Accro à la DESTRUCTION d'ANUS, je suis devenu INCONTINENT et je touche l'AAH
J’ai commencé doucement, comme tout le monde, non ? Un clic. Une vidéo. Puis une autre. Et puis, au bout d’un an… j’ai commencé à me goder. Petit, hein. Rien de méchant. Mais après… ça a dégénéré
Je me suis détruit l’intérieur ! Cinq ans à m’empaler, à chercher toujours plus gros, toujours plus profond. Résultat : intestins foutus, incontinence… , et des putains d’irritations. Mais maintenant je touche l’AAH. Ils m’ont reconnu handicapé
Au début, c’était rien, un petit jeu, tu vois ? Un doigt, deux doigts, normal, presque sage. Et puis, comme une putain de drogue, t’en veux plus. Tu te dis, 'Mais c’est quoi la limite ? Jusqu’où je peux aller ?' Alors t’enfonces plus gros, toujours plus gros, pour voir, pour sentir quelque chose, n’importe quoi
La première fois que j’ai pris ce truc de trente centimètres, j’ai eu l’impression que mes entrailles explosaient. Mais j’ai continué ! Parce que là, c’était trop tard. J’étais déjà mort à l’intérieur. Rien n’a plus de sens à ce stade. Plus c’est énorme, plus c’est sale, mieux c’est. Alors j’ai cherché des monstres. Des gourdins, des machins en plastique tellement gros que quand tu les sors de l’emballage, tu te demandes si c’est fait pour des humains ou pour des putains d’animaux
Et puis, j’ai trouvé ce jouet decinquante centimètres. C’est pas un jouet, c’est une arme de guerre ! Mais ça m’excitait juste de l’imaginer en moi, comme si c’était la seule façon de me sentir encore vivant. Je me suis empalé dessus, encore et encore, jusqu’à ce que mon cul crache du sang. T’as déjà senti tes entrailles se tordre de douleur tellement c’est profond, tellement c’est monstrueux
ai poussé, je l’ai enfoncé encore plus, comme un fou. Et c’est là que tout a lâché. J’ai entendu un bruit, un craquement dégueulasse, comme si mon corps hurlait : 'C’est fini, connard, t’as tout pété !' J’étais là, les jambes écartées, baignant dans mon propre sang, en train de me chier dessus sans pouvoir m’arrêter. Plus de contrôle. C’était foutu. Définitivement
Je tiens à préserver mon anonymat par contre
Et le peu de dignité qu'il me reste, je ne posterai rien d'intime
Bref, Après l’incident avec ce truc de cinquante centimètres j’arrive aux urgences, en sang, littéralement en train de me pisser et de me chier dessus, incapable de retenir quoi que ce soit
J’étais un vrai spectacle. Ils me regardaient avec des yeux ronds, même les infirmières n’avaient jamais vu ça. Un vrai cauchemar. Alors ils m’ont mis sur une civière, fait passer une batterie d’examens : radios, IRM, coloscopies
Tout le bordel. Et là, le verdict tombe : Monsieur, vous avez perforé plusieurs parties de votre intestin. Il y a des lésions internes graves. Vos muscles anaux sont complètement détruits. Vous ne retrouverez jamais le contrôle total
Je me suis retrouvée à parler avec ce médecin, le gastro-entérologue. Un type froid, sans émotion, qui me regardait comme si j’étais une curiosité scientifique. Il faut envisager des solutions à long terme, il me dit. je pouvais plus chier normalement, plus marcher sans que ça coule, et ils me parlent de long terme, Ils m’ont foutu une couche adulte comme si c’était normal
Ensuite, viens l'étape administrative. C'est là que ça devient marrant. T’as un rendez-vous avec un médecin-conseil de la Sécurité sociale. Le gars, c’est un robot. Il en a vu d’autres, des cas. Moi, j’arrive avec mon dossier médical bien épais, un peu de honte dans les yeux
Il te pose des questions du genre : Depuis combien de temps avez-vous ces symptômes ? Alors tu lui dis la vérité, ou presque : Depuis que je me suis ruinée le fondement avec des gourdins géants pour adulte
Tu vois son sourcil qui se soulève, mais il se force à pas juger. Il tape ça sur son clavier comme s'il parlait d’un rhume. Professionnel, qu’il est
Pertes de contrôle sphinctérien : incapacité à retenir selles et urines. Il me regarde à peine et continue, Ces dommages sont-ils irréversibles selon votre spécialiste ? Alors je lui sors le rapport du gastro. J’avais préparé mon dossier, Incontinence sévère, usage permanent de protections. Il lit ça sans broncher, ce fils de flute, comme si c’était juste une formalité. Puis il me balance la question qui tue : Est-ce que ces lésions vous empêchent de travailler ?Je lui réponds : 'Je peux pas rester assis plus de deux heures sans que ça déborde et je passe ma vie à changer de couches, qu’est-ce que tu crois ?!
Là, il hoche la tête et continue de taper. Taper. Taper
Et là, on en arrive à la meilleure partie. La commission. Des bureaucrates assis autour d'une table, jugeant de ta misère comme s’ils étaient au tribunal. Moi, je suis là, à essayer de pas suinter sur leur chaise
Le médecin-conseil leur fait son rapport : Monsieur xxxxx souffre d’incontinence anale et urinaire sévère suite à des pratiques sexuelles extrêmes. Les lésions sont irréversibles. Il ne peut plus exercer d’activité professionnelle en raison de son état. Et tu vois les types en face, ils prennent des notes
Deux semaines plus tard, je reçois la réponse. Là, je me dis que c’est fini, que je vais devoir faire avec. Eh ben non. Nous avons le plaisir de vous informer que votre demande d'AAH a été acceptée. Plaisir ? Ils ont le plaisir de me filer de l’argent parce que j’ai foutu ma vie en l'air avec un dildo géant. C’est pas du foutage de gueule, ça ? 913 euros par mois. Voilà ce que ça vaut de se détruire le cul en France
Le 09 novembre 2024 à 20:41:13 :
Tu t'enfiles encore ton truc de 50 cm ou tu suis une thérapie ?
Données du topic
- Auteur
- RifsonDECHET
- Date de création
- 9 novembre 2024 à 20:17:42
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