Nietzsche qui détruit les cuistres lecteurs

Le 27 septembre 2024 à 21:31:38 :

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Le 27 septembre 2024 à 21:23:56 :

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> Le 27 septembre 2024 à 21:18:35 :

>> Le 27 septembre 2024 à 21:17:10 :

> >> Le 27 septembre 2024 à 21:14:54 :

> > >> Le 27 septembre 2024 à 21:12:26 :

> > > >> Le 27 septembre 2024 à 21:08:57 :

> > > > >> Le 27 septembre 2024 à 21:06:22 :

> > > > > >> Le 27 septembre 2024 à 21:05:42 :

> > > > > > >Oui c'est sûr que c'est pas du tout depuis que les gens lisent plus de livres, n'ont plus aucune valeurs et s'explosent le crane devant du porno, des jv, les réseaux et d'autres débilités que la société est en effondrement

> > > > > >

> > > > > > on s'enfou de créer des richesses et des biens matériels le golem

> > > > >

> > > > > Pourtant c'est ton Nietzsche qui a critiqué les golems d'aujourd'hui débiles et paresseux qu'il a appelé les "derniers hommes" dans son livre ainsi parlait zarathoustra prendre exemple sur nietzsche, philosophe bipolaire qui a lui même dit qu'il fallait surtout pas l'écouter, ni lui ni les autres philosophes mais simplement accumuler du savoir et le recracher ensuite d'ailleurs tu dis qu'il faut pas suivre les instructions dans les livres, mais pourtant tu le fais en suivant ce que dit nietzsche, qui a lui même dit qu'il ne fallait surtout pas le suivre à la lettre, MOUTON

> > > >

> > > > Y'a un contresens là

> > >

> > > y'a aucun contresens, pour Nietzsche, il faut lire les philosophes comme tu lierais un magazine c'est tout Il hait simplement les golems qui changent de philosophie de vie en lisant 1 livre, ce qui est réel

> > > On lit un livre de Nietzsche et on devient nihiliste

> > > On lit un livre de Marc Aurèle et on devient stoicien

> >

> > Aya, c'est quand tu dis ça : " qui a lui même dit qu'il fallait surtout pas l'écouter, ni lui ni les autres philosophes mais simplement accumuler du savoir et le recracher ensuite "

> >

> >

> > Y'a une contradiction là non ?

> >

> > Édit : ah ok j'ai capté le sens de 'recracher' ahi

> >

> > J'ai été long

>

> demande toi pourquoi ils ont écrit des livres, tu comprendras très vite que tu es le vide couille de ces personnes célèbres

C'est vrai que, les philosophes revanchards et hargneux qui n'aspirent qu'à la domination littéraire et la reconnaissance..

Nietzsche qui pond des livres sur la volonté de puissance de l'homme alors que c'est un 0 tout Seneque qui pond un livre sur le stoicisme, qui prône la vertu alors que c'est un énorme riche qui possède des esclaves et baise des escorts D'ailleurs son ivre "La vie heureuse / La brièveté de la vie" m'a bien fait rire, pendant tout le livre il se justifie sur pourquoi il applique pas ses conseils de vertu

aucun philosophe de l'antiquité hormis Diogène mets en pratique sa philosophie, c'est un "idéal" auquel ils ont pensé mais dans le reel ...

Nietzsche c'était pas un 0 tout du tout, c'était un mâle alpha hein, quand on pense au cliché du philosophe allemand misogyne qui bz pas, en fait c'est à cause de Schopenhaur qui lui était vraiment un incel

Oh khey, j'espère que ça va :-d.

Je lis Schopenhauer actuellement l'art de l'insulte et l'art d'être heureux. J'ai bien ris j'avoue.

Ca va et toi ?

Schopenhauer est connu pour être un grincheux bourgeois imbu de sa personne, il était insupportable en plus d'être moche, intelligent certe mais c'était vraiment un zinzin dépressif, il me fait penser à certains forumeurs

par contre Nietzsche, au contraire, c'était un mec ultra joyeux, il avait de l'énergie, c'était un romantique, il aimait la vie, sa philosophie d'ailleurs c'est l'amour de la vie, la vrai vie avec un grand V comme il disait.

Le 27 septembre 2024 à 21:28:55 :
Ça peut être intéressant de lire des bouquins, mais faut pas oublier qu'il n'y a que des mégalomanes qui se sont fait connaître parce qu'ils faisaient parti du cercle bourgeois.

Même Marx qui critique ce fait en est lui même victime.

En gros la postérité serait basée sur l'entre soi bourgeois ? en vrai c'est possible, rien que rené Huguenin, sa petite postérité est forcément due à sa proximité avec Gracq, Malraux...

Le 27 septembre 2024 à 21:23:45 :

Le 27 septembre 2024 à 21:22:56 :
À votre avis Nietzsche il serait ok sur le porno ? Ou pas ok ?

Il écrirait surement un livre pour te dire qu'il est ok le Lundi, puis un autre le mardi ou il écrirait 100 pages ou il dirait qu'il est contre

Ahi

Avec un aphorisme sur la déchéance des catégories "shemale"

Le 27 septembre 2024 à 21:28:17 :

aucun philosophe de l'antiquité hormis Diogène mets en pratique sa philosophie, c'est un "idéal" auquel ils ont pensé mais dans le reel ...

En même temps, personne à part le mec isolé dans sa montagne n'arriverait à resister aux plaisirs et à rester calme face à des situations énervantes de lavie quotidienne (surtout aujourd'hui)
Tu crois que quand le controleur du train me met 100balles d'amende je me dis "ça ne dépend pas de moi " Non j'ai juste envie de lui péter la gueule

En ce sens ça dépend un peu de toi...

Aldous Huxley critique lui aussi l'intellectualisme dans ce passage de son roman Contrepoint, paru en 1928, 4 ans avant Le Meilleur des mondes :

Je perçois maintenant que le véritable charme de la vie intellectuelle - la vie consacrée à l'érudition, à la recherche scientifique, à la philosophie, à l'esthétique, à la critique - est sa facilité. C'est la substitution de schémas intellectuels simples aux complexités de la réalité ; de la mort immobile et formelle aux mouvements déconcertants de la vie. Il est incomparablement plus facile d'en savoir beaucoup, disons, sur l'histoire de l'art et d'avoir des idées profondes sur la métaphysique et la sociologie, que de connaître personnellement et intuitivement beaucoup de choses sur ses semblables et d'avoir des relations satisfaisantes avec ses amis et ses amants, sa femme et ses enfants.
La vie est beaucoup plus difficile que le sanskrit, la chimie ou l'économie. La vie intellectuelle est un jeu d'enfant ; c'est pourquoi les intellectuels ont tendance à devenir des enfants - puis des imbéciles et enfin, comme le montre clairement l'histoire politique et industrielle des derniers siècles, des fous meurtriers et des bêtes sauvages. Les fonctions réprimées ne meurent pas ; elles se détériorent, elles s'enveniment, elles retournent à la primitivité. Mais entre-temps, il est beaucoup plus facile d'être un enfant intellectuel, un fou ou une bête qu'un homme adulte harmonieux. C'est pourquoi (entre autres raisons) il y a une telle demande d'éducation supérieure. La ruée vers les livres et les universités est comme la ruée vers les débits de boissons. Les gens veulent noyer leur prise de conscience des difficultés à vivre correctement dans ce monde contemporain grotesque, ils veulent oublier leur propre inefficacité déplorable en tant qu'artistes dans la vie. Certains noient leur chagrin dans l'alcool, mais encore plus nombreux sont ceux qui le noient dans les livres et le dilettantisme artistique ; certains essaient de s'oublier dans la fornication, la danse, le cinéma, l'écoute, d'autres dans les conférences et les hobbies scientifiques. Les livres et les conférences sont de meilleurs noyeurs de chagrin que l'alcool et la fornication ; ils ne laissent aucun mal de tête, aucun de ces sentiments désespérants post-coïtum triste.
Jusqu'à tout récemment, je dois avouer que je prenais très au sérieux l'apprentissage, la philosophie et la science, toutes ces activités que l'on regroupe avec grandiloquence sous le titre de Recherche de la vérité. Je considérais la recherche de la vérité comme la plus haute des tâches humaines et les chercheurs comme les plus nobles des hommes. Mais depuis un an environ, j'ai commencé à voir que cette fameuse Recherche de la Vérité n'est qu'un amusement, une distraction comme une autre, un substitut plutôt raffiné et élaboré de la vie véritable ; et que les Chercheurs de Vérité deviennent tout aussi stupides, infantiles et corrompus à leur manière que les ivrognes, les esthètes purs, les hommes d'affaires, les partisans de la Bonne Vie à la leur. J'ai aussi perçu que la recherche de la Vérité n'est qu'un nom poli pour le passe-temps favori de l'intellectuel qui consiste à substituer des abstractions simples et donc fausses aux complexités vivantes de la réalité. Mais la recherche de la Vérité est beaucoup plus facile que l'apprentissage de l'art de vivre intégral (dans lequel, bien sûr, la recherche de la Vérité prendra sa place véritable et proportionnée, avec les autres amusements, comme les quilles et l'escalade).
Ce qui explique, mais ne justifie pas, que je continue à m’adonner de façon excessive aux les vices de la lecture d’informations et de la généralisation abstraite. Aurai-je jamais la force d'esprit de me défaire de ces indolentes habitudes d'intellectualisme et de consacrer mes énergies à la tâche plus sérieuse et plus difficile de vivre intégralement ? Et même si j'essayais de me défaire de ces habitudes, ne découvrirais-je pas que l'hérédité en est à la base et que je suis congénitalement incapable de vivre pleinement et harmonieusement ?

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> > > > > > >> Le 27 septembre 2024 à 21:05:42 :

> > > > > > > >Oui c'est sûr que c'est pas du tout depuis que les gens lisent plus de livres, n'ont plus aucune valeurs et s'explosent le crane devant du porno, des jv, les réseaux et d'autres débilités que la société est en effondrement

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> > > > > > > on s'enfou de créer des richesses et des biens matériels le golem

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> > > > > > Pourtant c'est ton Nietzsche qui a critiqué les golems d'aujourd'hui débiles et paresseux qu'il a appelé les "derniers hommes" dans son livre ainsi parlait zarathoustra prendre exemple sur nietzsche, philosophe bipolaire qui a lui même dit qu'il fallait surtout pas l'écouter, ni lui ni les autres philosophes mais simplement accumuler du savoir et le recracher ensuite d'ailleurs tu dis qu'il faut pas suivre les instructions dans les livres, mais pourtant tu le fais en suivant ce que dit nietzsche, qui a lui même dit qu'il ne fallait surtout pas le suivre à la lettre, MOUTON

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> > > > > Y'a un contresens là

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> > > > y'a aucun contresens, pour Nietzsche, il faut lire les philosophes comme tu lierais un magazine c'est tout Il hait simplement les golems qui changent de philosophie de vie en lisant 1 livre, ce qui est réel

> > > > On lit un livre de Nietzsche et on devient nihiliste

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> > > Aya, c'est quand tu dis ça : " qui a lui même dit qu'il fallait surtout pas l'écouter, ni lui ni les autres philosophes mais simplement accumuler du savoir et le recracher ensuite "

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> > > Y'a une contradiction là non ?

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> > > Édit : ah ok j'ai capté le sens de 'recracher' ahi

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> > demande toi pourquoi ils ont écrit des livres, tu comprendras très vite que tu es le vide couille de ces personnes célèbres

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> C'est vrai que, les philosophes revanchards et hargneux qui n'aspirent qu'à la domination littéraire et la reconnaissance..

Nietzsche qui pond des livres sur la volonté de puissance de l'homme alors que c'est un 0 tout Seneque qui pond un livre sur le stoicisme, qui prône la vertu alors que c'est un énorme riche qui possède des esclaves et baise des escorts D'ailleurs son ivre "La vie heureuse / La brièveté de la vie" m'a bien fait rire, pendant tout le livre il se justifie sur pourquoi il applique pas ses conseils de vertu

aucun philosophe de l'antiquité hormis Diogène mets en pratique sa philosophie, c'est un "idéal" auquel ils ont pensé mais dans le reel ...

Nietzsche c'était pas un 0 tout du tout, c'était un mâle alpha hein, quand on pense au cliché du philosophe allemand misogyne qui bz pas, en fait c'est à cause de Schopenhaur qui lui était vraiment un incel

Oh khey, j'espère que ça va :-d.

Je lis Schopenhauer actuellement l'art de l'insulte et l'art d'être heureux. J'ai bien ris j'avoue.

Ca va et toi ?

Schopenhauer est connu pour être un grincheux bourgeois imbu de sa personne, il était insupportable en plus d'être moche, intelligent certe mais c'était vraiment un zinzin dépressif, il me fait penser à certains forumeurs

par contre Nietzsche, au contraire, c'était un mec ultra joyeux, il avait de l'énergie, c'était un romantique, il aimait la vie, sa philosophie d'ailleurs c'est l'amour de la vie, la vrai vie avec un grand V comme il disait.

Ça va ça va

Y'a pas une photo de Nietzsche d'ailleurs avec une prostituée ? Ou une psychanalyse un truc dans le genre.

Elle avait tourné à l'époque sur un topic sur Nietzsche.

Oui Schopenhauer me fait pensé à un khey un peu , c'est pas inintéressant ce qu'il raconte. :-d

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> > > > > > >Oui c'est sûr que c'est pas du tout depuis que les gens lisent plus de livres, n'ont plus aucune valeurs et s'explosent le crane devant du porno, des jv, les réseaux et d'autres débilités que la société est en effondrement

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> > > > > > on s'enfou de créer des richesses et des biens matériels le golem

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> > > > > Pourtant c'est ton Nietzsche qui a critiqué les golems d'aujourd'hui débiles et paresseux qu'il a appelé les "derniers hommes" dans son livre ainsi parlait zarathoustra prendre exemple sur nietzsche, philosophe bipolaire qui a lui même dit qu'il fallait surtout pas l'écouter, ni lui ni les autres philosophes mais simplement accumuler du savoir et le recracher ensuite d'ailleurs tu dis qu'il faut pas suivre les instructions dans les livres, mais pourtant tu le fais en suivant ce que dit nietzsche, qui a lui même dit qu'il ne fallait surtout pas le suivre à la lettre, MOUTON

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> > > > Y'a un contresens là

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> > > y'a aucun contresens, pour Nietzsche, il faut lire les philosophes comme tu lierais un magazine c'est tout Il hait simplement les golems qui changent de philosophie de vie en lisant 1 livre, ce qui est réel

> > > On lit un livre de Nietzsche et on devient nihiliste

> > > On lit un livre de Marc Aurèle et on devient stoicien

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> > Aya, c'est quand tu dis ça : " qui a lui même dit qu'il fallait surtout pas l'écouter, ni lui ni les autres philosophes mais simplement accumuler du savoir et le recracher ensuite "

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> > Y'a une contradiction là non ?

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> > Édit : ah ok j'ai capté le sens de 'recracher' ahi

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> > J'ai été long

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> demande toi pourquoi ils ont écrit des livres, tu comprendras très vite que tu es le vide couille de ces personnes célèbres

C'est vrai que, les philosophes revanchards et hargneux qui n'aspirent qu'à la domination littéraire et la reconnaissance..

Nietzsche qui pond des livres sur la volonté de puissance de l'homme alors que c'est un 0 tout Seneque qui pond un livre sur le stoicisme, qui prône la vertu alors que c'est un énorme riche qui possède des esclaves et baise des escorts D'ailleurs son ivre "La vie heureuse / La brièveté de la vie" m'a bien fait rire, pendant tout le livre il se justifie sur pourquoi il applique pas ses conseils de vertu

aucun philosophe de l'antiquité hormis Diogène mets en pratique sa philosophie, c'est un "idéal" auquel ils ont pensé mais dans le reel ...

Nietzsche c'était pas un 0 tout du tout, c'était un mâle alpha hein, quand on pense au cliché du philosophe allemand misogyne qui bz pas, en fait c'est à cause de Schopenhaur qui lui était vraiment un incel

Nietzsche l'alpha qui finit brisé à cause d'une française qui le friendzoned.

À l'image de son fanboy Rochedy brisé depuis qu'il n'a plus sa blonde 10/10.

C'était pas une Italienne plutôt ? Je crois que c'était une meuf de milan qui a fait du polyamour avec lui (mais malgré les rumeurs, ça m'étonnerait que c'était full platonique faut pas déconner )

après c'est ça la vie, Nietzsche il tombait amoureux, il a fait beaucoup de déclaration d'amour à des femmes etc... Après c'était un zinzin quand même donc peu de succès mais c'est ça la vie.

Schopenhauer au contraire c'est l'aigri qui détestait les femmes et qui se tapait que des escorts

Perso j'ai une chie de livre de philosophie, philosophie des sciences, roman (même si je suis moins fan), théâtre, ouvrage de science.

Je le dis moi-même il faut lire ce que t'as envie, lire pour lire sert pas à grand chose on le voit chez les booktubeuses c'est la course à lire le plus de livre dans le mois en générale c'est pas très qualitatif.

Et surtout tu sens que y'a un besoin de lire beaucoup sa conditionne leur existence. Personnellement je suis un peu acheteur compulsif même si j'ai arrêté et je vise du plus précis.

Le 27 septembre 2024 à 21:38:07 :

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> > > > > > >> Le 27 septembre 2024 à 21:05:42 :

> > > > > > > >Oui c'est sûr que c'est pas du tout depuis que les gens lisent plus de livres, n'ont plus aucune valeurs et s'explosent le crane devant du porno, des jv, les réseaux et d'autres débilités que la société est en effondrement

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> > > > > > > on s'enfou de créer des richesses et des biens matériels le golem

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> > > > > > Pourtant c'est ton Nietzsche qui a critiqué les golems d'aujourd'hui débiles et paresseux qu'il a appelé les "derniers hommes" dans son livre ainsi parlait zarathoustra prendre exemple sur nietzsche, philosophe bipolaire qui a lui même dit qu'il fallait surtout pas l'écouter, ni lui ni les autres philosophes mais simplement accumuler du savoir et le recracher ensuite d'ailleurs tu dis qu'il faut pas suivre les instructions dans les livres, mais pourtant tu le fais en suivant ce que dit nietzsche, qui a lui même dit qu'il ne fallait surtout pas le suivre à la lettre, MOUTON

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> > > > > Y'a un contresens là

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> > > > y'a aucun contresens, pour Nietzsche, il faut lire les philosophes comme tu lierais un magazine c'est tout Il hait simplement les golems qui changent de philosophie de vie en lisant 1 livre, ce qui est réel

> > > > On lit un livre de Nietzsche et on devient nihiliste

> > > > On lit un livre de Marc Aurèle et on devient stoicien

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> > > Aya, c'est quand tu dis ça : " qui a lui même dit qu'il fallait surtout pas l'écouter, ni lui ni les autres philosophes mais simplement accumuler du savoir et le recracher ensuite "

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> > > Y'a une contradiction là non ?

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> > > Édit : ah ok j'ai capté le sens de 'recracher' ahi

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> > > J'ai été long

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> > demande toi pourquoi ils ont écrit des livres, tu comprendras très vite que tu es le vide couille de ces personnes célèbres

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> C'est vrai que, les philosophes revanchards et hargneux qui n'aspirent qu'à la domination littéraire et la reconnaissance..

Nietzsche qui pond des livres sur la volonté de puissance de l'homme alors que c'est un 0 tout Seneque qui pond un livre sur le stoicisme, qui prône la vertu alors que c'est un énorme riche qui possède des esclaves et baise des escorts D'ailleurs son ivre "La vie heureuse / La brièveté de la vie" m'a bien fait rire, pendant tout le livre il se justifie sur pourquoi il applique pas ses conseils de vertu

aucun philosophe de l'antiquité hormis Diogène mets en pratique sa philosophie, c'est un "idéal" auquel ils ont pensé mais dans le reel ...

Nietzsche c'était pas un 0 tout du tout, c'était un mâle alpha hein, quand on pense au cliché du philosophe allemand misogyne qui bz pas, en fait c'est à cause de Schopenhaur qui lui était vraiment un incel

Nietzsche l'alpha qui finit brisé à cause d'une française qui le friendzoned.

À l'image de son fanboy Rochedy brisé depuis qu'il n'a plus sa blonde 10/10.

C'était pas une Italienne plutôt ? Je crois que c'était une meuf de milan qui a fait du polyamour avec lui (mais malgré les rumeurs, ça m'étonnerait que c'était full platonique faut pas déconner )

après c'est ça la vie, Nietzsche il tombait amoureux, il a fait beaucoup de déclaration d'amour à des femmes etc... Après c'était un zinzin quand même donc peu de succès mais c'est ça la vie.

Schopenhauer au contraire c'est l'aigri qui détestait les femmes et qui se tapait que des escorts

Ahi je go full escorte, je suis un brisax, aigri ahi. Schopenhauer qui montre que tout se répète finalement.

Le 27 septembre 2024 à 20:57:47 :
Qui l'eut cru, les Nietzschéens sont ceux qui, avant tout, ne l'ont pas lu

Ca reste assez accessible Nietzche, ce que je n'aime pas chez lui c'est que tu peux avoir 50 lectures différentes, genre n'importe qui peut se dire nietzschéen ou presque.

après j'ai beaucoup lu à un moment de ma vie, et c'est vrai qu'au final, j'en retire peu d'enseignement de 90% des livres que j'ai lu, et au final, je suis assez d'accord avec le fait que ça t'empeche de penser par toi même.

En vrai, au lieu de lire un livre, tu vas faire une randonnée dans la forêt ou en montagne en pensant à des choses sur la vie, ça sera beaucoup plus profond qu'une lecture d'un grand auteur

Le 27 septembre 2024 à 21:36:49 :
Aldous Huxley critique lui aussi l'intellectualisme dans ce passage de son roman Contrepoint, paru en 1928, 4 ans avant Le Meilleur des mondes :

Je perçois maintenant que le véritable charme de la vie intellectuelle - la vie consacrée à l'érudition, à la recherche scientifique, à la philosophie, à l'esthétique, à la critique - est sa facilité. C'est la substitution de schémas intellectuels simples aux complexités de la réalité ; de la mort immobile et formelle aux mouvements déconcertants de la vie. Il est incomparablement plus facile d'en savoir beaucoup, disons, sur l'histoire de l'art et d'avoir des idées profondes sur la métaphysique et la sociologie, que de connaître personnellement et intuitivement beaucoup de choses sur ses semblables et d'avoir des relations satisfaisantes avec ses amis et ses amants, sa femme et ses enfants.
La vie est beaucoup plus difficile que le sanskrit, la chimie ou l'économie. La vie intellectuelle est un jeu d'enfant ; c'est pourquoi les intellectuels ont tendance à devenir des enfants - puis des imbéciles et enfin, comme le montre clairement l'histoire politique et industrielle des derniers siècles, des fous meurtriers et des bêtes sauvages. Les fonctions réprimées ne meurent pas ; elles se détériorent, elles s'enveniment, elles retournent à la primitivité. Mais entre-temps, il est beaucoup plus facile d'être un enfant intellectuel, un fou ou une bête qu'un homme adulte harmonieux. C'est pourquoi (entre autres raisons) il y a une telle demande d'éducation supérieure. La ruée vers les livres et les universités est comme la ruée vers les débits de boissons. Les gens veulent noyer leur prise de conscience des difficultés à vivre correctement dans ce monde contemporain grotesque, ils veulent oublier leur propre inefficacité déplorable en tant qu'artistes dans la vie. Certains noient leur chagrin dans l'alcool, mais encore plus nombreux sont ceux qui le noient dans les livres et le dilettantisme artistique ; certains essaient de s'oublier dans la fornication, la danse, le cinéma, l'écoute, d'autres dans les conférences et les hobbies scientifiques. Les livres et les conférences sont de meilleurs noyeurs de chagrin que l'alcool et la fornication ; ils ne laissent aucun mal de tête, aucun de ces sentiments désespérants post-coïtum triste.
Jusqu'à tout récemment, je dois avouer que je prenais très au sérieux l'apprentissage, la philosophie et la science, toutes ces activités que l'on regroupe avec grandiloquence sous le titre de Recherche de la vérité. Je considérais la recherche de la vérité comme la plus haute des tâches humaines et les chercheurs comme les plus nobles des hommes. Mais depuis un an environ, j'ai commencé à voir que cette fameuse Recherche de la Vérité n'est qu'un amusement, une distraction comme une autre, un substitut plutôt raffiné et élaboré de la vie véritable ; et que les Chercheurs de Vérité deviennent tout aussi stupides, infantiles et corrompus à leur manière que les ivrognes, les esthètes purs, les hommes d'affaires, les partisans de la Bonne Vie à la leur. J'ai aussi perçu que la recherche de la Vérité n'est qu'un nom poli pour le passe-temps favori de l'intellectuel qui consiste à substituer des abstractions simples et donc fausses aux complexités vivantes de la réalité. Mais la recherche de la Vérité est beaucoup plus facile que l'apprentissage de l'art de vivre intégral (dans lequel, bien sûr, la recherche de la Vérité prendra sa place véritable et proportionnée, avec les autres amusements, comme les quilles et l'escalade).
Ce qui explique, mais ne justifie pas, que je continue à m’adonner de façon excessive aux les vices de la lecture d’informations et de la généralisation abstraite. Aurai-je jamais la force d'esprit de me défaire de ces indolentes habitudes d'intellectualisme et de consacrer mes énergies à la tâche plus sérieuse et plus difficile de vivre intégralement ? Et même si j'essayais de me défaire de ces habitudes, ne découvrirais-je pas que l'hérédité en est à la base et que je suis congénitalement incapable de vivre pleinement et harmonieusement ?

C'est un belle analyse la fin par contre

Il disait ce qu'aujourd'hui on dit des écrans (en parti)

Le 27 septembre 2024 à 21:44:29 :
après j'ai beaucoup lu à un moment de ma vie, et c'est vrai qu'au final, j'en retire peu d'enseignement de 90% des livres que j'ai lu, et au final, je suis assez d'accord avec le fait que ça t'empeche de penser par toi même.

En vrai, au lieu de lire un livre, tu vas faire une randonnée dans la forêt ou en montagne en pensant à des choses sur la vie, ça sera beaucoup plus profond qu'une lecture d'un grand auteur

Bah penser par soi-même ça existe pas vraiment non?

Tu crée rarement quelque chose qui n'a pas été déjà fait. Socrate parlait de ça d'ailleurs que les anciens nous faisaient gagner du temps car ils ont déjà pensé avant nous.

On pense toujours par rapport à quelque chose qu'on a lu, expérimenté, appris .

Disons plutôt qu'on a dû mal à saisir l'utilité de ce qu'on lit, et le mettre en application.

Autant faire de l'informatique et des sciences.

Après effectivement quand je lis du Fregel, Wittgenstein ça te dirait une balle tellement c'est complexe.

La réalité c'est qu'un homme dont on ne peut citer le nom à dit une très bonne phrase :

Lire n’est pas un but, mais le moyen pour chacun de remplir le cadre que lui tracent ses dons et ses aptitudes.

Le 27 septembre 2024 à 21:47:11 :

Le 27 septembre 2024 à 21:36:49 :
Aldous Huxley critique lui aussi l'intellectualisme dans ce passage de son roman Contrepoint, paru en 1928, 4 ans avant Le Meilleur des mondes :

Je perçois maintenant que le véritable charme de la vie intellectuelle - la vie consacrée à l'érudition, à la recherche scientifique, à la philosophie, à l'esthétique, à la critique - est sa facilité. C'est la substitution de schémas intellectuels simples aux complexités de la réalité ; de la mort immobile et formelle aux mouvements déconcertants de la vie. Il est incomparablement plus facile d'en savoir beaucoup, disons, sur l'histoire de l'art et d'avoir des idées profondes sur la métaphysique et la sociologie, que de connaître personnellement et intuitivement beaucoup de choses sur ses semblables et d'avoir des relations satisfaisantes avec ses amis et ses amants, sa femme et ses enfants.
La vie est beaucoup plus difficile que le sanskrit, la chimie ou l'économie. La vie intellectuelle est un jeu d'enfant ; c'est pourquoi les intellectuels ont tendance à devenir des enfants - puis des imbéciles et enfin, comme le montre clairement l'histoire politique et industrielle des derniers siècles, des fous meurtriers et des bêtes sauvages. Les fonctions réprimées ne meurent pas ; elles se détériorent, elles s'enveniment, elles retournent à la primitivité. Mais entre-temps, il est beaucoup plus facile d'être un enfant intellectuel, un fou ou une bête qu'un homme adulte harmonieux. C'est pourquoi (entre autres raisons) il y a une telle demande d'éducation supérieure. La ruée vers les livres et les universités est comme la ruée vers les débits de boissons. Les gens veulent noyer leur prise de conscience des difficultés à vivre correctement dans ce monde contemporain grotesque, ils veulent oublier leur propre inefficacité déplorable en tant qu'artistes dans la vie. Certains noient leur chagrin dans l'alcool, mais encore plus nombreux sont ceux qui le noient dans les livres et le dilettantisme artistique ; certains essaient de s'oublier dans la fornication, la danse, le cinéma, l'écoute, d'autres dans les conférences et les hobbies scientifiques. Les livres et les conférences sont de meilleurs noyeurs de chagrin que l'alcool et la fornication ; ils ne laissent aucun mal de tête, aucun de ces sentiments désespérants post-coïtum triste.
Jusqu'à tout récemment, je dois avouer que je prenais très au sérieux l'apprentissage, la philosophie et la science, toutes ces activités que l'on regroupe avec grandiloquence sous le titre de Recherche de la vérité. Je considérais la recherche de la vérité comme la plus haute des tâches humaines et les chercheurs comme les plus nobles des hommes. Mais depuis un an environ, j'ai commencé à voir que cette fameuse Recherche de la Vérité n'est qu'un amusement, une distraction comme une autre, un substitut plutôt raffiné et élaboré de la vie véritable ; et que les Chercheurs de Vérité deviennent tout aussi stupides, infantiles et corrompus à leur manière que les ivrognes, les esthètes purs, les hommes d'affaires, les partisans de la Bonne Vie à la leur. J'ai aussi perçu que la recherche de la Vérité n'est qu'un nom poli pour le passe-temps favori de l'intellectuel qui consiste à substituer des abstractions simples et donc fausses aux complexités vivantes de la réalité. Mais la recherche de la Vérité est beaucoup plus facile que l'apprentissage de l'art de vivre intégral (dans lequel, bien sûr, la recherche de la Vérité prendra sa place véritable et proportionnée, avec les autres amusements, comme les quilles et l'escalade).
Ce qui explique, mais ne justifie pas, que je continue à m’adonner de façon excessive aux les vices de la lecture d’informations et de la généralisation abstraite. Aurai-je jamais la force d'esprit de me défaire de ces indolentes habitudes d'intellectualisme et de consacrer mes énergies à la tâche plus sérieuse et plus difficile de vivre intégralement ? Et même si j'essayais de me défaire de ces habitudes, ne découvrirais-je pas que l'hérédité en est à la base et que je suis congénitalement incapable de vivre pleinement et harmonieusement ?

C'est un belle analyse la fin par contre

Il disait ce qu'aujourd'hui on dit des écrans (en parti)

le meilleur des mondes c'est un livre qui retourne le cerveau, tu le lis tranquille, c'est facile à comprendre, fluide, ça se lit d'un coup, puis tu refermes le livre et tu as envie de te tirer une balle parce que tu te rends compte qu'on EST dans le meilleur des mondes

Le 27 septembre 2024 à 21:40:34 :
Perso j'ai une chie de livre de philosophie, philosophie des sciences, roman (même si je suis moins fan), théâtre, ouvrage de science.

Je le dis moi-même il faut lire ce que t'as envie, lire pour lire sert pas à grand chose on le voit chez les booktubeuses c'est la course à lire le plus de livre dans le mois en générale c'est pas très qualitatif.

Et surtout tu sens que y'a un besoin de lire beaucoup sa conditionne leur existence. Personnellement je suis un peu acheteur compulsif même si j'ai arrêté et je vise du plus précis.

Les booktubeuses aiment vraiment la dark romance je pense, les meufs sont psychologiques et ce genre de récit elles aiment. Même si ça pue la merde Mais ça montre surtout l'impact des tendances

Le 27 septembre 2024 à 21:48:48 :

Le 27 septembre 2024 à 21:44:29 :
après j'ai beaucoup lu à un moment de ma vie, et c'est vrai qu'au final, j'en retire peu d'enseignement de 90% des livres que j'ai lu, et au final, je suis assez d'accord avec le fait que ça t'empeche de penser par toi même.

En vrai, au lieu de lire un livre, tu vas faire une randonnée dans la forêt ou en montagne en pensant à des choses sur la vie, ça sera beaucoup plus profond qu'une lecture d'un grand auteur

Bah penser par soi-même ça existe pas vraiment non?

Tu crée rarement quelque chose qui n'a pas été déjà fait. Socrate parlait de ça d'ailleurs que les anciens nous faisaient gagner du temps car ils ont déjà pensé avant nous.

On pense toujours par rapport à quelque chose qu'on a lu, expérimenté, appris .

Disons plutôt qu'on a dû mal à saisir l'utilité de ce qu'on lit, et le mettre en application.

Autant faire de l'informatique et des sciences.

Après effectivement quand je lis du Fregel, Wittgenstein ça te dirait une balle tellement c'est complexe.

La réalité c'est qu'un homme dont on ne peut citer le nom à dit une très bonne phrase :

Lire n’est pas un but, mais le moyen pour chacun de remplir le cadre que lui tracent ses dons et ses aptitudes.

je pense que la meilleure source d'apprentissage c'est la vie en elle même, mais ça implique de se poser et de réfléchir.

Tu peux lire des auteurs à 180 de QI, mais ils ont leur propre vécu, leur propre instinct, leur mode de pensée qui ne sont pas les tiens.

Peut être que tu arriveras en pensant par toi même sans influence extérieur à des conclusions moins profondes, mais elles seront beaucoup plus vraies, plus tangible à ton existence.