Topic de Groled :

Cours d’éducation sex**lle à 9ans

Je suis bien content de ne pas avoir été gosse à cette époque de timbrés
En 2040 ça poussera le bouchon encore plus loin vous allez voir not ready

Le 23 novembre 2024 à 22:04:53 :
Ça me rappelle ma 4eme debut 2000....

Ma prof de français nous avez fait une dictée qui avait été deja été présenter pour le brevet des collèges en 3 eme techno

Toutes la classe a eu minimum 18/20

Maintenant même les intelos de cette génération en coursus général n'a même plus le niveau college techno...

À quoi c'est due à votre avis ?

Car la tiktokeusz illettrée elle fait plus de cash que toi qui se vante de réussir ta dictée.

On fuck le smic ici, pas perdre du temps avec des conneries.

Les pauvres enfants qui n'ont rien demandé et des adultes complètement siphonnés ont décidé de les emmerder et de leur pourrir leur enfance avec leurs obsessions.

Le 24 novembre 2024 à 02:38:11 :

Le 24 novembre 2024 à 02:26:06 :
J'ai des amis de primaire qui se sont fait "violer" par un gamin qui lui même se faisait violer par son père. Le gamin reproduisait les actes de son père sur ses amis. Les gamins impliqués ne comprenaient pas que jouer avec la bite de son pote c'était pas anodin, tout simplement parce que personne ne leur avait jamais dit.

Si ils avaient eu un cours d'éducation sexuelle jeunes ils auraient évité ça.

Les gens contre ces cours vous vous êtes juste fait retourner le cerveau par des post twitter à 2 balles. Il n'y a rien de mieux pour apprendre aux gamins à se défendre et éviter les agressions.

Je sais pas vous êtes né en quelle années mais j'avais déjà des cours d'éducation sexuelle en primaire, et c'était une farce
On devait tous écrire une question sur un bout de papier et ensuite le prof y répondait, personne ne posait de questions sérieuses https://image.noelshack.com/fichiers/2023/08/2/1677008789-zidane-2000.png

C'était une farce parce que ce n'était pas pris au sérieux. Ce n'est pas pris au sérieux parce que, dans les faits, les adultes eux-mêmes n'étaient même pas prêts à expliquer ce genre de trucs aux enfants en général.

De plus, ces choses sont souvent faites à l'initiative des instit et ne possèdent pas le mandat de l'éducation nationale. Sinon on se taperait un autre attentat à la Paty la seconde ou ça parlerait trop de capotes en CM2.

Le 23 novembre 2024 à 22:25:50 :

Le 23 novembre 2024 à 22:20:58 :

Le 23 novembre 2024 à 21:56:09 :

Le 23 novembre 2024 à 21:40:22 :
Pourquoi tu veux pas qu'on explique le concept du consentement aux enfants l'op ? :)

Ce genre de discours n’a rien à faire dans une classe de CM2

Mdrr en CM2 on parlait déjà de cul à la récré

Faut se réveiller un peu les boomers, la plupart des gamins regardent du porno avant le collège

Et même si j'avais pas accès au porno à cet âge, je me branlais sur des bd pour adulte dès 9 ans

Les daronne qui font les choquées sur les propos de l'infirmière alors que c'est le gamin qui a posé la question :rire:

Le même genre de parents qui n'osent pas aborder ce genre de sujet à leurs enfants et s'étonnent que leur gamin fasse n'importe quoi arrivé à la puberté

Ok t’es un détraqué, t’es comme ceux qui se dépucèlent à 13 ans. Faut bien te rappeler que ce n’est pas normal dans une société supposée être développée comme la nôtre. Et après on se demande pourquoi on se casse la gueule.

Ce qui est pas normal c'est d'etre toujours puceau a 35 ans également celestin

Le 24 novembre 2024 à 02:40:30 :

Le 24 novembre 2024 à 02:32:07 :

Encore une fois, cette opinion d'abruti complet qui consiste à dire que parce qu'un truc résoud le problème que partiellement doit être complètement oublié c'est une dinguerie.

A situations merdiques égale, je préfère qu'un gamin soit capable de savoir qu'il lui arrive quelque chose d'inacceptable en société et qu'il aille se plaindre qu'un gamin qui n'ait pas cette information et qui se retrouve à pleurer et souffrir en silence parce qu'il croit "qu'il a fait une bêtise".

L'amélioration de cette situation merdique ou les parents et autres mettent la culpabilité sur l'enfant est également un autre problème à résoudre. Mais rien n'empêche de participer activement à résoudre les 2 et il est factuel qu'il y a des gens qui sont actuellement défenseurs de ces victimes et qui font leur boulot autant se faire que peu. Nier ça c'est une dinguerie du plus haut degré.

S'il y a un seul gamin qui est sauvé par ces mesures, alors la mesure est justifiée. La quantité de gens ici qui croient que le silence sur ce sujet avant les années 2000 était une bonne chose devraient aller dans des pays ou c'est encore le cas, en Asie et en Afrique, voir si ça leur a réussi.

Sauf que t'en sais rien si ta mesure ne dessert pas plus les enfants qu'elle ne les serts.

Et pour l'instant au vu des chiffres elle montre que non.

La dinguerie c'est de croire aveuglement (on est proche de l'idéologie là et l'idéologie ne sert jamais la justice dans ce cas) qu'une mesure est bénéfique alors que les chiffres ne montrent aucune amélioration depuis la mise en place, au contraire.

Tu veux traiter d'un problème ? Tu attaques la source.

Ce qui est débile c'est de prendre des courbe et essayer d'en extrapoler un lien de causalité, sans regarder la réalité (ou en omettant une grande partie).

Ex : quand on a un QI peu développé on peut se dire qu'il y a eu beaucoup plus de viols depuis 2015. Quand on comprend ce qu'il s'est passé en 2015 (mouvement metoo) on comprend que le nombre de viol était constant, mais c'est les plaintes qui ont augmenté. Sans plainte, pas de stat de viol enregistré.

Il n'y avait pas moins de viols ou d'inceste avant, ils étaient juste jamais déclarés, parce qu'il n'y avait aucune raison pour les victimes de se manifester avec les mentalités et les lois de l'époque.

Comment tu sais que le nombre de viols est constant alors que tu dis toi même qu'ils étaient pas déclaré donc pas de chiffres ? https://image.noelshack.com/fichiers/2023/08/2/1677008789-zidane-2000.png

Parce que tu isoles tes variables.

Si le seul truc qui a changé entre une année à l'autre c'est qu'un mouvement social a poussé les langues à se délier, mais qu'aucun autre facteur n'a été modifié, et qu'un mouvement social qui pousse les langues à se délier n'augmente pas le nombre de viols commis, la conclusion est assez simple.

Mais bon, pour comprendre ça faut pas être desco

Le 24 novembre 2024 à 02:37:39 :

Le 24 novembre 2024 à 02:31:41 :
Le développement de l'enfant, l'accès à l'autonomie, à sa propre intimité, l'empathie, à son propre désir séparé de l'autre, ça ne se fait pas par des cours. Je sais pas, lisez au bout d'un moment les débiles qui pensent qu'il en ressort quelques chose de ces cours sur la sexualité.

On peut faire des cours de maths, d'histoire, français, car basés sur des faits ou un langage mathématiques ou linguistiques. Mais à aucun moment tu peux faire un cours pour apprendre à un gamin ce qu'est le consentement.

Les femmes battues savent ce qu'est le consentement ? Oui
Est-ce que ça les empêche de l'être ? Non

Car cela relève de processus psychologique conscient et inconscient qui dépassent la connaissance intellectuelle d'une définition dont aurait besoin un enfant pour comprendre que se faire doigter c'est mal.

Même un psy sait qu'il est vain de faire un interventionnisme forcené avec un enfant en lui expliquant les choses, mais qu'il est préférable qu'il comprenne de lui même. Faut sortir de ce paradigme consistant à prendre les enfants pour des débiles en attente de recevoir le savoir des adultes.

Ne me crois pas si tu ne veux pas, mais je t'assure que je connais plein de gens qui étaient en primaire avec moi qui se touchaient la bite entre eux et n'y voyaient rien de mal. Personne n'a forcé personne, c'était juste des gamins innocents qui ne voyaient pas ce qu'il y avait de mal car à leur yeux rien n'était négatif. Il a fallu que les parents le découvrent et leur fasse la morale pour qu'ils comprennent que c'est pas du tout un geste anodin.

Un simple cours sur le consentement et toute cette histoire aurait pu être évitée.

Oui et alors ? C'est arrivé en 6eme que des gamins se masturbent également, ça s'est su et ils le savaient au fond très bien qu'ils touchaient à une limite. Et heureusement l'école a agis, c'est justement ça éduquer, mettre des limites.

Mais mettre des limites, ce n'est pas faire une intervention sur ce qu'est le consentement, désolé khey mais je pense que comme beaucoup ici tu confonds d'une éduquer et enseigner, car si tu savais ce qu'est éduquer tu éviterais de parler d'éducation sexuelle.

Et les parents n'ont pas à faire de morale, mais imposer des limites, un cadre pour la vie en société, donc ici pour ton exemple il s'agit de la pudeur et l'exhibition de son désir en groupe, une sexualité de groupe. Ils le savent tres bien. La pudeur là encore ça ne s'apprend pas de manière intellectuelle, l'enfant va de lui même comprendre la nécessité de cacher certaines choses aux parents ce qui va développer son individualité, son intimité. Mais peut être a t'il besoin de l'intervention de cette dame car ils sont trop cons pour comprendre.

L'église joue de la morale et de la peur, éduquer c'est pas dire c'est bien, c'est mal, c'est pas beau d'utiliser sa main pour se masturber, éduquer c'est permettre à un enfant d'accéder à l'autonomie, c'est pour moi déficient quand des ado sont incapables de faire des choix par eux mêmes, sont assistés, ça dépasse le cadre du consentement et de la sexualité.

Et le consentement implique une connaissance de soi suffisante pour comprendre son désir, ce que l'on veut et ne veut pas. La plupart des femmes qui disent aujourd'hui avoir subi un viol, ne pas avoir su exprimer leur non consentement, c'est une histoire d'éducation, pas de manque de leçon ou d'éducation sexuelle.

T'as Judith godreche, deux parents psy, donc la sexualité ça ne devait pas être tabou dans son milieu psy et bourgeois, et pourtant aujourd'hui seulement elle s'en prend à un mec qu'elle a sucé. C'est juste une question d'éducation, de parents absents, de petite fille avec des désirs encore immature envers un homme plus âgé qui a profité de sa naïveté, et l'éducation doit mettre une barrière entre le langage des adultes de passion et celui des enfants.

Tu le sais comment que suivre le monsieur dans sa camionnette avec ses sucettes c'est pas à faire et que dire oui à tout peut être dangereux ? Par l'éducation ou par des interventions à la con ?

[02:31:41] <Ferenczi60>
Le développement de l'enfant, l'accès à l'autonomie, à sa propre intimité, l'empathie, à son propre désir séparé de l'autre, ça ne se fait pas par des cours. Je sais pas, lisez au bout d'un moment les débiles qui pensent qu'il en ressort quelques chose de ces cours sur la sexualité.

On peut faire des cours de maths, d'histoire, français, car basés sur des faits ou un langage mathématiques ou linguistiques. Mais à aucun moment tu peux faire un cours pour apprendre à un gamin ce qu'est le consentement.

Les femmes battues savent ce qu'est le consentement ? Oui
Est-ce que ça les empêche d'être battues ? Non

Car cela relève de processus psychologique conscient et inconscient qui dépassent la connaissance intellectuelle d'une définition dont aurait besoin un enfant pour comprendre que se faire doigter c'est mal.

Même un psy sait qu'il est vain de faire un interventionnisme forcené avec un enfant en lui expliquant les choses, mais qu'il est préférable qu'il comprenne de lui même. Faut sortir de ce paradigme consistant à prendre les enfants pour des débiles en attente de recevoir le savoir des adultes.

Je suis pas d'accord clé, la 1ère chose que font les psy de l'enfance pour dénouer les langues c'est faire uncours sur le consentement et l'éducation sexuelle c'est évident !

non :)

[02:33:22] <JeanCovid666>

Le 24 novembre 2024 à 02:29:02 :

[02:26:06] <JeanCovid666>
J'ai des amis de primaire qui se sont fait "violer" par un gamin qui lui même se faisait violer par son père. Le gamin reproduisait les actes de son père sur ses amis. Les gamins impliqués ne comprenaient pas que jouer avec la bite de son pote c'était pas anodin, tout simplement parce que personne ne leur avait jamais dit.

Si ils avaient eu un cours d'éducation sexuelle jeunes ils auraient évité ça.

Les gens contre ces cours vous vous êtes juste fait retourner le cerveau par des post twitter à 2 balles. Il n'y a rien de mieux pour apprendre aux gamins à se défendre et éviter les agressions.

Oui c'est bien connu qu'au lycée tout le monde a arrêté du fumer des joints quand un ancien toxico à la vie brisée est venu expliquer son parcours et les méfaits de la drogue :)

Putain ça a rien à voir, t'as un cerveau ?

Tu vois pas ce que ça met en lumière ? :(

Allume ton cerveau 2 minutes, juste 2 minutes.

[02:37:39] <JeanCovid666>

Le 24 novembre 2024 à 02:31:41 :
Le développement de l'enfant, l'accès à l'autonomie, à sa propre intimité, l'empathie, à son propre désir séparé de l'autre, ça ne se fait pas par des cours. Je sais pas, lisez au bout d'un moment les débiles qui pensent qu'il en ressort quelques chose de ces cours sur la sexualité.

On peut faire des cours de maths, d'histoire, français, car basés sur des faits ou un langage mathématiques ou linguistiques. Mais à aucun moment tu peux faire un cours pour apprendre à un gamin ce qu'est le consentement.

Les femmes battues savent ce qu'est le consentement ? Oui
Est-ce que ça les empêche de l'être ? Non

Car cela relève de processus psychologique conscient et inconscient qui dépassent la connaissance intellectuelle d'une définition dont aurait besoin un enfant pour comprendre que se faire doigter c'est mal.

Même un psy sait qu'il est vain de faire un interventionnisme forcené avec un enfant en lui expliquant les choses, mais qu'il est préférable qu'il comprenne de lui même. Faut sortir de ce paradigme consistant à prendre les enfants pour des débiles en attente de recevoir le savoir des adultes.

Ne me crois pas si tu ne veux pas, mais je t'assure que je connais plein de gens qui étaient en primaire avec moi qui se touchaient la bite entre eux et n'y voyaient rien de mal. Personne n'a forcé personne, c'était juste des gamins innocents qui ne voyaient pas ce qu'il y avait de mal car à leur yeux rien n'était négatif. Il a fallu que les parents le découvrent et leur fasse la morale pour qu'ils comprennent que c'est pas du tout un geste anodin.

Un simple cours sur le consentement et toute cette histoire aurait pu être évitée.

Ptin entre les clés qui te disent que c'est banal de mater du porno et toi, vous avez tous eu des écoles de détraqués ou quoi, trop de forum pour moi ce soir

Tu pars dans tous les sens, et malheureusement, beaucoup de tes arguments mélangent des notions fondamentales ou les abordent de manière biaisée.

Le 24 novembre 2024 à 02:48:33 :

Le 24 novembre 2024 à 02:37:39 :

Le 24 novembre 2024 à 02:31:41 :
Le développement de l'enfant, l'accès à l'autonomie, à sa propre intimité, l'empathie, à son propre désir séparé de l'autre, ça ne se fait pas par des cours. Je sais pas, lisez au bout d'un moment les débiles qui pensent qu'il en ressort quelques chose de ces cours sur la sexualité.

On peut faire des cours de maths, d'histoire, français, car basés sur des faits ou un langage mathématiques ou linguistiques. Mais à aucun moment tu peux faire un cours pour apprendre à un gamin ce qu'est le consentement.

Les femmes battues savent ce qu'est le consentement ? Oui
Est-ce que ça les empêche de l'être ? Non

Car cela relève de processus psychologique conscient et inconscient qui dépassent la connaissance intellectuelle d'une définition dont aurait besoin un enfant pour comprendre que se faire doigter c'est mal.

Même un psy sait qu'il est vain de faire un interventionnisme forcené avec un enfant en lui expliquant les choses, mais qu'il est préférable qu'il comprenne de lui même. Faut sortir de ce paradigme consistant à prendre les enfants pour des débiles en attente de recevoir le savoir des adultes.

Ne me crois pas si tu ne veux pas, mais je t'assure que je connais plein de gens qui étaient en primaire avec moi qui se touchaient la bite entre eux et n'y voyaient rien de mal. Personne n'a forcé personne, c'était juste des gamins innocents qui ne voyaient pas ce qu'il y avait de mal car à leur yeux rien n'était négatif. Il a fallu que les parents le découvrent et leur fasse la morale pour qu'ils comprennent que c'est pas du tout un geste anodin.

Un simple cours sur le consentement et toute cette histoire aurait pu être évitée.

Oui et alors ? C'est arrivé en 6eme que des gamins se masturbent également, ça s'est su et ils le savaient au fond très bien qu'ils touchaient à une limite. Et heureusement l'école a agis, c'est justement ça éduquer, mettre des limites.

Mais mettre des limites, ce n'est pas faire une intervention sur ce qu'est le consentement, désolé khey mais je pense que comme beaucoup ici tu confonds d'une éduquer et enseigner, car si tu savais ce qu'est éduquer tu éviterais de parler d'éducation sexuelle.

Mettre des limites et enseigner le consentement vont ensemble. Les deux sont des éléments fondamentaux pour aider un enfant ou un adolescent à comprendre ses droits et ses responsabilités, y compris dans des contextes sociaux ou sexuels.
Si un enfant sait qu’il peut dire "non" et que son "non" a de la valeur, il sera plus à même de fixer ses propres limites et de comprendre celles des autres. Enseigner le consentement n’est pas "une intervention à la con", c’est donner aux jeunes les outils nécessaires pour naviguer dans un monde où ces notions sont trop souvent floues ou ignorées.

Et les parents n'ont pas à faire de morale, mais imposer des limites, un cadre pour la vie en société, donc ici pour ton exemple il s'agit de la pudeur et l'exhibition de son désir en groupe, une sexualité de groupe. Ils le savent tres bien.

L’éducation parentale ne peut pas tout faire seule, surtout dans un monde où les enfants sont exposés à une multitude d’influences extérieures (internet, pairs, médias, etc.).
L’école, en tant qu’institution, est là pour compléter le travail des parents, en particulier dans des sujets où beaucoup de familles échouent ou n’osent pas intervenir, comme la sexualité.
Si un parent impose uniquement des interdits sans expliquer pourquoi ni fournir les outils nécessaires pour comprendre et agir, il crée de l’ignorance et de la frustration, pas de l’autonomie. Les limites doivent s’accompagner d’un enseignement clair, et c’est là que l’éducation sexuelle (ou l'éducation en général hein) intervient.

L'église joue de la morale et de la peur, éduquer c'est pas dire c'est bien, c'est mal, c'est pas beau d'utiliser sa main pour se masturber, éduquer c'est permettre à un enfant d'accéder à l'autonomie, c'est pour moi déficient quand des ado sont incapables de faire des choix par eux mêmes, sont assistés, ça dépasse le cadre du consentement et de la sexualité.

Et le consentement implique une connaissance de soi suffisante pour comprendre son désir, ce que l'on veut et ne veut pas. La plupart des femmes qui disent aujourd'hui avoir subi un viol, ne pas avoir su exprimer leur non consentement, c'est une histoire d'éducation, pas de manque de leçon ou d'éducation sexuelle.

Oui, et c’est précisément ce qu’enseigne l’éducation sexuelle. Elle permet aux jeunes de mieux comprendre leurs désirs, leurs émotions, et leurs limites.
Ton exemple sur les femmes qui disent ne pas avoir su exprimer leur non-consentement montre exactement pourquoi l’éducation sexuelle est nécessaire. Ce n’est pas une question de "mauvaise éducation parentale" : c’est un problème systémique où les notions de consentement et de respect ne sont pas assez enseignées, ni en famille, ni à l’école.

L’éducation sexuelle ne remplace pas les parents, elle comble un vide. Elle n’impose pas une morale, elle donne des clés de compréhension.

T'as Judith godereche, deux parents psy, donc la sexualité ça ne devait pas être tabou dans son milieu psy et bourgeois, et pourtant aujourd'hui seulement elle s'en prend à un mec qu'elle a sucé. C'est juste une question d'éducation, de parents absents, de petite fille avec des désirs encore immature envers un homme plus âgé qui a profité de sa naïveté, et l'éducation doit mettre une barrière entre le langage des adultes de passion et celui des enfants.

Ton exemple est hors sujet. Ce que Judith Godrèche a vécu relève de dynamiques de pouvoir, d’abus et d’inégalités systémiques qui vont bien au-delà de l’éducation parentale ou de l’éducation sexuelle.
Blâmer les "parents absents" ou les "désirs immatures" de la victime, c’est exactement le genre de rhétorique qui perpétue la culture du viol. L’éducation sexuelle, en enseignant les notions de consentement et de respect des limites, combat ce type de discours.

Tu le sais comment que suivre le monsieur dans sa camionnette avec ses sucette c'est pas à faire et que dire oui à tout peut être dangereux ? Par l'éducation ou par des interventions à la con ?

Justement : par une combinaison d’éducation parentale et d’interventions scolaires. L’école peut aborder ces situations dans un cadre neutre et professionnel, sans tabous ni culpabilisation.

Les "interventions à la con", comme tu les appelles, permettent aux enfants et aux adolescents de reconnaître des situations abusives, de comprendre leurs droits, et de savoir qu’ils peuvent demander de l’aide.
Dire que ce n’est pas efficace est malhonnête : sans ces enseignements, tu laisses les enfants dans un flou dangereux, où leur seule référence pourrait être un prédateur ou de mauvaises influences.

Tellement louches les gens qui sont horrifiés à l'idée qu'on explique aux gosses des concepts comme le consentement, le fait qu'on ne doit pas toucher à leur intimité, que c'est pas normal si papa touche ici...

Vous avez peur de quoi concrètement ? Une petite explication ? :)

Ces cours sont hyper importants notamment pour que les enfants qui sont victimes de violences sexuelles puissent les reconnaître comme telles et éventuellement les signaler

Mais bon comme d'habitude les chofix bas-du-front se drapent dans leurs paniques morales habituelles et n'en ont rien à carrer de la sécurité de l'enfant

Vdd sérieusement arrête l'idéologie, de me parler de culture du viol alors que t'es encore là à faire de la novlangue en confondant enseignement et éducation. Éduquer sexuellement n'a pas de sens.

On éduque point, mais préciser qu'il y'aurait en plus de l'éducation de base une éducation sexuelle m'oblige à cesser la conversation car tu parles de choses qui n'ont aucun sens.

Avant de parler ouvre des bouquins sur le développement de l'enfant, t'es à côté de la plaque car ton idéologie prends le pas sur la raison. Le consentement implique la notion d'individuation, d'une capacité à exprimer son désir en dehors de l'autre, donc des parents, si tu crois encore que l'on peut aider un enfant à le faire par des interventions, là encore on a rien à se dire.

Tu mets en branle des travaux de psychologues, de pédiatres et d'éducateurs par ton idéologie. Le consentement ne s'apprend pas de manière intellectuelle par ce genre d'intervention.

Cette dame fait même pas de l'enseignement, mais du bourrage de crâne, de l'idéologie, alors de l'éducation...

Et dire qu'on prenait Françoise Dolto pour une obsédée alors qu'elle précise bien qu'il n'est pas nécessaire d'en dire plus à un enfant que ce qu'il demande à ce sujet sur la sexualité, sur comment on fait les bébés, etc. Là ça dépasse allègement ce cadre et c'en est pervers de se poser devant des gamins pour leur permettre de déballer toutes leurs interrogations comme s'ils ouvraient la boîte de Pandore avec tout ce fourmillements de sexualité qu'ils doivent découvrir aussi et surtout par eux-mêmes à leur rythme.

Si vraiment ça les gêne certains questionnements, ils peuvent les poser à des adultes sans qu'elle intervienne, c'est pas son rôle.

Le 24 novembre 2024 à 03:01:42 Ferenczi60 a écrit :
Vdd sérieusement arrête l'idéologie, de me parler de culture du viol alors que t'es encore là à faire de la novlangue en confondant enseignement et éducation. Éduquer sexuellement n'a pas de sens.

On éduque point, mais préciser qu'il y'aurait en plus de l'éducation de base une éducation sexuelle m'oblige à cesser la conversation car tu parles de choses qui n'ont aucun sens.

Avant de parler ouvre des bouquins sur le développement de l'enfant, t'es à côté de la plaque car ton idéologie prends le pas sur la raison. Le consentement implique la notion d'individuation, d'une capacité à exprimer son désir en dehors de l'autre, donc des parents, si tu crois encore que l'on peut aider un enfant à le faire par des interventions, là encore on a rien à se dire.

Tu mets en branle des travaux de psychologues, de pédiatres et d'éducateurs par ton idéologie. Le consentement ne s'apprend pas de manière intellectuelle par ce genre d'intervention.

Cette dame fait même pas de l'enseignement, mais du bourrage de crâne, de l'idéologie, alors de l'éducation...

Tu peux nous fournir ces travaux de pédiatres et de psychologues qui expliquent que c'est très très important de ne surtout pas expliquer aux enfants ce qu'est le consentement, l'intimité et l'importance que n'importe qui ne touche pas leur corps n'importe comment ?

Ce serait intéressant que tu nous partages ça.

Le 24 novembre 2024 à 03:04:56 :

Le 24 novembre 2024 à 03:01:42 Ferenczi60 a écrit :
Vdd sérieusement arrête l'idéologie, de me parler de culture du viol alors que t'es encore là à faire de la novlangue en confondant enseignement et éducation. Éduquer sexuellement n'a pas de sens.

On éduque point, mais préciser qu'il y'aurait en plus de l'éducation de base une éducation sexuelle m'oblige à cesser la conversation car tu parles de choses qui n'ont aucun sens.

Avant de parler ouvre des bouquins sur le développement de l'enfant, t'es à côté de la plaque car ton idéologie prends le pas sur la raison. Le consentement implique la notion d'individuation, d'une capacité à exprimer son désir en dehors de l'autre, donc des parents, si tu crois encore que l'on peut aider un enfant à le faire par des interventions, là encore on a rien à se dire.

Tu mets en branle des travaux de psychologues, de pédiatres et d'éducateurs par ton idéologie. Le consentement ne s'apprend pas de manière intellectuelle par ce genre d'intervention.

Cette dame fait même pas de l'enseignement, mais du bourrage de crâne, de l'idéologie, alors de l'éducation...

Tu peux nous fournir ces travaux de pédiatres et de psychologues qui expliquent que c'est très très important de ne surtout pas expliquer aux enfants ce qu'est le consentement, l'intimité et l'importance que n'importe qui ne touche pas leur corps n'importe comment ?

Ce serait intéressant que tu nous partages ça.

https://www.lesprosdelapetiteenfance.fr/bebes-enfants/psycho-developpement/developpement-psychologique-de-lenfant-les-principales-etapes

Un article simple pour un esprit simpliste comme le tien qui déforme mes propos. Je ne dis pas que l'intimité n'est pas importante, mais qu'elle se développe sans qu'un adulte en figure de maître lui explique ce que c'est, il va en faire l'expérience par différents processus à sonn rythme de développement qui lui est propre.

T'apprends pas le consentement, la capacité à exprimer tes désirs distincts de ceux d'autrui et la capacité à dire non, comme t'apprends des maths où l'on a besoin qu'on t'explique ici les choses à l'école.

Le 24 novembre 2024 à 02:15:22 :

Le 24 novembre 2024 à 02:12:33 :
Les golmons qui sont contre l'éducation sexuelle ne comprennent même pas en quoi ça consiste, c'est toujours la même histoire

L'étude sur l'orthographe postée par l'op est bidon, tous les experts le savent

C'est fou les ravages de cnews et cie sur les petits esprits fragiles des pnj n'empêche

Les fameux « experts ». Ce n’est pas pcq une information ne te plaît pas qu’elle est bidon.

Le 24 novembre 2024 à 02:58:27 :
Ces cours sont hyper importants notamment pour que les enfants qui sont victimes de violences sexuelles puissent les reconnaître comme telles et éventuellement les signaler

Mais bon comme d'habitude les chofix bas-du-front se drapent dans leurs paniques morales habituelles et n'en ont rien à carrer de la sécurité de l'enfant

Ok y’a combien de pnj qui vont répéter la même chose ?
Le laxisme de notre génération d’occidentaux nous mène droit à la perte de nos repères et de notre identité. Ou du moins ce qu’il en reste.

Données du topic

Auteur
Groled
Date de création
23 novembre 2024 à 21:14:50
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