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La france héritère de l'URSS

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La France, grande héritière des valeurs de Staline ? Quand on regarde du côté économique et fiscal, le parallèle est troublant. Alors, pourquoi ne pas admettre que notre cher État-providence est en réalité une version modernisée et bien emballée de ce que Staline aurait adoré ?

1. Le contrôle économique à la Staline

Staline aimait avoir un contrôle total sur l’économie : en URSS, l’État possédait tout, des usines aux terres agricoles. En France, c’est un peu plus subtil, mais le résultat est le même. Plus de la moitié de ce que tu gagnes part directement dans les caisses de l’État, sous forme de cotisations sociales, d’impôts, de TVA, et de multiples autres taxes (sur l'énergie, l'essence, les biens de consommation…). C’est une redistribution massive, et l’État décide qui reçoit quoi. Par le biais des taxes élevé a tous les niveaux de la société l'état est indirectement actionnaire majoritaire de chaque entreprise, chaque parcelle de terrains ou maison.

2. L’État-providence ou la planification déguisée

Staline avait ses plans quinquennaux, la France a son État-providence XXL. Santé gratuite, éducation, aides au logement, chômage, tout est pris en charge par l’État. Cela ressemble à une version modernisée de la planification soviétique : l’État est omniprésent, et sans lui, une bonne partie de la population ne pourrait pas fonctionner. Redistribution à grande échelle, contrôle des dépenses publiques, intervention dans tous les secteurs de la société... La France a mis en place une forme de communisme light, où l'État reste maître du jeu.

3. Les subventions : choisir les gagnants

En URSS, c'était l’État qui décidait quelles industries allaient prospérer. En France, on appelle ça les subventions publiques. L’État injecte des milliards dans des entreprises stratégiques, choisissant qui va réussir et qui va sombrer. Les grands groupes comme Airbus ou Renault reçoivent des aides massives pour rester à flot, tandis que d’autres entreprises moins "chanceuses" sont laissées à leur sort. L’interventionnisme économique est un pilier central de la politique française, exactement comme en URSS.

4. La fiscalité : un outil de redistribution massive

Staline imposait une stricte répartition des richesses, et en France, l’impôt joue ce rôle à la perfection. Avec un système de progressivité fiscale et des prélèvements sociaux énormes, les hauts revenus financent massivement l’État, qui redistribue ensuite cet argent via les aides et les services publics. L’idée ? Réduire les inégalités, tout comme l'URSS le promettait. La seule différence, c’est qu’ici on te le vend comme un modèle de solidarité sociale.

5. Surveillance accrue

Staline rêvait d’un contrôle absolu de la population, et aujourd’hui, en France, on est en bonne voie. Avec la loi récente, la police peut activer les micros et caméras des téléphones à distance, sans que tu t’en rendes compte, pour surveiller les citoyens sous prétexte de sécurité nationale. Cela peut concerner des enquêtes sur le terrorisme ou des crimes graves, mais la frontière est mince. Ce type de surveillance pourrait très bien être utilisé de manière abusive, tout comme le KGB exploitait ses outils de renseignement pour espionner les dissidents.

Conclusion

Entre un système fiscal écrasant, un État-providence omniprésent qui contrôle une grande partie de l’économie, et une politique de subventions massives où l’État choisit les gagnants, la France est bel et bien une version soft du modèle stalinien. Elle a adopté et modernisé les principes clés de la redistribution et de la planification centralisée, faisant d'elle l’héritière économique parfaite des valeurs de Staline, mais avec une touche française, bien sûr.

BTG? on nous vend l'american dram et la réussite niveau consommation mais les gens b vibraient beaucuop mieux en acceptant que nous sommes comparable à l'urss en terme de niveau de vie
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akonadis
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18 octobre 2024 à 10:04:35
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