Sa culotte traînait, plus très blanche, élargie par le port de son gros cul. Le chien renifla un coup, deux coups, puis l'emporta dans la gueule. Je regardais placide cette scène. Le chien reniflait avec un plaisir évident ce morceau de tissu imbibé d'odeurs de cul et de chatte. Je me disais qu'après tout, il y a aussi un plaisir pour les bêtes, et je le laissais faire.
Ma compagne entra dans le salon. Quand elle vit le chien en érection en train de mâchouiller la culotte avec excitation, à grands reniflements, les grands reniflements que font les grands chiens, elle resta coite, un peu figée sur place. Puis elle me regarda. Étais-je sérieux ?
Evidemment je ne pouvais pas plaider la cause du chien. Mais la sienne ne m'apparaissait pas justiciable non plus. Cette culotte, elle aurait du la laisser sur son cul, que je regardais avec une complaisance qui me faisait sentir un peu plus proche des sentiments que je partageais avec mon chien
Le chien regardait maintenant cette femme qui me servait de vide-couilles. Une rage sourde, un appétit de bête féroce, sourdait de ses yeux. Il en voulait plus. La culotte n'était, en somme, qu'un amuse-bouche. Le plat principal se faisait maintenant désirer. Le chien, sans considération pour les règles de l'art de la table, se servit lui-même. Le museau entrait, ne sortait plus, et les fesses de ma copine déjà, se balançait d'avant en arrière sur cette truffe humide et maintenant chaude
Evidemment, ça m'excitait, je commençais à me branler. Mais alors que nous allions jouir tous les trois, nous nous rendîmes compte que le voisin observait depuis la grande fenêtre laissée ouverte