[Sexe] Je me suis dépucelé il y a une semaine mais...

Lors d'une soirée d'intégration ERASMUS, j'ai vécu un truc qui ne m'arrive jamais j'étais avec des potes au bar et là une meuf avec un accent presque indécodable vient me voir : « ow hm ma powte voudwait pawler euvec toua, elle twouve toua mignon ! » A ce moment-là je jubile, car jetant un regard vers la table qu'elle me montre d'un doigt cupidonesque, j'aperçois de belles femmes aux origines diverses il y a juste une blonde graisseuse et boutonneuse, sûrement une anglaise, qui gâche un peu la vue. Mais dans le feu de l'action et porté par l'idée que je vais au minimum flirter avec une Vénus internationale, je sors cette poissonnière de ma tête. Je me dis qu'à la fin de ma pinte, je ferai une arrivée triomphale vers ce lupanar gratuit qui m'offrira le corps tant désiré d'une Espagnole ou d'une Polonaise.

Toutefois, le groupe d'ERASMUS se léve comme une seule femme en premier et c'est la femme me trouvant mignon qui vient m'aborder avec un sourire... Un sourire jaune-pisse, un décolleté de femme qui n'a plus que ça pour attirer un homme, des boutons... c'est l'ouvrière anglaise et boiteuse qui arrive vers moi...

J'ai pas osé lui faire de la peine donc je l'ai accompagné pour fumer, ou plutôt la regarder fumer car la cigarette est dans mes redflag. Elle est très directe, me propose très vite d'aller dans sa chambre CROUS etc. Malheureusement, j'ai un problème, je ne sais pas dire « non ». Alors les choses font que l'on monte dans sa chambre CROUS après un autre verre. Evidemment c'était un verre en tête à tête, je n'ai même pas eu le loisir de séduire une autre ERSAMUS à la table des nymphes dans un ultime geste de sauvetage

Je me pose sur son petit lit, prévoyant de faire semblant de m'endormir pour fuir cette réalité. Elle s'allonge avec moi et commence à chercher ma bite de sa main boursouflée. Je suis tétanisé.

Je vis sans le vouloir les premières préliminaires de ma vie. Elle suce un peu, je tente de doigter. Je prends aucun plaisir et j'ai même une envie de vomir, sa tête, dans le clair-obscur de sa chambre me fait un peu peur...

S'il est simple de décrire la jouissance, il est presque impossible d'expliquer à quoi ressemble l'absence de plaisir... Je pénètre en elle et dès que je commence à sentir les parois tièdes et humides de sa pussy, je lâche, à la limite du dégoût et de l'ennui, un « ok I'm cum. » Et je jute 2-3 secondes après sans rien sentir niveau plaisir, sans bruit. Elle ne sait pas quoi dire. Le silence est pesant, je suis à deux doigt de vomir.

En plein malaise je m'alonge après une petite culbute sur le côté et j'ai envie de disparaître. Je prends mes affaires, j'enfile mon caleçon et je me barre à moitié à poil dans les étages après avoir lâché un dernier : « It's now I go » j'ai dégueulé deux fois dans les couloirs à moitié en courant

Je peux plus m'endormir sans y penser

Il fallait que ça sorte les clés

Le 27 septembre 2024 à 09:50:04 :
Donc là tu t'es forcé à baiser une meuf qui te dégoûtais à la base sous prétexte que "Oui mais je vais lui faire de la peine".
Tu te rends bien compte qu'il va falloir que tu imposes tes choix un jour ? Parce qu'un paquet de gens malintentionnés vont profiter de cette faille dans ton système.

Oui tu as raison

Le 27 septembre 2024 à 09:50:04 :
Donc là tu t'es forcé à baiser une meuf qui te dégoûtais à la base sous prétexte que "Oui mais je vais lui faire de la peine".
Tu te rends bien compte qu'il va falloir que tu imposes tes choix un jour ? Parce qu'un paquet de gens malintentionnés vont profiter de cette faille dans ton système.