Le gendarme JAMBERT, "suicidé" de DEUX BALLES dans la TÊTE
Christian Jambert, gendarme, enquêtait sur les réseaux pédophiles Dunand et Émile Louis
Retrouvé mort deux jours avant l'audition où il devait tout balancer. Deux balles dans la tête, de deux angles différents. Quatre douilles près du corps, l'arme posée sur les genoux. Aucun légiste n'est présent, c'est un urgentiste de SOS médecin qui conclut au suicide en dix minutes sans autopsie.
Le corps du gendarme est plus tard exhumé. Le légiste privilégie l'assassinat. Le parquet demande une contre-expertise. Le nouveau légiste "n'exclue pas le suicide", expliquant qu'une balle a pu "ricocher" sur une partie du crâne.
La famille veut une nouvelle autopsie indépendante. Malheureusement, les morceaux du crâne en question ont "disparu mystérieusement" des scellés, impossible de vérifier les affirmations du légiste mandaté par le juge.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/mysterieuse-disparition-du-crane-du-gendarme-jambert-22-10-2008-284623.php
La sacoche du gendarme, contenant son enquête et une liste de noms du réseau, se volatilise également : https://www.leparisien.fr/faits-divers/disparues-de-l-yonne-l-introuvable-sacoche-du-gendarme-22-03-2002-2002916239.php
(vraie question, je suis pas en train de dire qu'il s'est vraiment suicidé, je connais même pas l'affaire, à vrai dire)
Le 13 novembre 2024 à 14:28:55 :
C'est pas possible de survivre d'une balle qu'on s'est tiré dans la tête juste le temps de s'en tirer une autre ?
(vraie question, je suis pas en train de dire qu'il s'est vraiment suicidé, je connais même pas l'affaire, à vrai dire)
Techniquement c'est possible de ne pas mourir du premier coup, changer d'angle et re-tirer, puis que le chargeur tombe par terre à cause de la gravité et déverse les balles, celles-ci ayant été vidées de leur poudre suite à une fuite, puis que la sacoche à côté du corps soit trouvée et emmenée par un oiseau qui veut en faire un nid, puis que le crâne soit consommé par des insectes qui ont réussi à pénétrer le sac mortuaire oui
Le 22 janvier 1984, les policiers débarquent allée des Violettes, au domicile de Claude et Monique Dunand. Ils découvrent, dans la cave du pavillon, une jeune femme entravée sur une croix, torturée. C'est une autre jeune fille, séquestrée au même endroit pendant plusieurs mois, qui a donné l'alerte après avoir réussi à s'enfuir. Toutes les deux sont brûlées au fer, victimes d'éventrations que les «clients» de Claude Dunand leur infligeaient. Car, dans la cave, on venait consommer de la torture, avec les tarifs affichés sur la porte.
A l'intérieur du pavillon, les policiers saisissent deux carnets, qui contiennent la liste des adeptes.
On n'en saura pas plus. Les carnets "disparaissent" du palais de justice d'Auxerre. L'affaire est classée.
Assistante sociale, Gina Pardaens-Bernaer avait rejoint l'ONG Morkhoven, au moment de la découverte du réseau pédocriminel Zandvoort, en juillet 1998. Elle travaillait au dossier Schadwald, du nom d'un petit garçon disparu d'Allemagne à l'âge de 11 ans et dont la recherche avait mené Marcel Vervloesem au réseau. Elle découvrait rapidement l'implication des services secrets allemands, par le beau-père de l'enfant, Rainer Wolf.
Elle commençait alors à avoir des problèmes de perturbations de téléphone, de fax et d'ordinateur. Elle recevait des appels répétitifs de personnes qui raccrochaient après un long silence. Belgacom, alors monopole d'état en matière de téléphonie, ne prétendait pas réussir à trouver l’origine des interférences, ni des appels anonymes. Leur enquête les avait mené à découvrir qu'une deuxième ligne aurait été ouverte sur son téléphone sans qu'elle ne l'ait jamais commandé et qu'il y aurait eut "un petit fil détaché".
C'est Gina Pardaens-Bernaer qui fit une copie d'un des cédéroms de Zandvoort et l'envoya à l'organisation "CIDE", qui à son tour la communiqua à Interpol. Elle avait découvert un film snuff où figurait le viol et le meurtre d'une petite fille et dans lequel elle avait reconnu un ancien associé de Michel Nihoul, célèbre dans le dossier Dutroux. Des hommes l'arrêtaient dans un train et lui dirent d'arrêter ses recherches. Depuis, elle se déplaçait en voiture, mais elle fut rapidement suivie. Elle notait les plaques d’immatriculation, parmi lesquelles d'une Mercedes grise qui s’avérera être celle de l’ancien chauffeur du bar Dolo: le quartier général de Michel Nihoul à Bruxelles, où il rencontrait tous les policiers qui rataient chaque enquêtes relatives à l'exploitation sexuelles d'enfants.
Elle avait collaboré au programme télévisé Faits divers de la RTBF, avec le journaliste Dessart. Ils furent tout deux interrogés par la police judiciaire au sujet de l’affaire Schadwald. Les officiers semblaient d'avantage intéressés à leurs connexions avec le Werkgroep Morkhoven, qu'à la disparition de l'enfant. L'audition lui avait paru hautement remarquable, intimidante et clairement dirigée afin de lui faire révéler sur ses sources, avait-elle dit au journal De Morgen .
Le harcèlement téléphonique augmentait. Elle recevait des menaces de mort, de personnes dont les voix étaient déformées par un appareillage électronique. Suite de deux de ces appels, son fils, alors qu'il était sur sa bicyclette, fut renversé par une voiture dont le conducteur s'enfuit sans s'arrêter.
Quatre mois étaient passés depuis que Gina Pardaens-Bernaer collaborait avec le Werkgroep Morkhoven, quand le 14 novembre 1998 au soir, elle appelait Jan Boeykens, président de l’association. La communication était si brouillée qu'ils avaient des difficultés à s'attendre l'un l'autre, mais il parvint à apprendre qu'elle avait été objet d'une nouvelle série de menaces de mort:- Avec ce que j'ai découvert, dit-elle, soit la Belgique explose, soit je suis assassinée
La nuit même, à l'aube du 15 novembre, sa voiture fut retrouvée écrasée sous un pont, sans qu'aucune trace de freinage n'ait pu être relevé, aurait pu démontré qu'ils avaient été sabotés. L'état de la voiture se passe de commentaire.
La Belgique n'a pas explosé. Le meurtre ne fut objet d'aucune enquête policière. Peu après, le bureau de son avocat, Maître Arnould, était cambriolé et des dossiers étaient volés.
Le documentaire *lise L*cet + le documentaire enter p*zza g*te sur *ddysey
Histoire de bien se redpill
François Reyskens
Début juillet 1995, les parents de Julie Lejeune et Mélissa Russo, disparues depuis deux semaines, reçoivent un appel téléphonique d’un courtier en assurances, sorte de père adoptif d’un jeune cocaïnomane répondant au nom de François Reyskens.
Ce jeune homme, explique le courtier, déclare avoir rencontré les petites Julie et Mélissa dans un bar aux Pays-Bas.
Aussitôt, Carine Russo, la mère de Mélissa, alerte la gendarmerie de Seraing et un rendez-vous est pris avec le jeune François Reyskens pour le 26 juillet.
François Reyskens meurt, écrasé par un train, deux heures avant ce rendez-vous.
« C'est plutôt étrange que, juste à ce moment-là, il finisse sous un train. S'agit-il vraiment d'un accident ? », s'interroge le père de ce dernier.
Michel Piro
Exploitant de bars-restaurants dans la clientèle desquels on retrouve Marc Dutroux, Bernard Weinstein, Michel Lelièvre et Michel Nihoul, il contacte, à trois reprises, la famille de Jean-Denis Lejeune (le père de Julie Lejeune) et lui demande une entrevue à laquelle il souhaite que soit convié le procureur Michel Bourlet. Son intention est également d’organiser un souper avec les parents de Julie et de Mélissa, au cours duquel il souhaite faire des révélations sur le sort des deux petites liégeoises.
Plusieurs témoins le diront ; parmi ceux-ci, un indicateur de la B.S.R. de Charleroi affirme que « Piro aurait dit quelques jours avant son décès qu’il allait « balancer » tout ce qu’il savait sur le dossier Julie et Mélissa lors du repas qu’il organisait ». Selon son fils, il aurait dit que « des têtes allaient sauter ».
On ne saura jamais quelles étaient ces révélations : le 5 décembre 1996, il est exécuté, à bout portant, sur un parking d’autoroute, tandis que son épouse est sortie pendant quelques instants du véhicule pour se rendre aux toilettes.
Rappel : L'affaire Dutroux est confiée au juge Connerrotte. Celui-ci enquête, fouille, s'interroge, il remonte les différentes pistes et établit l'existence d'un réseau.
Après avoir été aperçu participant à un dîner en soutien aux familles des victimes, la justice Belge, prétendant qu'il a un parti pris, le déssaisit et le remplace par le juge Jacques Langlois. Celui-ci s'exprime immédiatement pour dire qu'il n'y a "aucun réseau", et il conteste tout complot.
Le juge Langlois fut celui qui refusa la protection policière à Gina Bernaer, évoquée plus haut, avant son assassinat. Il lèvera également la protection policière de Bruno Tagliaferro, un témoin clé de l'affaire, qui sera alors retrouvé mort. Empoisonné, selon un compte-rendu du FBI : M. Langlois écartera cette thèse, évoquant une "mort naturelle"
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- 13 novembre 2024 à 14:24:40
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