Des ÉDUCATRICES ont a usé sexuellement des JEUNES d’un centre de réadaptation à Montréal
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Véronique Dubé / Noovo Info
Guillaume Théroux
Texte :
Guillaume Théroux / Noovo Info
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Le gouvernement de François Legault a annoncé avoir «pris les mesures nécessaires» après avoir pris connaissance des échanges sexuels entre au moins neuf éducatrices et cinq résidants mineurs au centre de réadaptation Cité-des-Prairies dans les deux dernières années.
«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.
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M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»
Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
La redpill est réelle
Le 26 octobre 2024 à 00:45:15 :
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Le gouvernement de François Legault a annoncé avoir «pris les mesures nécessaires» après avoir pris connaissance des échanges sexuels entre au moins neuf éducatrices et cinq résidants mineurs au centre de réadaptation Cité-des-Prairies dans les deux dernières années.
«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
dinguerie
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Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
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honteux
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Le gouvernement de François Legault a annoncé avoir «pris les mesures nécessaires» après avoir pris connaissance des échanges sexuels entre au moins neuf éducatrices et cinq résidants mineurs au centre de réadaptation Cité-des-Prairies dans les deux dernières années.
«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
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La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
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Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
resume ?
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«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
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«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
Elle on juste etaient suspendue
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«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
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Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
c'est pas normal si ça avait ete un homme il aurait prit 20 ans directe mais comme c'est femme on s'en fiche
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«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
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Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
elle doivent etre vraiment laide pour faire sa
Le 26 octobre 2024 à 00:47:34 Teen-Vivante a écrit :
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«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
resume ?
"Le résumé de ce texte est le suivant : Un scandale sexuel a éclaté au centre de réadaptation Cité-des-Prairies à Montréal, impliquant au moins neuf éducatrices et cinq résidents mineurs sur une période de deux ans4
. Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, a qualifié ces révélations de "plus que troublantes" et a annoncé que des mesures nécessaires avaient été prises4
. Le centre, qui accueille les cas les plus complexes de la DPJ dans la région de Montréal, fait l'objet d'une enquête externe et d'une enquête policière du SPVM4
. Une enquête administrative a également été déclenchée en septembre par la directrice de la protection de la jeunesse du CIUSSS local4
. Les personnes impliquées ont été suspendues ou congédiées, y compris deux gestionnaires4
. L'enquête a révélé que certaines éducatrices ont agi en position d'autorité, et que deux d'entre elles sont tombées enceintes de mineurs impliqués4
. Les autorités appellent d'éventuelles victimes supplémentaires ou témoins à se manifester4
."
Le 26 octobre 2024 à 00:45:15 :
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«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
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Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
Pourquoi avoir fait sa alors qu'elles ont tout les chads du monde sur tinder
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Le gouvernement de François Legault a annoncé avoir «pris les mesures nécessaires» après avoir pris connaissance des échanges sexuels entre au moins neuf éducatrices et cinq résidants mineurs au centre de réadaptation Cité-des-Prairies dans les deux dernières années.
«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
Le 26 octobre 2024 à 00:50:42 :
Le 26 octobre 2024 à 00:47:34 Teen-Vivante a écrit :
Le 26 octobre 2024 à 00:45:15 :
Reportage vidéo :
Véronique Dubé / Noovo Info
Guillaume Théroux
Texte :
Guillaume Théroux / Noovo Info
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Le gouvernement de François Legault a annoncé avoir «pris les mesures nécessaires» après avoir pris connaissance des échanges sexuels entre au moins neuf éducatrices et cinq résidants mineurs au centre de réadaptation Cité-des-Prairies dans les deux dernières années.
«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
resume ?
"Le résumé de ce texte est le suivant : Un scandale sexuel a éclaté au centre de réadaptation Cité-des-Prairies à Montréal, impliquant au moins neuf éducatrices et cinq résidents mineurs sur une période de deux ans4
. Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, a qualifié ces révélations de "plus que troublantes" et a annoncé que des mesures nécessaires avaient été prises4
. Le centre, qui accueille les cas les plus complexes de la DPJ dans la région de Montréal, fait l'objet d'une enquête externe et d'une enquête policière du SPVM4
. Une enquête administrative a également été déclenchée en septembre par la directrice de la protection de la jeunesse du CIUSSS local4
. Les personnes impliquées ont été suspendues ou congédiées, y compris deux gestionnaires4
. L'enquête a révélé que certaines éducatrices ont agi en position d'autorité, et que deux d'entre elles sont tombées enceintes de mineurs impliqués4
. Les autorités appellent d'éventuelles victimes supplémentaires ou témoins à se manifester4
."
merci
Le 26 octobre 2024 à 00:45:15 :
Reportage vidéo :
Véronique Dubé / Noovo Info
Guillaume Théroux
Texte :
Guillaume Théroux / Noovo Info
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Le gouvernement de François Legault a annoncé avoir «pris les mesures nécessaires» après avoir pris connaissance des échanges sexuels entre au moins neuf éducatrices et cinq résidants mineurs au centre de réadaptation Cité-des-Prairies dans les deux dernières années.
«Les révélations de La Presse sont plus que troublantes», a déclaré le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, dans une publication sur X au sujet de l’enquête sur le scandale sexuel survenu dans ce centre montréalais où des jeunes sont placés sous garde pour des crimes incluant meurtres, trafic de drogue, proxénétisme ou encore possession d’armes à feu. Le centre jeunesse de Cité-des-Prairies est celui recevant les cas de DPJ les plus complexes de la région de Montréal.Publicité, continuer plus bas
M. Carmant affirme qu’une enquête externe et qu’une enquête policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sont en cours.
«Abuser de jeunes vulnérables est un acte criminel et est passible de poursuites et de condamnations. Tout sera fait pour garantir la protection et la sécurité des jeunes sous notre responsabilité.»
- Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux
Le ministre Carmant en a rajouté dans un courriel envoyé à La Presse canadienne. «Ça lève le cœur, il n'y a pas d'autres mots, ça lève le cœur; l'abus sexuel par des personnes en pouvoir, c'est intolérable, intolérable dans tous les milieux.»Assunta Gallo, directrice de la protection de la jeunesse (DPJ) au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, a confirmé à Noovo Info avoir déclenché une enquête administrative en septembre. Un premier signalement avait été reçu en août dernier pour des allégations de relations inappropriées entre des éducatrices et des jeunes du centre de réadaptation situé à Rivière-des-Prairies. D’autres constats ont été faits par la suite.
«Ce type de situation est inacceptable et nous prenons ces allégations très au sérieux et de façon responsable», a commenté une porte-parole du CIUSSS du Centre-Sud auprès de Noovo Info. «Notre priorité est de garantir la sécurité et le bien-être des jeunes.»
Pour le moment, ces personnes impliquées dans le scandale ont été suspendues ou congédiées, a affirmé la porte-parole Geneviève Paradis. Les autorités n’ont pas précisé le nombre de suspensions ou de congédiements ni les raisons derrière ces décisions, mais précisent que deux gestionnaires ont été suspendus puisque leurs équipes sont directement touchées.
La conclusion de l'enquête du CIUSSS du Centre-Sud est attendue plus tard cet automne. «Nous nous assurons que tous les employés soient rencontrés dans un contexte sécuritaire, de confidentialité et de neutralité», a dit Mme Paradis.
En position d'autorité
Selon la directrice Assunat Gallo, les éducatrices concernées ont agi en position d’autorité. Ils n’excluent pas qu’il puisse y en avoir plus. C’est pourquoi Mme Gallo demande à de potentielles victimes présumées supplémentaires ou à du personnel de contacter les autorités s’ils ont de l’information à relayer.
L’enquête du CIUSSS révèle qu’une des éducatrices impliquées dans le dossier est tombée enceinte d’un des mineurs impliqués. Elle a accouché d’un enfant. Une autre éducatrice porterait l’enfant d’un des jeunes.
Le 26 octobre 2024 à 00:58:52 Air_Jourdren a écrit :
Toutes
c'est animal, c'est humain.
Données du topic
- Auteur
- JacquesShirak
- Date de création
- 26 octobre 2024 à 00:44:22
- Date de suppression
- 28 octobre 2024 à 12:57:00
- Supprimé par
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