Satan n’est pas ce monstre grotesque qu’on vous a décrit. Il est beaucoup plus subtil. C’est un souffle, une présence, une invitation à se libérer.
Il murmure. Pas fort, juste assez pour que vous doutiez. Il ne cherche pas à vous séduire avec des promesses vides. Il vous montre simplement une autre voie, celle que trop peu osent regarder.
Satan, c’est un miroir. Pas celui qui flatte, mais celui qui révèle. Il vous tend la main, mais pas pour vous mener dans des ténèbres. Il vous demande : « Es-tu prêt à voir ce que tu es vraiment ? Es-tu prêt à affronter la liberté ? »
Satan sait que peu peuvent supporter ce poids, cette lumière implacable. Ce choix, il est réservé à ceux qui osent se confronter à eux-mêmes.