Mon plus GROS succès LITTERAIRE de la décennie
Le 18 septembre 2024 à 22:08:50 :
j'aime bien ce genre d'intimité, un peu too much la fin pour moi
mais c'est bien
tu devrais pisser ça sur un blog ou un truc, histoire de.
J'aurais trop peur de me faire voler en foutant tout mon taf sur internet. Là mes nouvelles ça forme un total de 18.000 mots. Je double ça, ils en tirent un bouquin de 180 pages. Mais personne publie des nouvelles d'un random alors je tenterai le coup avec un roman si j'arrive à l'écrire
Le 18 septembre 2024 à 22:11:46 :
Le 18 septembre 2024 à 22:08:50 :
j'aime bien ce genre d'intimité, un peu too much la fin pour moi
mais c'est bien
tu devrais pisser ça sur un blog ou un truc, histoire de.J'aurais trop peur de me faire voler en foutant tout mon taf sur internet. Là mes nouvelles ça forme un total de 18.000 mots. Je double ça, ils en tirent un bouquin de 180 pages. Mais personne publie des nouvelles d'un random alors je tenterai le coup avec un roman si j'arrive à l'écrire
don't try you know
Le 18 septembre 2024 à 22:12:57 :
Franchement l'OP, je viens de lire ta nouvelle, continue à faire des critiques de films stp.
Franchement je viens de lire ta critique, continue d'écrire des nouvelles stp
Le 18 septembre 2024 à 22:06:01 Eussoudore50 a écrit :
Le 18 septembre 2024 à 22:01:19 :
Le 18 septembre 2024 à 21:59:59 :
Le 18 septembre 2024 à 21:57:11 :
Le 18 septembre 2024 à 21:56:43 :
> Le 18 septembre 2024 à 21:34:52 :
>> Le 18 septembre 2024 à 21:33:03 :
> >> Le 18 septembre 2024 à 21:29:30 :
> > >lien vers tes écrits
> >
> > https://www.senscritique.com/film/kaizen_un_an_pour_gravir_l_everest/critique/310404378
>
> nan mais ce con là je m'en fout khey, tes trucs à toi
ha bah c'est con
ça parle de quoi ?J'ai des mémoires sur Sartre et Bergson, une vingtaine de nouvelles plus ou moins érotiques où je montre des hommes toxiques envers les femmes, un récit d'aventure où je raconte 2000km de rando
des hommes toxiques ?
ta best nouvelles je peux la lire ? je suis trop con pour sartre et trop peureux pour l'aventure mais les histoires de cul j'aime bienVas-y cash à la bonne franquette
C’est long - putain - quatre heures. La lande. La lande. La lande. Toujours plus au sud, mais toujours de la lande. Putain de bus. Voyager, j’aime pas ça. C’est pour Elodie que je viens. Elle est bien, côté fenêtre. Roupille, va ! Tu la verras, ton Ariège. Et cette ligne droite, là - l’autoroute - qui me lave la cervelle. Avec ce moteur monotone - merde ! Si Elodie n’avait pas ses valeurs, on aurait prit l’avion. Une pause ! A la bonne heure ! Une demi-heure, dit le chauffeur. Ca descend comme un troupeau - flemme de bouger. Elodie remue : elle se réveille. Elle a l’air heureuse - c’est chouette - sur l’aire d’autoroute. On est où ? Je sais pas - dans la lande. Ca la fait rire. Avec son regard endormi, elle vient déjà chercher son baiser. Une demi-heure… C’est moche, une aire d’autoroute - et long, aussi. Une main sur ma cuisse, sous le plaid. Paraît qu’on y vend des Vittel à trois euros - les salauds ! Faut avoir soif. 20 minutes de taf au smic pour un peu de flotte. Il pleut, en plus - un peu. Elodie se les pèle : elle se colle à moi. Reste plus grand monde, ici. Ils ont tous du aller pisser. C’est calme, sans le moteur. Mais il y a ceux des autres, là-bas, sur l’autoroute. Ils hurlent comme des monstres - surtout les camions.
Putain ! Je regarde Elodie - elle me regardait déjà. Elle a fait glisser sa main sous mon froc. Qu’est-ce qu’il lui prend ! Ah, il est plus endormi son regard - non ! Il est même bien allumé, tout-à-coup.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- De quoi tu parles ?
- Ici, là, dans un bus ?
- Je t’aime.Et merde, elle est déjà partie. Quelle connerie. Rien n’arrêtera sa bêtise. Bah ! Il y a le plaid - mais quelle connerie ! Elodie est douée - ce n’est pas le moment, mais c’est pour ça qu’elle est douée. Ses doigts me font bander - des petits doigts tout fins. Jamais su comment elle faisait. Sa petite main glisse partout, de la base jusqu’au sommet - qu’elle est douée ! Il fait bon dans le bus. Dehors, la végétation a changé de figure. J’avais pas fait gaffe. Des arbres qu’on a pas chez nous, pas mal de plantes piquantes, piquantes, piquantes, comme un plaisir. Putain, Elodie ! Elle est sérieuse - elle veut me faire jouir. Avec ses airs de rien, à la surface. C’est trop con - je lui résiste. Alors elle m’embrasse - beaucoup trop fort : à la limite d’y foutre la langue. Les autres commencent à revenir. Ca ne l’arrête pas - on dirait même que ça l’excite. Avec ses yeux provocateurs, là ! Elle sait exactement où j’en suis. Quand elle me sent à la rupture, elle me donne ses coups les plus francs. Merde ! Je dois produire un immense effort pour faire comme s’il ne se passait rien. Elodie n’a même pas retiré sa main. Jusqu’au bout, putain. Et maintenant qu’on repart, j’ai honte. Mais elle - Elodie - sort sa petite main toute tâchée, et elle se lèche les doigts. Putain de merde. Le plus naturellement du monde, comme en finissant un paquet de chips. Et avec ses yeux enflammés, son sourire complice, elle me dit qu’en avion, elle n’aurait jamais eu le temps.
"Ah ! s'écria-t-elle en sentant la colère lui donner une envie de vengeance"
Le 18 septembre 2024 à 22:16:10 :
Le 18 septembre 2024 à 22:06:01 Eussoudore50 a écrit :
Le 18 septembre 2024 à 22:01:19 :
Le 18 septembre 2024 à 21:59:59 :
Le 18 septembre 2024 à 21:57:11 :
> Le 18 septembre 2024 à 21:56:43 :
>> Le 18 septembre 2024 à 21:34:52 :
> >> Le 18 septembre 2024 à 21:33:03 :
> > >> Le 18 septembre 2024 à 21:29:30 :
> > > >lien vers tes écrits
> > >
> > > https://www.senscritique.com/film/kaizen_un_an_pour_gravir_l_everest/critique/310404378
> >
> > nan mais ce con là je m'en fout khey, tes trucs à toi
>
> J'ai pas pu les faire publier
ha bah c'est con
ça parle de quoi ?J'ai des mémoires sur Sartre et Bergson, une vingtaine de nouvelles plus ou moins érotiques où je montre des hommes toxiques envers les femmes, un récit d'aventure où je raconte 2000km de rando
des hommes toxiques ?
ta best nouvelles je peux la lire ? je suis trop con pour sartre et trop peureux pour l'aventure mais les histoires de cul j'aime bienVas-y cash à la bonne franquette
C’est long - putain - quatre heures. La lande. La lande. La lande. Toujours plus au sud, mais toujours de la lande. Putain de bus. Voyager, j’aime pas ça. C’est pour Elodie que je viens. Elle est bien, côté fenêtre. Roupille, va ! Tu la verras, ton Ariège. Et cette ligne droite, là - l’autoroute - qui me lave la cervelle. Avec ce moteur monotone - merde ! Si Elodie n’avait pas ses valeurs, on aurait prit l’avion. Une pause ! A la bonne heure ! Une demi-heure, dit le chauffeur. Ca descend comme un troupeau - flemme de bouger. Elodie remue : elle se réveille. Elle a l’air heureuse - c’est chouette - sur l’aire d’autoroute. On est où ? Je sais pas - dans la lande. Ca la fait rire. Avec son regard endormi, elle vient déjà chercher son baiser. Une demi-heure… C’est moche, une aire d’autoroute - et long, aussi. Une main sur ma cuisse, sous le plaid. Paraît qu’on y vend des Vittel à trois euros - les salauds ! Faut avoir soif. 20 minutes de taf au smic pour un peu de flotte. Il pleut, en plus - un peu. Elodie se les pèle : elle se colle à moi. Reste plus grand monde, ici. Ils ont tous du aller pisser. C’est calme, sans le moteur. Mais il y a ceux des autres, là-bas, sur l’autoroute. Ils hurlent comme des monstres - surtout les camions.
Putain ! Je regarde Elodie - elle me regardait déjà. Elle a fait glisser sa main sous mon froc. Qu’est-ce qu’il lui prend ! Ah, il est plus endormi son regard - non ! Il est même bien allumé, tout-à-coup.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- De quoi tu parles ?
- Ici, là, dans un bus ?
- Je t’aime.Et merde, elle est déjà partie. Quelle connerie. Rien n’arrêtera sa bêtise. Bah ! Il y a le plaid - mais quelle connerie ! Elodie est douée - ce n’est pas le moment, mais c’est pour ça qu’elle est douée. Ses doigts me font bander - des petits doigts tout fins. Jamais su comment elle faisait. Sa petite main glisse partout, de la base jusqu’au sommet - qu’elle est douée ! Il fait bon dans le bus. Dehors, la végétation a changé de figure. J’avais pas fait gaffe. Des arbres qu’on a pas chez nous, pas mal de plantes piquantes, piquantes, piquantes, comme un plaisir. Putain, Elodie ! Elle est sérieuse - elle veut me faire jouir. Avec ses airs de rien, à la surface. C’est trop con - je lui résiste. Alors elle m’embrasse - beaucoup trop fort : à la limite d’y foutre la langue. Les autres commencent à revenir. Ca ne l’arrête pas - on dirait même que ça l’excite. Avec ses yeux provocateurs, là ! Elle sait exactement où j’en suis. Quand elle me sent à la rupture, elle me donne ses coups les plus francs. Merde ! Je dois produire un immense effort pour faire comme s’il ne se passait rien. Elodie n’a même pas retiré sa main. Jusqu’au bout, putain. Et maintenant qu’on repart, j’ai honte. Mais elle - Elodie - sort sa petite main toute tâchée, et elle se lèche les doigts. Putain de merde. Le plus naturellement du monde, comme en finissant un paquet de chips. Et avec ses yeux enflammés, son sourire complice, elle me dit qu’en avion, elle n’aurait jamais eu le temps.
"Ah ! s'écria-t-elle en sentant la colère lui donner une envie de vengeance"
Juste pour rappel le 18-25 je vous ai fait lire du Proust, du Céline, du Dosto en vous faisant croire que c'était moi, et à chaque fois vous m'avez dit que c'était de la merde. Donc on connaît la valeurs de vos avis concernant la littérature. Vous êtes un public à risifics
Le 18 septembre 2024 à 22:17:14 :
J'avais oublié ce site j'ai été voir, j'ai une liste qui a été vu 10k si j'en crois l'espèce de succèsComment ont vois le nombre exact l'op ?
En bas de la critique. Tu peux voir qui a liké aussi
Le 18 septembre 2024 à 22:20:11 Eussoudore50 a écrit :
Le 18 septembre 2024 à 22:16:10 :
Le 18 septembre 2024 à 22:06:01 Eussoudore50 a écrit :
Le 18 septembre 2024 à 22:01:19 :
Le 18 septembre 2024 à 21:59:59 :
> Le 18 septembre 2024 à 21:57:11 :
>> Le 18 septembre 2024 à 21:56:43 :
> >> Le 18 septembre 2024 à 21:34:52 :
> > >> Le 18 septembre 2024 à 21:33:03 :
> > > >> Le 18 septembre 2024 à 21:29:30 :
> > > > >lien vers tes écrits
> > > >
> > > > https://www.senscritique.com/film/kaizen_un_an_pour_gravir_l_everest/critique/310404378
> > >
> > > nan mais ce con là je m'en fout khey, tes trucs à toi
> >
> > J'ai pas pu les faire publier
>
> ha bah c'est con
> ça parle de quoi ?
J'ai des mémoires sur Sartre et Bergson, une vingtaine de nouvelles plus ou moins érotiques où je montre des hommes toxiques envers les femmes, un récit d'aventure où je raconte 2000km de rando
des hommes toxiques ?
ta best nouvelles je peux la lire ? je suis trop con pour sartre et trop peureux pour l'aventure mais les histoires de cul j'aime bienVas-y cash à la bonne franquette
C’est long - putain - quatre heures. La lande. La lande. La lande. Toujours plus au sud, mais toujours de la lande. Putain de bus. Voyager, j’aime pas ça. C’est pour Elodie que je viens. Elle est bien, côté fenêtre. Roupille, va ! Tu la verras, ton Ariège. Et cette ligne droite, là - l’autoroute - qui me lave la cervelle. Avec ce moteur monotone - merde ! Si Elodie n’avait pas ses valeurs, on aurait prit l’avion. Une pause ! A la bonne heure ! Une demi-heure, dit le chauffeur. Ca descend comme un troupeau - flemme de bouger. Elodie remue : elle se réveille. Elle a l’air heureuse - c’est chouette - sur l’aire d’autoroute. On est où ? Je sais pas - dans la lande. Ca la fait rire. Avec son regard endormi, elle vient déjà chercher son baiser. Une demi-heure… C’est moche, une aire d’autoroute - et long, aussi. Une main sur ma cuisse, sous le plaid. Paraît qu’on y vend des Vittel à trois euros - les salauds ! Faut avoir soif. 20 minutes de taf au smic pour un peu de flotte. Il pleut, en plus - un peu. Elodie se les pèle : elle se colle à moi. Reste plus grand monde, ici. Ils ont tous du aller pisser. C’est calme, sans le moteur. Mais il y a ceux des autres, là-bas, sur l’autoroute. Ils hurlent comme des monstres - surtout les camions.
Putain ! Je regarde Elodie - elle me regardait déjà. Elle a fait glisser sa main sous mon froc. Qu’est-ce qu’il lui prend ! Ah, il est plus endormi son regard - non ! Il est même bien allumé, tout-à-coup.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- De quoi tu parles ?
- Ici, là, dans un bus ?
- Je t’aime.Et merde, elle est déjà partie. Quelle connerie. Rien n’arrêtera sa bêtise. Bah ! Il y a le plaid - mais quelle connerie ! Elodie est douée - ce n’est pas le moment, mais c’est pour ça qu’elle est douée. Ses doigts me font bander - des petits doigts tout fins. Jamais su comment elle faisait. Sa petite main glisse partout, de la base jusqu’au sommet - qu’elle est douée ! Il fait bon dans le bus. Dehors, la végétation a changé de figure. J’avais pas fait gaffe. Des arbres qu’on a pas chez nous, pas mal de plantes piquantes, piquantes, piquantes, comme un plaisir. Putain, Elodie ! Elle est sérieuse - elle veut me faire jouir. Avec ses airs de rien, à la surface. C’est trop con - je lui résiste. Alors elle m’embrasse - beaucoup trop fort : à la limite d’y foutre la langue. Les autres commencent à revenir. Ca ne l’arrête pas - on dirait même que ça l’excite. Avec ses yeux provocateurs, là ! Elle sait exactement où j’en suis. Quand elle me sent à la rupture, elle me donne ses coups les plus francs. Merde ! Je dois produire un immense effort pour faire comme s’il ne se passait rien. Elodie n’a même pas retiré sa main. Jusqu’au bout, putain. Et maintenant qu’on repart, j’ai honte. Mais elle - Elodie - sort sa petite main toute tâchée, et elle se lèche les doigts. Putain de merde. Le plus naturellement du monde, comme en finissant un paquet de chips. Et avec ses yeux enflammés, son sourire complice, elle me dit qu’en avion, elle n’aurait jamais eu le temps.
"Ah ! s'écria-t-elle en sentant la colère lui donner une envie de vengeance"
Juste pour rappel le 18-25 je vous ai fait lire du Proust, du Céline, du Dosto en vous faisant croire que c'était moi, et à chaque fois vous m'avez dit que c'était de la merde. Donc on connaît la valeurs de vos avis concernant la littérature. Vous êtes un public à risifics
Ahi c'était gratuit juste pour le placer kheyou j'ai même pas lu ton truc t'inquiètes
Le 18 septembre 2024 à 22:20:11 :
Le 18 septembre 2024 à 22:16:10 :
Le 18 septembre 2024 à 22:06:01 Eussoudore50 a écrit :
Le 18 septembre 2024 à 22:01:19 :
Le 18 septembre 2024 à 21:59:59 :
> Le 18 septembre 2024 à 21:57:11 :
>> Le 18 septembre 2024 à 21:56:43 :
> >> Le 18 septembre 2024 à 21:34:52 :
> > >> Le 18 septembre 2024 à 21:33:03 :
> > > >> Le 18 septembre 2024 à 21:29:30 :
> > > > >lien vers tes écrits
> > > >
> > > > https://www.senscritique.com/film/kaizen_un_an_pour_gravir_l_everest/critique/310404378
> > >
> > > nan mais ce con là je m'en fout khey, tes trucs à toi
> >
> > J'ai pas pu les faire publier
>
> ha bah c'est con
> ça parle de quoi ?
J'ai des mémoires sur Sartre et Bergson, une vingtaine de nouvelles plus ou moins érotiques où je montre des hommes toxiques envers les femmes, un récit d'aventure où je raconte 2000km de rando
des hommes toxiques ?
ta best nouvelles je peux la lire ? je suis trop con pour sartre et trop peureux pour l'aventure mais les histoires de cul j'aime bienVas-y cash à la bonne franquette
C’est long - putain - quatre heures. La lande. La lande. La lande. Toujours plus au sud, mais toujours de la lande. Putain de bus. Voyager, j’aime pas ça. C’est pour Elodie que je viens. Elle est bien, côté fenêtre. Roupille, va ! Tu la verras, ton Ariège. Et cette ligne droite, là - l’autoroute - qui me lave la cervelle. Avec ce moteur monotone - merde ! Si Elodie n’avait pas ses valeurs, on aurait prit l’avion. Une pause ! A la bonne heure ! Une demi-heure, dit le chauffeur. Ca descend comme un troupeau - flemme de bouger. Elodie remue : elle se réveille. Elle a l’air heureuse - c’est chouette - sur l’aire d’autoroute. On est où ? Je sais pas - dans la lande. Ca la fait rire. Avec son regard endormi, elle vient déjà chercher son baiser. Une demi-heure… C’est moche, une aire d’autoroute - et long, aussi. Une main sur ma cuisse, sous le plaid. Paraît qu’on y vend des Vittel à trois euros - les salauds ! Faut avoir soif. 20 minutes de taf au smic pour un peu de flotte. Il pleut, en plus - un peu. Elodie se les pèle : elle se colle à moi. Reste plus grand monde, ici. Ils ont tous du aller pisser. C’est calme, sans le moteur. Mais il y a ceux des autres, là-bas, sur l’autoroute. Ils hurlent comme des monstres - surtout les camions.
Putain ! Je regarde Elodie - elle me regardait déjà. Elle a fait glisser sa main sous mon froc. Qu’est-ce qu’il lui prend ! Ah, il est plus endormi son regard - non ! Il est même bien allumé, tout-à-coup.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- De quoi tu parles ?
- Ici, là, dans un bus ?
- Je t’aime.Et merde, elle est déjà partie. Quelle connerie. Rien n’arrêtera sa bêtise. Bah ! Il y a le plaid - mais quelle connerie ! Elodie est douée - ce n’est pas le moment, mais c’est pour ça qu’elle est douée. Ses doigts me font bander - des petits doigts tout fins. Jamais su comment elle faisait. Sa petite main glisse partout, de la base jusqu’au sommet - qu’elle est douée ! Il fait bon dans le bus. Dehors, la végétation a changé de figure. J’avais pas fait gaffe. Des arbres qu’on a pas chez nous, pas mal de plantes piquantes, piquantes, piquantes, comme un plaisir. Putain, Elodie ! Elle est sérieuse - elle veut me faire jouir. Avec ses airs de rien, à la surface. C’est trop con - je lui résiste. Alors elle m’embrasse - beaucoup trop fort : à la limite d’y foutre la langue. Les autres commencent à revenir. Ca ne l’arrête pas - on dirait même que ça l’excite. Avec ses yeux provocateurs, là ! Elle sait exactement où j’en suis. Quand elle me sent à la rupture, elle me donne ses coups les plus francs. Merde ! Je dois produire un immense effort pour faire comme s’il ne se passait rien. Elodie n’a même pas retiré sa main. Jusqu’au bout, putain. Et maintenant qu’on repart, j’ai honte. Mais elle - Elodie - sort sa petite main toute tâchée, et elle se lèche les doigts. Putain de merde. Le plus naturellement du monde, comme en finissant un paquet de chips. Et avec ses yeux enflammés, son sourire complice, elle me dit qu’en avion, elle n’aurait jamais eu le temps.
"Ah ! s'écria-t-elle en sentant la colère lui donner une envie de vengeance"
Juste pour rappel le 18-25 je vous ai fait lire du Proust, du Céline, du Dosto en vous faisant croire que c'était moi, et à chaque fois vous m'avez dit que c'était de la merde. Donc on connaît la valeurs de vos avis concernant la littérature. Vous êtes un public à risifics
Le 18 septembre 2024 à 22:17:14 :
J'avais oublié ce site j'ai été voir, j'ai une liste qui a été vu 10k si j'en crois l'espèce de succèsComment ont vois le nombre exact l'op ?
En bas de la critique. Tu peux voir qui a liké aussi
Cimer mais c'est une liste annoté y a que les likes et commentaires, j'attendrais le prochain badge
Données du topic
- Auteur
- Eussoudore50
- Date de création
- 18 septembre 2024 à 21:25:31
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