[ETUDE] Les JEUNES FEMMES se tournent vers le LESBIANISME
Supprimé- 1
Par ailleurs, la proportion de personnes qui s’engagent dans une sexualité non exclusivement hétérosexuelle augmente très nettement. Les femmes rapportent pour la première fois en 2023 plus d’expériences avec des personnes de même sexe que les hommes. Si l’on retient un indicateur global d’orientation sexuelle (attirance et/ou pratique et/ou identité), c’est une proportion significative de la population qui déclare n’être pas strictement hétérosexuelle, ce phénomène étant particulièrement remarquable chez les jeunes femmes. Dans un contexte social marqué par une diffusion croissante des idées féministes, ces jeunes femmes semblent s’orienter de plus en plus vers d’autres trajectoires sexuelles dans lesquelles les violences et inégalités sont moins prégnantes
Les femmes n'aiment pas le corps des hommes
L’évolution observée s’inscrit de plus dans un contexte de remise en question de la disponibilité
sexuelle des femmes. Les résultats montrent en effet une diminution chez ces dernières,
depuis 2006, de la fréquence des rapports sexuels acceptés pour faire plaisir à son ou sa
partenaire sans en avoir vraiment envie soi-même.
Ces tendances à la baisse, tant en ce qui concerne l’activité au cours des douze derniers mois
que la fréquence des rapports sexuels au cours des 4 dernières semaines, se retrouvent
également dans d’autres pays occidentaux, notamment au Royaume-Uni (Wellings et al.;
2019), en Allemagne (Beutel et al.; 2016) et aux États-Unis (Ueda et al.; 2020).
Les déclarations de violences sexuelles (rapports forcés ou des tentatives de rapports forcés)
sont très élevées parmi les personnes ayant déclaré des partenaires de même sexe : 53,1 %
des femmes et 29,5 % des hommes. Ces expériences expliquent en partie la dégradation de
leur état de santé mentale par rapport aux personnes hétérosexuelles (35,9 % des femmes
de 18-89 ans ayant déclaré des partenaires de même sexe ont un indicateur de santé mentale
associé à une dépression modérée ou sévère, contre 21,0% pour les femmes ayant déclaré
uniquement des partenaires hommes. Les tendances sont les mêmes pour les hommes
(23,4 % contre 13,1 %).
Les personnes ayant pensé à changer de genre ont également été victimes de violences
sexuelles dans des proportions beaucoup plus importantes que les personnes qui n’y ont
jamais pensé (43,1 % contre 17,2 %). Elles rapportent beaucoup plus souvent un état de santé
mentale associé à une dépression modérée ou sévère (43,7 % contre 17,8 %)
Le 14 novembre 2024 à 15:06:09 :
Les femmes ne se tournent pas nécessairement vers le lesbianisme. Ça montre juste qu'elles sont toutes plus ou moins bisexuelles (contrairement aux hommes).
"augmente très nettement"
Je peux très bien dire ça quand une tendance semble exploser. Mais je comprends ce que tu veux dire, elles souhaitaient le faire avant mais trop de pression sociale
Le 14 novembre 2024 à 15:09:39 :
Le 14 novembre 2024 à 15:06:09 :
Les femmes ne se tournent pas nécessairement vers le lesbianisme. Ça montre juste qu'elles sont toutes plus ou moins bisexuelles (contrairement aux hommes).
Euh, non
Les femmes ont toutes une bisexualité latente en elles. C'est même connu, en fait. Il suffit de voir comment elles s'embrassent et se câlinent entre amies (alors qu'il ne viendrait jamais à un homme de faire la même chose avec ses bros ).
Le 14 novembre 2024 à 15:12:13 :
Le 14 novembre 2024 à 15:09:39 :
Le 14 novembre 2024 à 15:06:09 :
Les femmes ne se tournent pas nécessairement vers le lesbianisme. Ça montre juste qu'elles sont toutes plus ou moins bisexuelles (contrairement aux hommes).Euh, non
Les femmes ont toutes une bisexualité latente en elles. C'est même connu, en fait. Il suffit de voir comment elles s'embrassent et se câlinent entre amies (alors qu'il ne viendrait jamais à un homme de faire la même chose avec ses bros ).
Explication sur ça Gut :
Les déclarations de violences sexuelles (rapports forcés ou des tentatives de rapports forcés)
sont très élevées parmi les personnes ayant déclaré des partenaires de même sexe : 53,1 %
des femmes et 29,5 % des hommes. Ces expériences expliquent en partie la dégradation de
leur état de santé mentale par rapport aux personnes hétérosexuelles (35,9 % des femmes
de 18-89 ans ayant déclaré des partenaires de même sexe ont un indicateur de santé mentale
associé à une dépression modérée ou sévère, contre 21,0% pour les femmes ayant déclaré
uniquement des partenaires hommes. Les tendances sont les mêmes pour les hommes
(23,4 % contre 13,1 %).
Le 14 novembre 2024 à 15:14:52 :
Le 14 novembre 2024 à 15:12:13 :
Le 14 novembre 2024 à 15:09:39 :
Le 14 novembre 2024 à 15:06:09 :
Les femmes ne se tournent pas nécessairement vers le lesbianisme. Ça montre juste qu'elles sont toutes plus ou moins bisexuelles (contrairement aux hommes).Euh, non
Les femmes ont toutes une bisexualité latente en elles. C'est même connu, en fait. Il suffit de voir comment elles s'embrassent et se câlinent entre amies (alors qu'il ne viendrait jamais à un homme de faire la même chose avec ses bros ).
Explication sur ça Gut :
Les déclarations de violences sexuelles (rapports forcés ou des tentatives de rapports forcés)
sont très élevées parmi les personnes ayant déclaré des partenaires de même sexe : 53,1 %
des femmes et 29,5 % des hommes. Ces expériences expliquent en partie la dégradation de
leur état de santé mentale par rapport aux personnes hétérosexuelles (35,9 % des femmes
de 18-89 ans ayant déclaré des partenaires de même sexe ont un indicateur de santé mentale
associé à une dépression modérée ou sévère, contre 21,0% pour les femmes ayant déclaré
uniquement des partenaires hommes. Les tendances sont les mêmes pour les hommes
(23,4 % contre 13,1 %).
Disons pour faire simple que la testostérone permet aux hommes d'agir de manière plus calme et raisonnée. C'est ce défaut de testostérone qui rend les femmes moins robuste physiquement, certes, mais qui les rend plus hystérique et émotionnellement instables.
Le 14 novembre 2024 à 15:11:13 :
Le 14 novembre 2024 à 15:06:09 :
Les femmes ne se tournent pas nécessairement vers le lesbianisme. Ça montre juste qu'elles sont toutes plus ou moins bisexuelles (contrairement aux hommes)."augmente très nettement"
Je peux très bien dire ça quand une tendance semble exploser. Mais je comprends ce que tu veux dire, elles souhaitaient le faire avant mais trop de pression sociale
Oui, c'est ça.
Toutes (ou la majorité) des femmes ont ce fantasme d'avoir des rapports sexuels avec une autre femme. Mais la majorité ne passera jamais à l'acte (pour plusieurs raisons, la pression sociale entre autres).
C'est connu que beaucoup de néo-LGBT sont juste des femmes hétéros qui veulent être à la mode en adoptant un lesbianisme d'apparence (d'ailleurs même dans les milieux gays classiques il y a des protestations croissantes contre cette tendance)
Cependant, je pense quand même que l'étude grossit délibérément les traits : ne pas oublier que les militants sont légion dans.ces disciplines "académiques" et beaucoup font du lyssenkisme sous couvert de recherche à prétention scientifique.
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Données du topic
- Auteur
- GregGuillotine
- Date de création
- 14 novembre 2024 à 15:03:58
- Date de suppression
- 14 novembre 2024 à 15:34:00
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