Ça faisait plusieurs semaines que je discutais avec ce gars par messages. Il a énormément de travail (interne urgentiste) donc il pouvait pas me voir avant ce week-end ou il a repos.
Hier on est allé dans un bar et on est rentré chez lui mais il avait trop bu donc on a rien pu faire j'ai quand même passé la nuit chez lui.
Je me suis réveillé en sentant sa verge contre mes fesses, sa main me caressait les reins. J'avais la tête enfoncée dans un coin du canapé (j'avais refusé de dormir dans son lit par pudeur ) et quand je voulus la redresser pour le voir il m'enfonça davantage dans les cousins et murmura : "pas bouger" avec fermeté. Je me soumettais à son ordre et le laissais me déshabiller complètement sans faire un geste, presque dans lever ma tête des cousins. Quand je fus entièrement nu, comme lui, il s'entoura autour de mon corps comme un boa et commença à frotter son phalus chaud entre mes fesses, sans me penetrer. L'une de ses mains saisit mon cou et se referma sur lui tandis que l'autre parcourait mon torse et mon ventre. Il grogna de plus en plus fort à mesure que ses coups de riens se faisaient plus violents et sûrs, parfois sa gueule d'ours laissait échapper des invectives à mon intention auxquelles, étouffé comme je l'étais, je ne pouvait répondre que par des couinements étouffés. Agité comme une poupée de chiffon, je senti au plus fort de la mêlée un liquide froid se répandre dans toute la largeur de mon dos, les secousses se calmèrent et tout le poids de mon amant épuisé s'ecrasa contre moi. Il embrassait frénétiquement mes cheveux et ma joue et répétait inlassablement : "Merci, merci... merci !".
Je tremblais de faiblesse et d'humiliation, c'était ma première fois.