Aimer les culs -> aimer Nietzsche , aimer les seins -> aimer Schopenhauer
En résumer aimer les seins c'est être un essentialiste là où aimer les culs c'est être existentialiste.
Un cul c'est une construction social, il dépend de l'environnement de la femme, de la nourriture de cette dernière, de l'activité sportive qu'elle effectue.
Une femme avec un corps médiocre, peut se forger un cul divin par la volonté et son vitalisme. Le cul des femmes est pur volonté de puissance. L'amateur de cul est un Nietzschen. Il recherche le vitalisme chez la femme est le meilleur indicateur en est son cul.
Là où les seins symbolise la cruauté et le hasard de la vie. Une femme ne décide en rien de la beauté et de la grosseur de ses seins. La Providence donne comme elle en ignore, en abondance et jusqu'à parfois l'excès.
Les seins représentent l'arbitraire de la vie. Sorte de punition ou de bénédictions données à l'adolescence. Aimer les seins c'est aimer la cruauté du hasard de la vie. Une belles femme au beau visage va en plus avoir des seins magnifiques là où une moche n'aura même pas la chance d'en être doter. Fatalisme absolue.
Aimer les seins c'est être adapte de l'école pessimiste de la vie, un adepte de Schopenhauer. Il recherche dans les seins de la femme un rappel de l'injustice de la vie.
Aimer les seins plutôt que les culs c'est plus qu'une simple affaire de goût.
Non. Fin du topic, pas la peine de lire le reste de ta branlette intellectuelle
Et putain j'imagine pas la ruine de stimulation intellectuelle que vous avez atteint pour avoir besoin de faire ce genre de topac
[16:14:06] <MessiBAZOUZOU>
en sah
Plutôt Nietzsche ou Schopenhauer mon bon khey ?
L'op, faut lire quoi en premier de Nietzsche pour découvrir ?
J'ai déjà lu des présentations et des trucs comme ça, maintenant je veux le vrai truc.
[16:22:28] <FirstJesus>
L'op, faut lire quoi en premier de Nietzsche pour découvrir ?J'ai déjà lu des présentations et des trucs comme ça, maintenant je veux le vrai truc.
Généalogie de la moral -> c'est court et tu vas prendre des énormes uppercut
Le 09 novembre 2024 à 16:12:12 :
Aimer les seins plutôt que les culs c'est plus qu'une simple affaire de goût. Cela engage l'être et toutes la profondeur du monde. Ce choix démontre une vision philosophique de la vie que le non initié ne peut comprendre.
En résumer aimer les seins c'est être un essentialiste là où aimer les culs c'est être existentialiste.
Un cul c'est une construction social, il dépend de l'environnement de la femme, de la nourriture de cette dernière, de l'activité sportive qu'elle effectue.
Une femme avec un corps médiocre, peut se forger un cul divin par la volonté et son vitalisme. Le cul des femmes est pur volonté de puissance. L'amateur de cul est un Nietzschen. Il recherche le vitalisme chez la femme est le meilleur indicateur en est son cul.
Là où les seins symbolise la cruauté et le hasard de la vie. Une femme ne décide en rien de la beauté et de la grosseur de ses seins. La Providence donne comme elle en ignore, en abondance et jusqu'à parfois l'excès.
Les seins représentent l'arbitraire de la vie. Sorte de punition ou de bénédictions données à l'adolescence. Aimer les seins c'est aimer la cruauté du hasard de la vie. Une belles femme au beau visage va en plus avoir des seins magnifiques là où une moche n'aura même pas la chance d'en être doter. Fatalisme absolue.
Aimer les seins c'est être adapte de l'école pessimiste de la vie, un adepte de Schopenhauer. Il recherche dans les seins de la femme un rappel de l'injustice de la vie.
Ah mais quel génie ! Vraiment, bravo pour cette analyse profonde et absolument nécessaire de la préférence entre seins et culs. C'est pas tous les jours qu'on rencontre un philosophe aussi audacieux ! Qui d'autre aurait osé comparer les attributs féminins à des concepts de Nietzsche et Schopenhauer ? Franchement, sans ton éclairage, on serait restés de pauvres ignorants, incapables de saisir la subtilité existentielle d'un simple choix esthétique. Tu viens clairement de révolutionner la pensée humaine.
" La quatrième considération est une certaine plénitude des chairs, c’est-à-dire une prédominance de la fonction végétative, de la plasticité, qui promet au fœtus une copieuse nourriture ; aussi une extrême maigreur nous inspire-t-elle une aversion singulière. Un sein de femme bien plein exerce un charme extraordinaire sur le sexe masculin ; c’est que, se trouvant en connexion directe avec les fonctions de reproduction de la femme, il assure au nouveau-né une nourriture abondante. Au contraire les femmes par trop grasses ne nous inspirent que de l’aversion ; la cause en est que cette constitution est un signe d’atrophie de l’utérus et par suite de stérilité ; l’esprit ne s’en rend pas compte, mais l’instinct le sait. "
Données du topic
- Auteur
- Bienpenssant40
- Date de création
- 9 novembre 2024 à 16:12:12
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