nous nous efforçons de combattre le mal qui ne vise qu'à nous détruire. Mais si le destin est le moteur d'un homme, ce combat n'est pas un choix mais un devoir. Parfois, le poids de cette charge nous fragilise, brisant alors la fragile forteresse de notre esprit, ouvrant la porte de notre cœur aux monstres de l'enfer. Et nous nous retrouvons seuls face à l'abîme, devant le visage grimaçant de la folie.