J’insère insidieusement des idées selon lesquelles certains collègues pourraient bénéficier de traitement de faveur. Après avoir semer la graine dans leur subconscient, je l’arrose un peu tous les jours, avec des mots que j’ai, au préalable, relié à un sentiment de colère.
Ainsi, tous les jours, quand je vois leurs tronches, j’exécute mon plan mécaniquement bien ficelé. Il me suffit juste de lancer le meneur avec une phrase bateau, et il se met à pété les plombs.
C’est comme ça que, tout doucement, j’amène un sentiment de révolte et de chaos. Un jour, nous brûlerons nos bureaux, et ce sera un beau brasier