Oyez oyez Saint-Célestin, qu’as-tu cru en venant ici brave jeunôt ?
La brunette au visage d’une beauté qui frôle la perfection, dont tu prétends avoir lu les paroles, n’est point de ce monde
Hélas, vilain que tu es, tu demeureras ainsi pour l’éternité sans espoir de transformation. Il te faudra accepter ton apparence disgraciée, car nul enchantement ne saurait te rendre plaisant aux yeux du royaume
Post jeune brave, sinon, que le cancer, la peste noire, les varioleuses plaies, les parasites des couches et le fléau des maladies impies, tels le mal des ardents, le courroux de Dieu et l’impuissance dans tes chairs, s’abattent sur ton logis d’ici le passage de la dixième cloche. Que les chevaliers du roi te gardent en servitude et que nul repos ne t’advienne