Cette FEMME de 42 ANS lache toutes les REDPILL sur l'ARGENT et les SALAIRE en FRANCE
Le 11 novembre 2024 à 06:58:06 :
Le 11 novembre 2024 à 06:55:50 :
Le 11 novembre 2024 à 06:51:14 :
Le 11 novembre 2024 à 06:44:51 :
Le 11 novembre 2024 à 06:38:11 :
Après deux premières années d'histoire, j'ai fait une fac d'arts du spectacle. Je pratiquais le théâtre depuis quelques années.
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La massification a outrance des etudes superieure generalistes est une catastrophe, on envoit des generations entiere sdans des formations longues et bullshit car "avec un bac+5, tu trouveras forcement un bon taff"
Et plus un diplômé consacre de son temps de vie à ses études, plus il deviendra redevable de l'institution qui lui a délivré son titre, il faut y voir, quelque part, une dette du ventre, et plus encore, il se sentira d'une condition supérieure à ceux qui n'en ont pas, comme s'il était, finalement, investi d'un droit de mépris, le diplômé s'organise alors, sur le plan social, par un fondement naïf et erroné, car il se croit bien plus solidaire de la bourgeoisie, qui lui est toutefois dissemblable, que des prolétaires, dont il est pourtant nettement plus proche, et voilà qui crée des personnes du type que l'article décrit
Surproduction des "elites". En France ca cree des bac+5 frustres car convaincus d'avoir fait de bonnes etudes, et qui se retrouve a voter LFI. On en voit beaucoup qui fetichise le grade universitaire aussi.
Exact, il y a une dissonance parfaite, dans de nombreuses filières universitaires, entre le prestige attendu d'un diplôme, et sa reconnaissance effective dans l'espace social, et cela crée une aigreur infinie, vole du temps, et de l'argent à l'université publique, il faudrait pour autant se garder d'assujettir exactement l'enseignement public aux caprices du marché, tant pis si des filières sont mal valorisées par l'emploi privé, car il est désirable qu'une société puisse instruire ceux qui le demandent de littérature, de philosophie et d'histoire, quand bien même ces connaissances serviraient peu aux entreprises 
Le 11 novembre 2024 à 07:01:24 :
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Après deux premières années d'histoire, j'ai fait une fac d'arts du spectacle. Je pratiquais le théâtre depuis quelques années.
La massification a outrance des etudes superieure generalistes est une catastrophe, on envoit des generations entiere sdans des formations longues et bullshit car "avec un bac+5, tu trouveras forcement un bon taff"
Et plus un diplômé consacre de son temps de vie à ses études, plus il deviendra redevable de l'institution qui lui a délivré son titre, il faut y voir, quelque part, une dette du ventre, et plus encore, il se sentira d'une condition supérieure à ceux qui n'en ont pas, comme s'il était, finalement, investi d'un droit de mépris, le diplômé s'organise alors, sur le plan social, par un fondement naïf et erroné, car il se croit bien plus solidaire de la bourgeoisie, qui lui est toutefois dissemblable, que des prolétaires, dont il est pourtant nettement plus proche, et voilà qui crée des personnes du type que l'article décrit
Surproduction des "elites". En France ca cree des bac+5 frustres car convaincus d'avoir fait de bonnes etudes, et qui se retrouve a voter LFI. On en voit beaucoup qui fetichise le grade universitaire aussi.
Ceux qui se lancent dans une carrière universitaires sont juste des gens médiocres n’ayant que ça comme débouchés ou ceux qui n’auraient jamais réussi dans le privé
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Après deux premières années d'histoire, j'ai fait une fac d'arts du spectacle. Je pratiquais le théâtre depuis quelques années.
La massification a outrance des etudes superieure generalistes est une catastrophe, on envoit des generations entiere sdans des formations longues et bullshit car "avec un bac+5, tu trouveras forcement un bon taff"
Et plus un diplômé consacre de son temps de vie à ses études, plus il deviendra redevable de l'institution qui lui a délivré son titre, il faut y voir, quelque part, une dette du ventre, et plus encore, il se sentira d'une condition supérieure à ceux qui n'en ont pas, comme s'il était, finalement, investi d'un droit de mépris, le diplômé s'organise alors, sur le plan social, par un fondement naïf et erroné, car il se croit bien plus solidaire de la bourgeoisie, qui lui est toutefois dissemblable, que des prolétaires, dont il est pourtant nettement plus proche, et voilà qui crée des personnes du type que l'article décrit
Surproduction des "elites". En France ca cree des bac+5 frustres car convaincus d'avoir fait de bonnes etudes, et qui se retrouve a voter LFI. On en voit beaucoup qui fetichise le grade universitaire aussi.
Ceux qui se lancent dans une carrière universitaires sont juste des gens médiocres n’ayant que ça comme débouchés ou ceux qui n’auraient jamais réussi dans le privé
Non justement. Une "vraie" carriere universitaire, tu as quand meme un giga filtre qui necessite de vraies competences (et pas mal de talent politique...) pour chopper un poste titularisee. Une enorme partie abandonne en chemin, ou se vautre en enchainant des post doc, surtout dans des filieres comme Histoire qui sont au final dependante de combien d'argent l'Etat y consacre.
Je pense surtout que bcp d'etudiant en socio et cie se retrouvent dans ces filieres car "faut bien faire des etudes" et se retrouve avec un double master langue antrophologie qui n'est ni une garantie de competence profesionelle, ni un "exploit" intellectuel (comme peut l'etre un doctorat en math theoriques).
Le 11 novembre 2024 à 07:02:15 :
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Après deux premières années d'histoire, j'ai fait une fac d'arts du spectacle. Je pratiquais le théâtre depuis quelques années.
La massification a outrance des etudes superieure generalistes est une catastrophe, on envoit des generations entiere sdans des formations longues et bullshit car "avec un bac+5, tu trouveras forcement un bon taff"
Et plus un diplômé consacre de son temps de vie à ses études, plus il deviendra redevable de l'institution qui lui a délivré son titre, il faut y voir, quelque part, une dette du ventre, et plus encore, il se sentira d'une condition supérieure à ceux qui n'en ont pas, comme s'il était, finalement, investi d'un droit de mépris, le diplômé s'organise alors, sur le plan social, par un fondement naïf et erroné, car il se croit bien plus solidaire de la bourgeoisie, qui lui est toutefois dissemblable, que des prolétaires, dont il est pourtant nettement plus proche, et voilà qui crée des personnes du type que l'article décrit
Surproduction des "elites". En France ca cree des bac+5 frustres car convaincus d'avoir fait de bonnes etudes, et qui se retrouve a voter LFI. On en voit beaucoup qui fetichise le grade universitaire aussi.
Exact, il y a une dissonance parfaite, dans de nombreuses filières universitaires, entre le prestige attendu d'un diplôme, et sa reconnaissance effective dans l'espace social, et cela crée une aigreur infinie, vole du temps, et de l'argent à l'université publique, il faudrait pour autant se garder d'assujettir exactement l'enseignement d'État aux caprices du marché, tant pis si des filières sont mal valorisées par l'emploi privé, car il est désirable qu'une société puisse instruire ceux qui le demandent de littérature, de philosophie et d'histoire, quand bien même ces connaissances serviraient peu aux entreprises
Je suis tout a fait d'accord , d'ou le numerus clausus necessaire dans ces filieres (pour ne garder que les meilleurs quoi).
Il faut aussi purifier par l'Atome la maniere dont les credits sont attribues, vu la place proponderantes que les "Gender Studies" et autre conneries prennent partout. Je lisais des temoignages de Post-Doc en histoire aux US qui expliquait qu'en gros si n'avais pas moyen de lier ton domaine de specialisation aux Black/Gender Studies ou a quelque chose de similaire,tu etais cuit.
D'ou la galere de tout ceux qui etudiaient la periode pre moderne.
Le 11 novembre 2024 à 06:48:00 :
Il faut en revenir à une définition stricte de la bourgeoisie, pour que les gens qui n'en sont pas cessent de s'identifier à cette classe, et par extension, défendent ses intérêts, être un bourgeois est donc une double position, économique d'abord, est bourgeois celui qui est dispensé de vendre sa force de travail pour survivre, il est donc, d'une façon ou d'une autre, rentier d'une activité, et culturelle ensuite, c'est-à-dire que le bourgeois doit maîtriser les codes qui le déterminent correctement dans l'espace social et lui valent la reconnaissance de ses pairs, être bourgeois n'est donc pas qu'une auto-identification, mais une qualité relative, qui dépend essentiellement de l'acceptation de ceux qui sont reconnus comme tels
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Après deux premières années d'histoire, j'ai fait une fac d'arts du spectacle. Je pratiquais le théâtre depuis quelques années.
La massification a outrance des etudes superieure generalistes est une catastrophe, on envoit des generations entiere sdans des formations longues et bullshit car "avec un bac+5, tu trouveras forcement un bon taff"
Et plus un diplômé consacre de son temps de vie à ses études, plus il deviendra redevable de l'institution qui lui a délivré son titre, il faut y voir, quelque part, une dette du ventre, et plus encore, il se sentira d'une condition supérieure à ceux qui n'en ont pas, comme s'il était, finalement, investi d'un droit de mépris, le diplômé s'organise alors, sur le plan social, par un fondement naïf et erroné, car il se croit bien plus solidaire de la bourgeoisie, qui lui est toutefois dissemblable, que des prolétaires, dont il est pourtant nettement plus proche, et voilà qui crée des personnes du type que l'article décrit
Surproduction des "elites". En France ca cree des bac+5 frustres car convaincus d'avoir fait de bonnes etudes, et qui se retrouve a voter LFI. On en voit beaucoup qui fetichise le grade universitaire aussi.
Ceux qui se lancent dans une carrière universitaires sont juste des gens médiocres n’ayant que ça comme débouchés ou ceux qui n’auraient jamais réussi dans le privé
..Tout est dit .. 
Voilà pourquoi la France est sur la pailke : Gabegies a gogo dans ce pays .
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Une firme japonaise et une société française décident de faire une course d’aviron. Les deux équipes s’entraînent dur. Les japonais gagnent avec plus de 1 kilomètre d’avance. Les français sont très affectés. Leur management se réunit pour chercher la cause de l’échec. Une équipe d’audit, constituée de Senior Managers, est désignée. Après enquête, ils concluent que l’équipe japonaise est constituée de huit rameurs pour un barreur, alors que l’équipe française a huit barreurs pour un rameur.
À la lecture de l’audit, le management décide de louer les services de consultants. Après avoir perçu d’énormes honoraires, ils rendent leur avis : l’équipe française doit avoir plus de rameurs et moins de barreurs.
La structure de l’équipe française est donc réorganisée. Mais, comme personne ne veut devenir rameur, il est décidé de créer quatre postes de barreurs superviseur, trois barreurs super intendant et un barreur super intendant assistant manager.
Les français mettent aussi en œuvre un système de stimulation pour encourager le seul rameur de l’équipe à travailler plus. Baptisé « La qualité et le zéro défaut » il repose sur des réunions, des dîners et une prime sur l’objectif pour le rameur. La course se déroule de nouveau, et, cette fois, les japonais gagnent avec 2 kilomètres d’avance.
Humiliée, la direction française licencie le rameur, stoppe la mise en chantier d’un nouvel aviron, vend le bateau et annule tout investissement. Puis elle récompense les barreurs managers de leurs efforts en leur donnant le prix de la Performance. Enfin, elle distribue l’argent économisé par ces mesures de restriction à tous les directeurs seniors.
Tout cela ne vous rappelle pas quelque chose ? : 
.Voilà pourquoi la France est sur la paille .. Gabegies fonctionnarialles a gogo .+ bullshits jobs a gogo
Une firme japonaise et une société française décident de faire une course d’aviron. Les deux équipes s’entraînent dur. Les japonais gagnent avec plus de 1 kilomètre d’avance. Les français sont très affectés. Leur management se réunit pour chercher la cause de l’échec. Une équipe d’audit, constituée de Senior Managers, est désignée. Après enquête, ils concluent que l’équipe japonaise est constituée de huit rameurs pour un barreur, alors que l’équipe française a huit barreurs pour un rameur.
À la lecture de l’audit, le management décide de louer les services de consultants. Après avoir perçu d’énormes honoraires, ils rendent leur avis : l’équipe française doit avoir plus de rameurs et moins de barreurs.
La structure de l’équipe française est donc réorganisée. Mais, comme personne ne veut devenir rameur, il est décidé de créer quatre postes de barreurs superviseur, trois barreurs super intendant et un barreur super intendant assistant manager.
Les français mettent aussi en œuvre un système de stimulation pour encourager le seul rameur de l’équipe à travailler plus. Baptisé « La qualité et le zéro défaut » il repose sur des réunions, des dîners et une prime sur l’objectif pour le rameur. La course se déroule de nouveau, et, cette fois, les japonais gagnent avec 2 kilomètres d’avance.
Humiliée, la direction française licencie le rameur, stoppe la mise en chantier d’un nouvel aviron, vend le bateau et annule tout investissement. Puis elle récompense les barreurs managers de leurs efforts en leur donnant le prix de la Performance. Enfin, elle distribue l’argent économisé par ces mesures de restriction à tous les directeurs seniors.
Tout cela ne vous rappelle pas quelque chose ? :
https://cgtscc8.wixsite.com/website/copie-de-actualit%C3%A9s-6
Ah oui ok topic de gauchofs, je me disais bien ne rien comprendre ni au sens de l'article ni à vos réactions MDR 
Le 11 novembre 2024 à 06:44:51 :
Le 11 novembre 2024 à 06:38:11 :
Après deux premières années d'histoire, j'ai fait une fac d'arts du spectacle. Je pratiquais le théâtre depuis quelques années.
Ah voilà, je me demandais où ça derapait dans son histoire. Y a un truc qui collait pas.
Bah voilà, sélection naturelle
J'ai toujours remarqué que dans ces magazines qui sortent ce genre d'article : Slates mes c.. et compagnie , .... c'est toujours des articles chouinerie ,sur la pauvre condition des femmes,en France..., alors que ces dernières, sont ultra privilégiées .ultra favorisées par le système' ..privilèges sociaux
. Préférence féminine emplioi 0 sueur...préférence féminine logement... .entres gratois boîtes bars ..drinks offerts .Ne connaissent ni la misère affective .ni la misère sexuelle ..La meuf elle chouine..alorsxqu elle a bénéficié d'un bulldhit job , un emploi limite fictif , très bien renumere..+ a du bénéficier de pensions alimentaires + quand elle veut, elle trouve un beta provider en misère affective et sexuelle , pour la financer et l'entretenir
C'est pourquoi je boycotte les slates et autres magasines qui sont t trop dans la chouinerie mensongere féminine . 
Le 11 novembre 2024 à 07:39:15 :
J'ai toujours remarqué que dans ces magazines qui sortent ce genre d'article : Slates mes c.. et compagnie , .... c'est toujours des articles chouinerie ,sur la pauvre condition des femmes,en France..., alors que ces dernières, sont ultra privilégiées .ultra favorisées par le système' ..privilèges sociaux
. Préférence féminine emplioi 0 sueur...préférence féminine logement... .entres gratois boîtes bars ..drinks offerts .Ne connaissent ni la misère affective .ni la misère sexuelle ..La meuf elle chouine..alorsxqu elle a bénéficié d'un bulldhit job , un emploi limite fictif , très bien renumere..+ a du bénéficier de pensions alimentaires + quand elle veut, elle trouve un beta provider en misère affective et sexuelle , pour la financer et l'entretenirC'est pourquoi je boycotte les slates et autres magasines qui sont t trop dans la chouinerie mensongere féminine .
Oui c'est encore plus hypocrite quand c'est une femme et qu'elle a le droit à milles aides
Une éducation bourgeoise 
Il me font rire les prolos de la classe moyenne qui s’imagine devenir propriétaire d’une usine , rouler en lambo tout en espérant avoir la même éducation que les riches
Pour au final finir caissière à Leclerc
Données du topic
- Auteur
- RifsonLSD
- Date de création
- 11 novembre 2024 à 05:54:12
- Nb. messages archivés
- 34
- Nb. messages JVC
- 34