Selon l’association à l’initiative de l’étude, menée à Tokyo tous les six ans, ce phénomène serait en partie dû à la perte d’interactions sociales depuis la pandémie du coronavirus. «Les contacts limités avec les autres durant cette période ont certainement réduit le taux d’activité sexuelle chez les jeunes», peut-on lire dans l’enquête. A contrario, on distingue une forte augmentation des pratiques en solitaire, parmi lesquelles la masturbation, et l’explosion des contenus pornographiques en ligne à cette période.