L'été quand il n'y a pas ou peu de vent, que l'on sent poindre, d'un coup, cette brise qui ne rafraichit pas mais juste amène de l'air chaud sur la peau du visage
Alors que ma cigarette, ignorant la beauté dégage sans état d'âme, une bien âcre fumée Tout, d'un coup, se disperse à ton gré que je t'aime Ô brise d'été