Il y a des raisonnements et comportements tout de même phénoménaux dans la réaction des gens, par rapport à cette situation.
Rien qu'ici, nous pouvons en avoir un bon échantillon, et le constat est apeurant.
Les priorités données par ceux-ci, qu'elles soient conscientes ou inconscientes, quant aux nécessités d'une société, sont effrayantes.
Lorsqu'un parti politique ne peut se permettre de faire sa propre promotion, de se présenter aux diverses élections ou tout simplement d'exister, faute d'acceptation à l'ouverture d'un compte bancaire propre au parti ou de l'obtention d'un financement, car ceux-ci leur ont été trop largement restreint ou refusé par les banques de leur propre pays, aux motifs de lignes et codes de conduite politiques en interne à ces organismes financier.
La majorité de ces personnes ne diront rien, soit par désintérêt, soit par acceptation et donc acquis d'une normalité à ce genre de situation.
Mais pour reprendre le cas actuel à titre de comparaison,
La simple restriction d'accès a un divertissement bien spécifique, ici la pornographie, sera considéré, pour ces gens, comme une forme et preuve d'un totalitarisme, une entrave et séquestration de l'esprit, voir un acte de barbarie.
Événement qui semble déclencher chez eux une importante et vive émotion, lisible au travers de leurs mots, presque comme s'il s'agissait d'un combat de toute une vie, d'une dépendance.