22 :
Le 24 novembre 2024 à 19:45:16 Bra_Tac a écrit :
Le 24 novembre 2024 à 19:36:31 :
... la race humaine continuerait-elle d'exister ? L'Homme ne préférerait-il pas avoir assez de sympathie pour la génération à venir pour lui épargner le fardeau de l'existence ? ou, en tout cas, ne pas prendre sur lui de lui imposer ce fardeau de sang-froid."Elle m'a dit ça alors qu'elle scannait mes gousses de vanille (je prépare du rhum arrangé), franchement sur le coup je m'y attendais pas du tout alors j'ai répondu sèchement "Ça suffit !" et je suis parti en fronçant les sourcils
Vous êtes d'accord avec elle ou pas ? Elle a eu raison de me dire ça ?
"Madame, votre question soulève des abîmes de réflexion que peu d'entre nous osent sonder. Si la raison pure devait guider nos actes, peut-être que chaque âme à naître serait pesée sur la balance de la souffrance et de la joie. Mais l'existence humaine n'est-elle pas un mélange inextricable des deux ? En choisissant de ne pas imposer le fardeau de la vie, ne privons-nous pas aussi de la possibilité de connaître l'amour, la créativité et la découverte ?
La vie est un pari, un acte de foi en l'avenir. Chaque naissance est une promesse, une potentialité infinie. Certes, la souffrance est inévitable, mais n'est-ce pas dans cette lutte que nous trouvons notre humanité ? La question de la procréation est peut-être moins une affaire de raison pure que de courage et d'espoir.
En fin de compte, peut-être que la véritable sagesse réside non pas dans l'évitement de la souffrance, mais dans l'acceptation de celle-ci comme une partie intégrante de notre condition humaine. Et qui sait, peut-être que dans cette acceptation, nous trouvons la force de créer un monde où la joie peut fleurir malgré tout."
En quoi quelqu'un qui n'existe pas aurait besoin de connaître l'amour ? Bizarre ta réponse je trouve
C'est justement ça le problème de votre nihilisme
Vous n'espérez et croyez en rien, vous voulez jouir ad vitam eternam
Le 24 novembre 2024 à 19:50:03 Bra_Tac a écrit :
Le 24 novembre 2024 à 19:48:22 :
Le 24 novembre 2024 à 19:45:16 Bra_Tac a écrit :
Le 24 novembre 2024 à 19:36:31 :
... la race humaine continuerait-elle d'exister ? L'Homme ne préférerait-il pas avoir assez de sympathie pour la génération à venir pour lui épargner le fardeau de l'existence ? ou, en tout cas, ne pas prendre sur lui de lui imposer ce fardeau de sang-froid."Elle m'a dit ça alors qu'elle scannait mes gousses de vanille (je prépare du rhum arrangé), franchement sur le coup je m'y attendais pas du tout alors j'ai répondu sèchement "Ça suffit !" et je suis parti en fronçant les sourcils
Vous êtes d'accord avec elle ou pas ? Elle a eu raison de me dire ça ?
"Madame, votre question soulève des abîmes de réflexion que peu d'entre nous osent sonder. Si la raison pure devait guider nos actes, peut-être que chaque âme à naître serait pesée sur la balance de la souffrance et de la joie. Mais l'existence humaine n'est-elle pas un mélange inextricable des deux ? En choisissant de ne pas imposer le fardeau de la vie, ne privons-nous pas aussi de la possibilité de connaître l'amour, la créativité et la découverte ?
La vie est un pari, un acte de foi en l'avenir. Chaque naissance est une promesse, une potentialité infinie. Certes, la souffrance est inévitable, mais n'est-ce pas dans cette lutte que nous trouvons notre humanité ? La question de la procréation est peut-être moins une affaire de raison pure que de courage et d'espoir.
En fin de compte, peut-être que la véritable sagesse réside non pas dans l'évitement de la souffrance, mais dans l'acceptation de celle-ci comme une partie intégrante de notre condition humaine. Et qui sait, peut-être que dans cette acceptation, nous trouvons la force de créer un monde où la joie peut fleurir malgré tout."
En quoi quelqu'un qui n'existe pas aurait besoin de connaître l'amour ? Bizarre ta réponse je trouve
C'est justement ça le problème de votre nihilisme
Vous n'espérez et croyez en rien, vous voulez jouir ad vitam eternam
Pas de réponse à la question du coup ? Dacodac
Mon billetiste au moment de déchirer le ticket au moment d aller voir un petit truc en plus
"Si notre condition était véritablement heureuse, il ne faudrait pas nous divertir d y penser "
Il m a gâcher la séance ce fdp on est d accord qu il n avait pas a dire ça
Le 24 novembre 2024 à 20:00:07 KIeamolette29 a écrit :
Mon billetiste au moment de déchirer le ticket au moment d aller voir un petit truc en plus"Si notre condition était véritablement heureuse, il ne faudrait pas nous divertir d y penser "
Il m a gâcher la séance ce fdp on est d accord qu il n avait pas a dire ça
Moi au contraire je pense qu'il a eu raison de te dire ça
Données du topic
- Auteur
- avortax3000
- Date de création
- 24 novembre 2024 à 19:36:31
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