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[CHATGPT] Vous pensez quoi mon histoire?

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Vous pensez quoi de cette histoire que m'écrit Monsieur ChatGPT?

Chapitre 1 : Les Règles du Jeu

Assise sur le fauteuil en cuir noir, Clara observait chaque geste de son soumis avec une attention glaciale. Sa posture, droite et impassible, contrastait avec l'anxiété palpable de l'homme agenouillé à ses pieds. La pièce, baignée d’une lumière tamisée, dégageait une atmosphère de contrôle, où chaque détail semblait avoir été minutieusement orchestré.

« Regarde-moi, » ordonna-t-elle d'une voix basse mais tranchante. Ses talons claquèrent légèrement sur le sol lorsqu'elle croisa les jambes, un geste lent, calculé.

L'homme leva lentement les yeux vers elle, ses mains tremblant légèrement sur ses genoux. Il savait ce qui l'attendait. Chaque fois, Clara redéfinissait les limites de ce qu'il pensait pouvoir endurer. Et chaque fois, il revenait pour plus.

« Tu sais pourquoi tu es ici, n’est-ce pas ? » Sa question, bien qu’en apparence anodine, portait en elle une menace sourde.

« Oui, Maîtresse, » répondit-il, sa voix à peine audible, comme s'il craignait que prononcer ces mots trop fort ne déclenche une punition immédiate.

Clara se leva, se dirigeant lentement vers lui. Elle fit le tour de son corps agenouillé, laissant ses doigts effleurer son dos, provoquant un frisson qui le parcourut de part en part. « Je t'ai donné des instructions claires, mais tu as choisi de les ignorer. » Sa voix était désormais plus sévère, chaque mot pesé, chargé de jugement.

Il baissa de nouveau les yeux, honteux. « Je suis désolé, Maîtresse… »

« Désolé ? » répéta-t-elle avec ironie. « Non, tu n’es pas désolé. Pas encore. Mais tu le seras. »

Elle s'arrêta devant lui, le dominant de toute sa hauteur, et posa sa main sous son menton, forçant son regard à rencontrer le sien. Ses yeux étaient froids, mais un léger sourire cruel dansait au coin de ses lèvres.

« Tu veux être puni, n'est-ce pas ? » demanda-t-elle doucement, presque dans un murmure. « Tu as besoin de cette correction. »

Il hocha la tête avec hésitation. Il savait qu'il aimait être poussé, qu'il trouvait une étrange libération dans l'humiliation que Clara lui imposait. Mais il redoutait aussi ce qui allait venir, car Clara ne faisait jamais dans la demi-mesure.

« Très bien, » dit-elle en relâchant son menton. Elle se dirigea vers une petite table à côté du fauteuil, où plusieurs instruments étaient soigneusement disposés. Elle en choisit un, un fin fouet de cuir noir, qu’elle fit claquer doucement dans l’air. « Prépare-toi. Aujourd’hui, tu apprendras ce que signifie vraiment la soumission. »

Je peux lui faire sortir le chapitre 2 si vous voulez.

Chapitre 2 : Sous Verrou

Clara, toujours debout devant lui, caressa du bout des doigts le fouet qu'elle avait en main. Elle savait exactement comment il réagirait à cette vision. Les frissons d'anticipation parcouraient déjà son corps agenouillé. Mais ce n'était qu'un prélude.

« Retire tes vêtements, lentement, » ordonna-t-elle.

L'homme s'exécuta sans hésiter. Ses mouvements étaient tremblants, maladroits, trahissant à la fois l'excitation et la peur qui bouillonnaient en lui. Quand il fut totalement nu, il baissa à nouveau la tête, conscient de son état de vulnérabilité totale. Clara prit quelques instants pour l'observer en silence. Le simple fait de sentir son regard peser sur lui le mettait dans un état d'appréhension insoutenable.

Elle reposa le fouet sur la table, s'approcha de lui et, sans un mot, ouvrit un tiroir qu'il n'avait jamais vu avant aujourd'hui. Elle en sortit un objet métallique finement ouvragé. L'homme reconnu immédiatement la forme : une cage de chasteté. Il avait souvent fantasmé sur ce moment, sans jamais oser en parler. Mais Clara, comme toujours, savait. Elle savait tout de lui.

« Je pense que tu as eu trop de liberté dernièrement, » dit-elle en se retournant vers lui, la cage entre ses mains. Elle la fit glisser sur ses doigts comme une arme qu'elle s'apprêtait à utiliser. « Il est temps de te rappeler à qui tu appartiens. »

Ses paroles étaient douces mais fermes, comme si elle énonçait une vérité évidente. Sans un mot de plus, elle s'accroupit devant lui. L'homme sentit son cœur s'accélérer alors qu'elle manipulait son corps avec précision et détachement, comme un artisan travaillant sur une œuvre d'art. En un instant, elle ajusta la cage autour de lui, verrouillant l'objet d'un petit clic sonore.

Il baissa les yeux vers elle, une sensation nouvelle s’emparant de lui. L'étreinte froide du métal autour de lui était à la fois terrifiante et étrangement apaisante. Il était maintenant sous son contrôle total, incapable de ressentir quoi que ce soit sans son autorisation.

Clara se redressa, le toisant de toute sa hauteur. « Voilà, » dit-elle en se penchant légèrement pour prendre une petite clé attachée à une chaîne qu'elle passa autour de son cou. « Cette clé est mienne. Tout comme toi. »

L'homme voulut répondre, mais la pression de la cage semblait déjà avoir un effet sur lui. Les mots restèrent coincés dans sa gorge, remplacés par un sentiment de profonde soumission. Clara sourit en voyant le mélange de frustration et de résignation sur son visage.

« Je vais te rappeler quelques règles, » dit-elle en tournant autour de lui, ses talons résonnant doucement sur le sol. « Tant que cette cage est en place, tu n'as aucun droit sur ton propre plaisir. Tu n'as de satisfaction que celle que je te permets d'avoir. » Elle s'arrêta derrière lui, plaçant ses mains sur ses épaules avant de se pencher à son oreille. « Tu es mien. Entièrement. Compris ? »

Il hocha la tête, le souffle court.

« Dis-le, » murmura-t-elle, sa voix plus basse, presque un murmure ensorcelant.

« Je suis vôtre, Maîtresse, » parvint-il à articuler, chaque mot pesant lourd de sa soumission.

Clara sourit en entendant ces mots. Elle le contourna à nouveau, revenant face à lui. « Très bien. Je suis heureuse de voir que tu comprends enfin ta place. Maintenant, lève-toi. »

Tremblant légèrement, il s'exécuta, ses jambes presque hésitantes sous son propre poids. La sensation de la cage était omniprésente, une constante rappelant sa position. Clara le regarda droit dans les yeux avant de lever la main pour effleurer légèrement la clé pendue à son cou.

« Ne l’oublie jamais. Ce pouvoir que j'ai sur toi… il est absolu. Et tant que tu es sous ma garde, cette cage restera là. »

Chapitre 3 : Le Silence Imposé

Clara tourna lentement autour de lui, savourant chaque seconde de son contrôle absolu. L’homme, debout, la tête basse, ses jambes toujours légèrement tremblantes sous l’effet de la cage de chasteté, sentait la tension monter. Le poids invisible de son regard pesait sur lui, rendant l’air plus lourd à chaque respiration.

« Toujours aussi docile, n’est-ce pas ? » dit-elle d'une voix tranchante. Ses yeux perçants ne quittaient pas son visage. « Mais il y a un problème… tu parles trop, tu penses trop. Et je préfère que tu restes silencieux. Aujourd’hui, je vais m’assurer que tu n’ouvres plus cette bouche sans mon autorisation. »

Il se redressa légèrement, essayant d’anticiper ce qu'elle avait en tête, mais sans succès. Clara était imprévisible, et c’est ce qui le terrifiait autant que ça l’excitait. Elle avait une manière de le désarmer sans même lever la voix, simplement par sa présence. Elle retourna à la table où elle avait déposé quelques accessoires, fouillant dans ses affaires avec un air de désinvolture calculée.

Finalement, Elle finit par retirer un sous-vêtement délicat, sa culotte de satin noir. L’homme la regarda avec surprise et appréhension. Clara croisa son regard avec un sourire plein de malice, puis se rapprocha de lui, pliant soigneusement le tissu dans ses mains.

« À genoux, » ordonna-t-elle sèchement.

Il s'exécuta, s’agenouillant à ses pieds, le cœur battant. Elle s’accroupit face à lui, serrant doucement mais fermement son menton entre ses doigts. « Ouvre la bouche, » murmura-t-elle, son souffle chaud caressant ses lèvres. Sa voix était douce, presque séduisante, mais le commandement sous-jacent était clair et inflexible.

L’homme hésita un instant, mais céda rapidement à son ordre. Il ouvrit la bouche, légèrement tremblant. Avec une lenteur exagérée, Clara inséra le sous-vêtement dans sa bouche, le poussant avec soin jusqu’à ce qu’il soit bien en place. Elle se redressa ensuite, observant avec satisfaction le spectacle de son soumis, bâillonné par ses sous-vêtements, humilié et totalement silencieux.

« Là, c’est mieux. » Elle se tourna légèrement pour admirer son œuvre. « Maintenant, tu ne diras rien de plus. Tu ne feras que m’obéir, sans un mot. »

L'homme, les joues rouges de gêne, essaya de bouger légèrement, mais la pression du bâillon improvisé le contraignait à rester immobile. L’odeur douce du satin contre sa langue, la chaleur du tissu contre ses lèvres, tout cela ajoutait à la sensation d’impuissance qui l’enveloppait.

Clara se mit à marcher lentement autour de lui, son regard glissant sur son corps soumis. « Je me demande combien de temps tu tiendras ainsi. Combien de temps avant que tu ne désires ardemment retirer ce bâillon et parler. » Elle marqua une pause, ses talons résonnant contre le sol, puis se pencha à son oreille. « Mais tu ne le feras pas. Parce que je ne te le permettrai pas. »

Elle revint face à lui et, sans un mot, le poussa doucement en arrière. Déséquilibré, il bascula jusqu’à se retrouver allongé sur le sol froid. Clara, implacable, posa un pied sur sa poitrine, une expression satisfaite peinte sur son visage. « Voilà où tu appartiens, » dit-elle, appuyant légèrement son talon contre sa peau.

Le corps de l’homme tressaillit sous la pression, mais il n’osa pas bouger davantage. Chaque souffle était contrôlé, chaque mouvement mesuré, de peur de déplaire à Clara. Elle se pencha à nouveau, caressant doucement son visage d'une main, puis tirant légèrement sur la culotte toujours coincée dans sa bouche.

« Tu veux la retirer, n’est-ce pas ? » demanda-t-elle avec une cruauté douce. « Tu en as assez de cette humiliation ? »

Il hocha la tête avec difficulté, le regard suppliant, mais cela ne fit qu’amplifier le sourire cruel de Clara.

« Ce n’est pas à toi de décider, » rétorqua-t-elle d’un ton tranchant. « Tant que je ne t’ai pas dit que c’est terminé, tu resteras dans ce silence. »

Elle se redressa à nouveau, retirant son pied de sa poitrine, mais laissant l’homme allongé, toujours bâillonné et immobilisé par l’humiliation qu’elle venait de lui infliger. Le silence régnait dans la pièce, brisé uniquement par le bruit léger de ses pas alors qu’elle s’éloignait.

Clara s’assit dans le fauteuil de cuir noir, croisant les jambes avec une élégance froide. Elle le regarda, son soumis gisant à ses pieds, son souffle lent et contrôlé. Puis elle tapota doucement la clé qui pendait à son cou.

« Tu apprendras aujourd’hui, mon cher, que le vrai contrôle vient du silence. Et tant que tu es sous ma coupe, c’est moi qui dicte chaque son, chaque souffle. »

Elle posa son regard glacial sur lui, un sourire victorieux flottant sur ses lèvres. « Ne l'oublie jamais. »

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EIectron
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13 septembre 2024 à 11:34:11
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