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⛓️ RECIT EROTIQUE DE MON SAMEDI SOIR ⛓️

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Quelque part dans la nuit noire, sur un banc en pierre derrière un bâtiment vide, ma chatte pleine de pisse. Mais reprenons depuis le début.
Samedi, une baignoire, ta queue, ma bouche. Tu as bu énormément aujourd'hui, ta vessie est pleine, je te suce. Tu es dans la salle de bain, je suis dans le bac, un fond d'eau chaude sous les genoux. Les prémices de ma vie aquatique. Je devine tes intentions mais la pulsion est trop forte. Je me retourne, tu me cambres, je me tiens difficilement au mur, fesses en arrière, pendant que tu me prends rudement. J'aime de plus en plus ça, nos baises inconfortables mais ô combien excitantes. Et puis, notre vie fantasmagorique est bien riche depuis quelques temps. Triolisme, pisse, fist, insertions, ne sont que les grands thèmes d'une constellation transgressive. Si cela ne vous convient pas, je vous laisse trouver des récits plus sages. Je jouis, je tremble, tu te retiens de jouir, avec difficulté me semble-t-il. Il fait chaud dans cette pièce. L'amusement et le défi sont plus forts que moi, je me mets à genoux encore devant toi, tu te concentres. Le liquide arrive, en grande quantité. Je lappe, surprise. Il a le goût sucré du thé, du sirop de sureau, c'est inattendu, j'avale, une fois, deux fois, encore. C'est une quantité trop importante alors j'en reçois bien évidemment sur le visage, la poitrine, les cuisses, mais j'ouvre ma bouche jusqu'à la dernière goutte pour en recueillir le plus possible. Ça m'excite, cette douceur dans un acte sensé être humiliant. L'excitation est réciproque et fait émerger dans ton esprit un plan dont je ne connaîtrai les détails qu'au fur et à mesure.
Suivant tes consignes, je passe les heures suivantes à arranger ma toison, à me laver le cul, à choisir un collant imitant un porte-jarretelles, des chaussettes hautes et un soutien-gorge bustier. Ils seront vite recouverts d'un débardeur en velours, d'une mini-jupe à carreaux rouge et d'un pull rouge aussi, parce que tu m'avertis que je risque d'avoir froid. Tu continues de t'hydrater, de te vider, beaucoup de fois, afin de m'offrir le plus pur des nectars.

(suite)

Avant de sortir, tu prépares un sac dans lequel je n'aurai pas le droit de fouiner. Quelques consignes, un minimum de détails. J'enfile les talons que tu as choisi et mon trench noir. Et nous prenons la voiture.
Cette fois-ci je n'ai pas les yeux bandés et je devine peu à peu la destination. Je pense d'abord à un bâtiment inoccupé que tu aurais repéré en secret, puisque tu m'as dit que je n'aurai pas froid longtemps. Erreur. Une place de parking, tu me fais descendre. Un choker rose (visible sur nos photos ici) s'ajoute à ma tenue. Tu y accroches une lourde chaîne qui servira de laisse, et nous voici partis. Tu m'avertis qu'il y a des vigiles et qu'il faudra possiblement se faire discrets. Le clac-clac de mes talons n'est pas d'accord. Je tanke le froid tandis que nous nous enfonçons entre des bâtiments que tu connais, moi non. Un premier arrêt, tu me mets un plug dans la bouche, avec l'ordre de commencer à le réchauffer. Cette action étale un peu mon rouge à lèvres sur ma lèvre inférieure. Je m'applique, mâchoire semi-ouverte, l'air chaud de ma bouche se déversant au mieux sur tout l'objet métallique. Je sens que je pourrais vite baver, mes mains cachées dans mes poches ne se risquant pas à le retirer régulièrement pour avaler ma salive. Mais cela n'arrivera pas. Tu me fais me pencher sur une table en pierre, tu me dis de tendre mon cul. Le plug s'y logera avec facilité, et nous continuons notre marche. Je ne connais toujours pas notre destination, il fait sombre, je suis perdue. Je te fais confiance.
Arrivés devant un dernier bâtiment, tu me détaches et me fais me mettre à quatre pattes sur un banc. Tu passeras la chaîne autour de moi et de celui-ci, je crois. Je ne peux que deviner selon les sons et les sensations. Tu fouilles dans ton sac, j'entends les boules de billard qui ont rejoint nos jouet insolites récemment. Je devine la suite. L'insertion me pose difficulté, entre le froid et le plug, alors tu décideras de me faciliter la tâche en me faisant m'asseoir face à toi, jambes écartées. Je tiens mes cuisses rabattues contre moi. Tes doigts me fouillent, tu m'embrasses avec possessivité. Tu accélères et provoques, sans ménagement, deux orgasmes, durant lesquels tu en profiteras pour faire entrer tour à tour deux boules. La sensation du collier tiré a bien aidé. Tu me diras apres coup que tu as adoré me voir me tendre à chaque orgasme, juste avant de pouvoir forcer une boule en moi et me voir sursauter de plaisir. Pas besoin de mode d'emploi, tu sais comment je fonctionne. Je suis ton petit jouet. Tu m'embrasses avec fierté. Puis tu me relèves. Action difficile, je n'ai pas l'habitude de marcher ainsi écartelée. Je n'ai que quelques mètres à faire. Je ferme les yeux à ta demande, je t'entends chercher autre chose.
Dans nos recherches récentes, il y a celle d'un partenaire masculin dans l'idée de lui faire utiliser ma bouche pendant que tu t'occupes de mon cul. Nous n'avons pas encore trouvé la perle rare, donc ce soir tu comptes sur un très large gode ventouse pour jouer le jeu avec toi. Collé contre la vitre à laquelle je fais face, tu me le présentes. La consigne est simple : je dois m'occuper de vous deux. Tu me regardes alterner les pipes et les branlettes, m'enfonçant le gode dans la gorge comme tu le ferais avec un autre partenaire. Je me projette, ça m'excite. Je crois que ça me plaira beaucoup, te sentir m'étouffer sur une autre queue. J'ai chaud rien qu'à y repenser. Ton petit jouet, again. Quelques gags, qui te décideront à retirer le plug de mon cul car mes contractions abdominales déclenchent de sourdes douleurs. Une histoire de pincements. De toute manière, c'était le plan depuis le départ. Tu me fais m'accroupir également pour retirer une boule de billard, nous n'avions pas anticipé que ce serait bien trop gros pour permettre que tu me sodomises sans peine.
Puis ta queue se fraye enfin un chemin dans mon cul. C'est facile, je suis très excitée. Tu me fais continuer de sucer le gode, un avant-goût pour une prochaine fois. Je me sens chienne, tu aimes ça. Lorsque la position devient difficile à tenir car je n'ai aucun point d'appui stable, tu t'arranges avec la réalité en déplaçant la queue supplémentaire plus haut. Je suis debout, la bouche enfoncée sur un gode, ta queue dans mon cul, lorsque tu jouis.
Tu m'avais promis une surprise si je tenais jusqu'ici. Ta veste termine par terre, moi aussi, à quatre pattes. Tu retires la seconde boule de billard, que je pousserai millimètre par millimètre. L'exercice est difficile, j'ai du mal à différencier les poussées, ton sperme te coule fatalement sur la main. Notre ami de plastique te sert ensuite à me bourriner la chatte. A m'assommer encore un peu. Je ne sens qu'à peine le froid, j'ai chaud, je n'ai même pas peur que l'on nous surprenne, je n'y pense même pas. En fait, tu as complètement éteint mon cerveau parce qu'en même temps, tu prends soin de m'écraser la gueule avec tes boots. Énorme fetish pour moi.
Dernier changement, tu m'allonges sur un banc, je provoque ton érection, te fourre dans ma chatte largement ouverte. Tu replies mes jambes autour de toi, tu m'embrasses, tendrement. Je me sens dans une totale intimité avec toi.
Et là. Surprise. Incompréhension. Je me sens soudain remplie, une sensation très différente, chaude, globale, de plus en plus présente. Je sens l'humidité arriver, je me demande si je me pisse dessus. Mais non. La sensation continue, ce n'est pas ma vessie. C'est ton urine qui coule dans ma chatte, abondamment, qui dégouline entre mes cuisses, qui trempe mes vêtements. J'ai le souffle coupé, la sensation de remplissage est intense. Je sais maintenant que c'était ton objectif puisque tu forcais volontairement sur le débit pour me faire éprouver la sensation. Mon cerveau convulse, si tu veux une image. C'est jouissif. Je suis sonnée. Encore.

Le retour se fera dans un froid de plus en plus glacial. Je suis trempée des genoux jusqu'au milieu du dos. Mon manteau est lourd. Nous nous dépêchons. Je grelotte. Mais je ne peux m'empêcher de rire, je craque. C'était trop bon, c'était trop bien. C'était excitant, c'était transgressif, c'était inattendu. Je me sens pute, je me sens aimée. Un vélo nous dépasse, j'ai ma chaîne autour du cou, de la pisse plein le corps. Fou rire. En rentrant, nos vêtements sont roulés en boule en attendant le lavage, nous nous jetons sous la douche. Je suis gelée, mes doigts sont pâles comme la mort, mais je suis si vivante. Nous sommes si vivants. Et puis, nous baiserons encore sous la douche.

Ah oui, j'ai un bleu énorme sur le tibia. Souvenir d'un banc glacé.

Avant de sortir, tu prépares un sac dans lequel je n'aurai pas le droit de fouiner. Quelques consignes, un minimum de détails. J'enfile les talons que tu as choisi et mon trench noir. Et nous prenons la voiture.
Cette fois-ci je n'ai pas les yeux bandés et je devine peu à peu la destination. Je pense d'abord à un bâtiment inoccupé que tu aurais repéré en secret, puisque tu m'as dit que je n'aurai pas froid longtemps. Erreur. Une place de parking, tu me fais descendre. Un choker rose (visible sur nos photos ici) s'ajoute à ma tenue. Tu y accroches une lourde chaîne qui servira de laisse, et nous voici partis. Tu m'avertis qu'il y a des vigiles et qu'il faudra possiblement se faire discrets. Le clac-clac de mes talons n'est pas d'accord. Je tanke le froid tandis que nous nous enfonçons entre des bâtiments que tu connais, moi non. Un premier arrêt, tu me mets un plug dans la bouche, avec l'ordre de commencer à le réchauffer. Cette action étale un peu mon rouge à lèvres sur ma lèvre inférieure. Je m'applique, mâchoire semi-ouverte, l'air chaud de ma bouche se déversant au mieux sur tout l'objet métallique. Je sens que je pourrais vite baver, mes mains cachées dans mes poches ne se risquant pas à le retirer régulièrement pour avaler ma salive. Mais cela n'arrivera pas. Tu me fais me pencher sur une table en pierre, tu me dis de tendre mon cul. Le plug s'y logera avec facilité, et nous continuons notre marche. Je ne connais toujours pas notre destination, il fait sombre, je suis perdue. Je te fais confiance.
Arrivés devant un dernier bâtiment, tu me détaches et me fais me mettre à quatre pattes sur un banc. Tu passeras la chaîne autour de moi et de celui-ci, je crois. Je ne peux que deviner selon les sons et les sensations. Tu fouilles dans ton sac, j'entends les boules de billard qui ont rejoint nos jouet insolites récemment. Je devine la suite. L'insertion me pose difficulté, entre le froid et le plug, alors tu décideras de me faciliter la tâche en me faisant m'asseoir face à toi, jambes écartées. Je tiens mes cuisses rabattues contre moi. Tes doigts me fouillent, tu m'embrasses avec possessivité. Tu accélères et provoques, sans ménagement, deux orgasmes, durant lesquels tu en profiteras pour faire entrer tour à tour deux boules. La sensation du collier tiré a bien aidé. Tu me diras apres coup que tu as adoré me voir me tendre à chaque orgasme, juste avant de pouvoir forcer une boule en moi et me voir sursauter de plaisir. Pas besoin de mode d'emploi, tu sais comment je fonctionne. Je suis ton petit jouet. Tu m'embrasses avec fierté. Puis tu me relèves. Action difficile, je n'ai pas l'habitude de marcher ainsi écartelée. Je n'ai que quelques mètres à faire. Je ferme les yeux à ta demande, je t'entends chercher autre chose.

(suite)

Dans nos recherches récentes, il y a celle d'un partenaire masculin dans l'idée de lui faire utiliser ma bouche pendant que tu t'occupes de mon cul. Nous n'avons pas encore trouvé la perle rare, donc ce soir tu comptes sur un très large gode ventouse pour jouer le jeu avec toi. Collé contre la vitre à laquelle je fais face, tu me le présentes. La consigne est simple : je dois m'occuper de vous deux. Tu me regardes alterner les pipes et les branlettes, m'enfonçant le gode dans la gorge comme tu le ferais avec un autre partenaire. Je me projette, ça m'excite. Je crois que ça me plaira beaucoup, te sentir m'étouffer sur une autre queue. J'ai chaud rien qu'à y repenser. Ton petit jouet, again. Quelques gags, qui te décideront à retirer le plug de mon cul car mes contractions abdominales déclenchent de sourdes douleurs. Une histoire de pincements. De toute manière, c'était le plan depuis le départ. Tu me fais m'accroupir également pour retirer une boule de billard, nous n'avions pas anticipé que ce serait bien trop gros pour permettre que tu me sodomises sans peine.
Puis ta queue se fraye enfin un chemin dans mon cul. C'est facile, je suis très excitée. Tu me fais continuer de sucer le gode, un avant-goût pour une prochaine fois. Je me sens chienne, tu aimes ça. Lorsque la position devient difficile à tenir car je n'ai aucun point d'appui stable, tu t'arranges avec la réalité en déplaçant la queue supplémentaire plus haut. Je suis debout, la bouche enfoncée sur un gode, ta queue dans mon cul, lorsque tu jouis.
Tu m'avais promis une surprise si je tenais jusqu'ici. Ta veste termine par terre, moi aussi, à quatre pattes. Tu retires la seconde boule de billard, que je pousserai millimètre par millimètre. L'exercice est difficile, j'ai du mal à différencier les poussées, ton sperme te coule fatalement sur la main. Notre ami de plastique te sert ensuite à me bourriner la chatte. A m'assommer encore un peu. Je ne sens qu'à peine le froid, j'ai chaud, je n'ai même pas peur que l'on nous surprenne, je n'y pense même pas. En fait, tu as complètement éteint mon cerveau parce qu'en même temps, tu prends soin de m'écraser la gueule avec tes boots. Énorme fetish pour moi.

(suite)

Dernier changement, tu m'allonges sur un banc, je provoque ton érection, te fourre dans ma chatte largement ouverte. Tu replies mes jambes autour de toi, tu m'embrasses, tendrement. Je me sens dans une totale intimité avec toi.
Et là. Surprise. Incompréhension. Je me sens soudain remplie, une sensation très différente, chaude, globale, de plus en plus présente. Je sens l'humidité arriver, je me demande si je me pisse dessus. Mais non. La sensation continue, ce n'est pas ma vessie. C'est ton urine qui coule dans ma chatte, abondamment, qui dégouline entre mes cuisses, qui trempe mes vêtements. J'ai le souffle coupé, la sensation de remplissage est intense. Je sais maintenant que c'était ton objectif puisque tu forcais volontairement sur le débit pour me faire éprouver la sensation. Mon cerveau convulse, si tu veux une image. C'est jouissif. Je suis sonnée. Encore.

Le retour se fera dans un froid de plus en plus glacial. Je suis trempée des genoux jusqu'au milieu du dos. Mon manteau est lourd. Nous nous dépêchons. Je grelotte. Mais je ne peux m'empêcher de rire, je craque. C'était trop bon, c'était trop bien. C'était excitant, c'était transgressif, c'était inattendu. Je me sens pute, je me sens aimée. Un vélo nous dépasse, j'ai ma chaîne autour du cou, de la pisse plein le corps. Fou rire. En rentrant, nos vêtements sont roulés en boule en attendant le lavage, nous nous jetons sous la douche. Je suis gelée, mes doigts sont pâles comme la mort, mais je suis si vivante. Nous sommes si vivants. Et puis, nous baiserons encore sous la douche.

Ah oui, j'ai un bleu énorme sur le tibia. Souvenir d'un banc glacé.

Le 18 novembre 2024 à 00:40:07 :
avis?

Trop long et trop condense
Donc GPALU

Le 18 novembre 2024 à 00:40:35 :

Le 18 novembre 2024 à 00:40:07 :
avis?

Trop long et trop condense
Donc GPALU

p'tit bonhoooooooomme

résumé : la chatte de la meuf est plus aérée que les pavés de l'op

Le 18 novembre 2024 à 03:32:51 :
résumé : la chatte de la meuf est plus aérée que les pavés de l'op

la meuf est l'op btw

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Données du topic

Auteur
HISTOIREDELOEIL
Date de création
17 novembre 2024 à 18:49:55
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