Toutes les économies que fera le gouvernement français servira à rembourser notre dette de 3000 Mds€
Supprimé3200 milliards de dettes
60 milliards (soi disant) d’économies (seront-elles des économies structurelles, au moins ?)
200 milliards de déficits annuels
Donc non seulement on ne va rien rembourser mais on va continuer à s’endetter chaque année si ça continue comme ça.
AUCUN mot la dessus ?
Le 11 octobre 2024 à 17:22:25 :
Vous avez voulu la droite au pouvoir maintenant vous l'avez, trop tard pour se plaindre les français ont voté pour ça.
Comment tu finances un programme de gauche sans argent ?
Le 11 octobre 2024 à 17:15:25 :
Le plus dur c'est de se dire que tous les plans de Barnier pour augmenter les impôts et baisser les dépenses publiques, pour générer le maximum d'excédent possible, servira essentiellement à freiner et rembourser l'addition des 3 000 milliards d'eurs de dettes que nous aurons laissé les boomers
"les boomers"
Non non, Macron, Lemaire et toute sa clique de multi milliardaires qui veulent pas mettre la main à la poche et devrait finir devant les tribunaux vu leur incompétence notoire.
Ahi j'ai demandé à Chatgpt de faire des économies pour la France
Trouver 60 milliards d’euros d’économies sur le budget de la France pour 2024 nécessite une analyse minutieuse des principales dépenses de l’État, ainsi que des postes potentiels où des réformes ou des réductions sont envisageables sans compromettre excessivement les missions essentielles de l'État. Voici quelques pistes qui pourraient permettre de réaliser des économies d’une telle ampleur. Les propositions sont basées sur des sources fiables et des réformes déjà évoquées par le gouvernement ou les économistes, mais elles doivent être ajustées selon les contextes politiques et sociaux.
1. Réduction des niches fiscales
Les niches fiscales représentent une source importante de dépenses publiques et offrent des allégements d'impôt dans divers secteurs (logement, emploi, investissement, etc.).
Montant total des niches fiscales (2022) : environ 90 milliards d’euros .
Proposition : suppression de 20 % des niches fiscales non essentielles. Cela pourrait inclure certaines niches fiscales jugées inefficaces ou régressives (ex. réductions fiscales pour les hauts revenus sur certains placements).
Économie estimée : 18 milliards d’euros.
2. Réforme des retraites
Le système de retraite représente une part significative du budget public. La réforme des retraites vise à allonger la durée de cotisation et à retarder l'âge de départ à la retraite.
Dépenses pour les retraites (2022) : environ 330 milliards d’euros .
Proposition : accélérer le report de l'âge légal à 64 ans et allonger la durée de cotisation.
Économie estimée : 10 milliards d’euros par an à moyen terme.
3. Réduction des dépenses d’assurance chômage
L’assurance chômage est un autre poste budgétaire important. Une réduction des droits à l'indemnisation ou un durcissement des conditions d'accès peut permettre de réaliser des économies.
Dépenses liées à l'assurance chômage (2022) : environ 43 milliards d’euros .
Proposition : réduction de 10 % des indemnités chômage par un durcissement des conditions d'accès ou une limitation des durées d'indemnisation.
Économie estimée : 4 à 5 milliards d’euros.
4. Réduction des aides au logement (APL)
Les aides au logement sont régulièrement critiquées pour leur inefficacité, car elles tendent à faire augmenter les loyers.
Dépenses pour les APL (2022) : environ 16 milliards d’euros .
Proposition : baisse des APL de 10 % pour les ménages non prioritaires (hors étudiants et personnes précaires).
Économie estimée : 1,5 milliard d’euros.
5. Gel des salaires dans la fonction publique
Le gel ou la modération des salaires dans la fonction publique pourrait permettre de freiner la hausse des dépenses publiques, qui représentent un poids important sur le budget de l'État.
Dépenses de personnel (2022) : environ 290 milliards d’euros .
Proposition : gel des salaires des fonctionnaires pour une année et limitation des recrutements.
Économie estimée : 5 à 6 milliards d’euros.
6. Réduction des subventions aux énergies fossiles
Les subventions aux énergies fossiles sont régulièrement dénoncées comme contraires aux objectifs climatiques de la France.
Dépenses liées aux subventions directes et indirectes pour les énergies fossiles (2022) : environ 8 milliards d’euros .
Proposition : réduction de 50 % des subventions aux énergies fossiles et réorientation vers la transition écologique.
Économie estimée : 4 milliards d’euros.
7. Réduction des dépenses militaires
La France a prévu une augmentation de son budget militaire, notamment pour moderniser ses équipements. Cependant, des efforts pourraient être faits pour limiter la hausse des dépenses dans ce domaine.
Budget de la Défense (2022) : environ 44 milliards d’euros .
Proposition : réduire de 10 % l'augmentation prévue des dépenses militaires (en préservant les capacités essentielles).
Économie estimée : 3 à 4 milliards d’euros.
8. Optimisation des dépenses de santé
La France dispose d'un système de santé performant, mais les dépenses de santé continuent de croître fortement.
Dépenses de santé publiques (2022) : environ 250 milliards d’euros .
Proposition : meilleure maîtrise des dépenses pharmaceutiques et de gestion hospitalière, téléconsultation, réorganisation des soins de premier recours.
Économie estimée : 7 milliards d’euros.
9. Réforme de l'assurance maladie complémentaire
Une réforme visant à mieux réguler les dépenses liées aux complémentaires santé et aux remboursements pourrait générer des économies significatives.
Proposition : réduire les frais de gestion des complémentaires santé (mesure envisagée par la Cour des Comptes).
Économie estimée : 2 à 3 milliards d’euros.
10. Lutte contre la fraude fiscale et sociale
La fraude fiscale et sociale représente une perte importante pour les finances publiques. Bien que la lutte contre la fraude soit déjà une priorité, des efforts supplémentaires peuvent être envisagés.
Estimation des pertes fiscales annuelles : environ 80 à 100 milliards d’euros .
Proposition : renforcement des moyens alloués à la lutte contre la fraude fiscale et sociale, en ciblant en particulier les grandes fraudes.
Économie estimée : 5 milliards d’euros supplémentaires.
Total des économies :
Niches fiscales : 18 milliards d’euros
Réforme des retraites : 10 milliards d’euros
Assurance chômage : 5 milliards d’euros
APL : 1,5 milliard d’euros
Gel des salaires dans la fonction publique : 6 milliards d’euros
Subventions aux énergies fossiles : 4 milliards d’euros
Dépenses militaires : 3 milliards d’euros
Dépenses de santé : 7 milliards d’euros
Assurance maladie complémentaire : 2,5 milliards d’euros
Fraude fiscale et sociale : 5 milliards d’euros
Total : 62 milliards d’euros.
Ces mesures, bien qu’évaluées à plus de 60 milliards d’euros, impliqueraient des réformes structurelles importantes et pourraient susciter des résistances. Il serait important d’accompagner ces réformes d'un dialogue social pour anticiper et gérer les impacts sur les citoyens et les entreprises.
Puis je lui ai demandé pourquoi il n'a pas touché aux retraites géantes des boomers
Tu as tout à fait raison de souligner l'importance des retraites dans les dépenses publiques, notamment celles des baby-boomers, une génération qui a massivement bénéficié du système de retraite à prestations définies instauré après-guerre. Il est vrai que les retraites des boomers, particulièrement celles des plus hauts revenus, représentent une part importante du budget public. Aborder ce sujet est politiquement sensible, mais il existe des leviers pour générer des économies sans nécessairement porter atteinte à la justice sociale.
Voici pourquoi je n'ai pas initialement proposé de toucher spécifiquement aux retraites des boomers et des pistes pour potentiellement agir dessus :
Pourquoi je n'ai pas touché aux retraites des boomers :
Engagements légaux et sociaux : Les retraités actuels perçoivent des pensions basées sur des droits acquis au long de leur carrière. Remettre en cause ces droits soulève des questions constitutionnelles, d'égalité devant la loi, et de confiance dans le contrat social.
Poids électoral des retraités : Les retraités, et particulièrement les baby-boomers, constituent un groupe électoral majeur en France. Politiquement, proposer des réductions de leurs pensions peut être perçu comme un terrain risqué pour tout gouvernement, avec des résistances sociales importantes.
Risque de précarisation des plus modestes : De nombreux retraités, notamment les femmes ou ceux qui ont eu des carrières incomplètes, touchent des pensions modestes. Réduire les pensions pourrait toucher cette frange de la population qui dépend déjà d'aides sociales.
Données du topic
- Auteur
- Phebs
- Date de création
- 11 octobre 2024 à 17:15:25
- Date de suppression
- 11 octobre 2024 à 19:04:00
- Supprimé par
- Auteur
- Nb. messages archivés
- 39
- Nb. messages JVC
- 39