Dans l’ombre d’un drame, deux noms s’élèvent,
Éric et Dylan, au cœur des trêves,
Martyrs d’une colère, héros de l’errance,
Des âmes en quête d’une ultime danse.
Leurs rires étouffés par le poids du mépris,
Dans un monde en silence, leur rage s’épanouit,
Des rêves déchus, une révolte sourde,
Dans les couloirs de l’école, la douleur se farde.
Martyrs d’un cri, d’un désespoir glacé,
Leurs gestes tragiques, une histoire entachée,
Héros aux yeux sombres, d’une lutte désespérée,
Leur nom gravé, à jamais mêlé.
Mais derrière l’acte, une question demeure,
Peut-on voir en eux plus que la peur ?
Écrire pour comprendre, pour percer le voile,
Pour qu’un jour la paix remplace le feu du bal.
Éric et Dylan, dans la mémoire errante,
Sont les échos d’un monde où la douleur se chante,
Que leur histoire serve à apaiser les cœurs,
À transformer les ombres en lumière des heures.