L'occident va s'effondrer si Harris passe.
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Laissez-moi vous exposer pourquoi, d’un point de vue économique, l'Occident pourrait effectivement être menacé de déclin sous une présidence Harris. En tant que fervent défenseur de l'économie de marché et fin connaisseur des enjeux financiers globaux, je vois plusieurs raisons de s’inquiéter.
D'abord, Harris est l’incarnation d'une politique interventionniste, favorisant des dépenses sociales massives. Cela signifie des déficits budgétaires qui exploseront à des niveaux encore jamais vus. Pour financer cette croissance incontrôlée de la dépense publique, il faudra soit augmenter les impôts sur les entreprises et les ménages, soit continuer d’imprimer de la monnaie, ce qui entraînera une inflation destructrice. L'histoire économique nous montre que lorsque la dette publique et l'inflation atteignent des niveaux insoutenables, cela mène inévitablement à la perte de confiance des marchés et à la chute de la devise. On l’a vu dans des exemples récents comme au Venezuela.
Ensuite, sa politique d'énergie verte, bien qu'intentionnellement louable, pourrait être un coup de massue pour les industries traditionnelles, notamment le pétrole et le gaz, qui sont encore des piliers de l'économie américaine. En supprimant ces secteurs d'un coup de plume sans alternative immédiate viable, Harris risque de détruire des millions d’emplois et de désindustrialiser des régions entières. Une économie qui tourne le dos à ses propres ressources énergétiques perd son indépendance et devient dépendante des importations, une vulnérabilité stratégique que des puissances comme la Chine exploiteront.
Enfin, sous Harris, la dérégulation que Trump avait amorcée, et qui permet aux entreprises de respirer et de croître, sera complètement renversée. En multipliant les contraintes et les taxes, elle étouffera les petites et moyennes entreprises, qui sont pourtant la colonne vertébrale de l'économie américaine et occidentale. L'innovation, le dynamisme et la compétitivité qui font la force de l'Occident seront freinés, laissant une porte ouverte à l'expansion chinoise.
Ainsi, si Harris passe, l'Occident s'engage dans une voie périlleuse : une économie asphyxiée par la dette, étouffée par la réglementation, et dépendante de ressources extérieures. Un tel scénario est, à mes yeux, rien de moins qu’une voie vers l’effondrement.
Pourquoi on oublie l’Ukraine alors ??
C’est bien de parler mais si c’est dans le vide…
Les dettes extérieures seraient passées de 98% de l'économie étatsunienne à 93% sous Joe Biden mais de 96% à 98% sous Donald Trump. https://www.ceicdata.com/en/indicator/united-states/external-debt--of-nominal-gdp
Ce serait également sous Donald Trump que les dettes publiques aient explosé. https://www.ceicdata.com/en/indicator/united-states/government-debt--of-nominal-gdp
+ Trump n'est pas mieux avec toutes ses taxes douanières, si les américains perdent trop en pouvoir d'achat ça fera boule de neige, sans compter qu'il n'est pas impérialiste, donc il va laisser toutes les autres puissances placer ou bouger leur pion comme pendant la période 2016-2021, c'est pire qu'une crise financière
Le 02 novembre 2024 à 03:22:49 :
D'abord, Harris est l’incarnation d'une politique interventionniste, favorisant des dépenses sociales massives. Cela signifie des déficits budgétaires qui exploseront à des niveaux encore jamais vus. Pour financer cette croissance incontrôlée de la dépense publique, il faudra soit augmenter les impôts sur les entreprises et les ménages, soit continuer d’imprimer de la monnaie, ce qui entraînera une inflation destructrice. L'histoire économique nous montre que lorsque la dette publique et l'inflation atteignent des niveaux insoutenables, cela mène inévitablement à la perte de confiance des marchés et à la chute de la devise. On l’a vu dans des exemples récents comme au Venezuela.
Trump a également fait exploser la dette sous son administration. Il ne prévoit pas non plus de faire revenir le budget à l'équilibre.
Ensuite, sa politique d'énergie verte, bien qu'intentionnellement louable, pourrait être un coup de massue pour les industries traditionnelles, notamment le pétrole et le gaz, qui sont encore des piliers de l'économie américaine. En supprimant ces secteurs d'un coup de plume sans alternative immédiate viable, Harris risque de détruire des millions d’emplois et de désindustrialiser des régions entières. Une économie qui tourne le dos à ses propres ressources énergétiques perd son indépendance et devient dépendante des importations, une vulnérabilité stratégique que des puissances comme la Chine exploiteront.
Le green new deal ne signifie pas la destruction des industries pétrolières.
Enfin, sous Harris, la dérégulation que Trump avait amorcée, et qui permet aux entreprises de respirer et de croître, sera complètement renversée. En multipliant les contraintes et les taxes, elle étouffera les petites et moyennes entreprises, qui sont pourtant la colonne vertébrale de l'économie américaine et occidentale. L'innovation, le dynamisme et la compétitivité qui font la force de l'Occident seront freinés, laissant une porte ouverte à l'expansion chinoise.
C'est contradictoire ce que tu dis. L'économie chinoise est une économie contrôlée, où très peu de startups sont créées. Du coup, comment la Chine communiste peut-elle concurrencer les Etats-Unis, même ces derniers freinent "l'innovation" ?
on peut aussi dire que le partie démocrate c'est pas le PS non plus, haris c'est pas AOC ou bernie sanders.
Le marché de l’énergie fossile aux us aujourd'hui est de 1000 milliards, celui du renouvelable est de 250 milliards, la transition ne se fait pas d'un coup et est largement possible, et nécessaire car la chine c'est 1300 milliards en énergie fossile et 300 milliards pour l’énergie renouvelable, et elle est déjà en transition avancé donc ce sont les américains qui sont en retard, si ils ne souhaitent pas continuer la transition et que l’énergie renouvelable devient la nouvelle norme c'est la Chine qui gagnera.
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- doubledoublex2
- Date de création
- 2 novembre 2024 à 03:22:49
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