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Guerre en Ukraine : Moscou se dit "prêt" à faire exploser une bombe dans l’Arctique "à tout moment", des essais nucléaires menés dans l’archipel russe de Nouvelle Zemble
Depuis quelques jours, la Russie poursuit des "exercices militaires inédits".
La Russie s’est dite prête ce mardi 17 septembre à "faire exploser une bombe nucléaire" dans l’Arctique "à tout moment" alors que Vladimir Poutine poursuit des exercices militaires "inédits" depuis quelques semaines. Le but de cette manœuvre ? Menacer l’Occident d’une guerre nucléaire, a-t-on appris du Daily Mail.
C’est le directeur d’un ancien site d’essai soviétique dans l’archipel de Nouvelle Zemble (Russie) qui a déclaré que les installations d’essai étaient prêtes et pouvaient être immédiatement utilisées "si l’ordre est donné" par le président russe Vladimir Poutine.
Le contre-amiral Andrey Sinitsyne a insisté, ajoutant que le site d’essai était prêt à "reprendre les activités de test à grande échelle", confirmant que le lieu faisait l’objet d’une étroite surveillance par "les services de renseignements étrangers", le "signe probable d’une inquiétude concernant les essais nucléaires", a-t-il précisé au journal d’État, Rossiyskaya Gazeta. "Nous sommes constamment prêts à repousser tous types de menaces, y compris la pénétration de groupes de sabotage et de reconnaissance sur l’île", a-t-il déclaré.
Le terrain d’essai rééquipé depuis 2021
Le site, qui n’a pas été employé pour des essais depuis octobre 1990, date à laquelle l’URSS, en difficulté, a exclu les futurs essais, devrait être utilisé pour effectuer des manœuvres militaires prochainement. Par ailleurs, des images datant de juillet 2021 à juin 2023 montrent l’évolution du site qui s’est, depuis, préparé à des activités nucléaires en s’équipant en conséquence. "Le terrain d’essai dispose du personnel, des armes, de l’équipement approprié, c’est-à-dire de tout ce qui est nécessaire à nos activités", a ajouté le contre-amiral.
"Nous devons effectuer une explosion nucléaire quelque part"
Cet avertissement intervient quelques jours après la demande du député russe Andrey Kolesnik adressée au chef du Kremlin d’autoriser un essai de bombe nucléaire "en guise d’avertissement" à l’Occident. "Nous devons effectuer une explosion nucléaire quelque part, sur un terrain d’essai", a-t-il revendiqué. En cas d’essai nucléaire, le territoire d’essai devrait être l’Arctique, selon diverses sources militaires.
"L’humanité y réfléchira peut-être à deux fois"
Actuellement, les essais nucléaires sont interdits en Russie. "Mais peut-être que les gens devraient voir à quoi (une guerre nucléaire, NDLR) mène réellement […] Si nous levons le moratoire, peut-être que l’humanité y réfléchira à deux fois", a-t-il conclu.
Par ailleurs, la Russie a renforcé aujourd’hui sa préparation en vue d’une guerre nucléaire. Plusieurs manœuvres impliquant des lanceurs de missiles géants Iars des ogives qui constituent le principal élément terrestre de la force nucléaire russe dans la région d’Ivanovo ont été effectuées. Le RS-24 Iars a été testé pour la première fois le 29 mai 2007. Il a été désigné par le code Otan SS-29 ou SS-27 Mod 2.
Guerre en Ukraine : Les États-Unis contraints de réduire leur aide militaire à Kyiv en raison de la diminution de leurs propres réserves
Les fabricants ont du mal à suivre le rythme de production.
L’Ukraine ressent les effets de la pénurie de stocks, selon Volodymyr Zelensky, le président ukrainien déplorait auprès des États-Unis que les livraisons de systèmes de défense aérienne promis avançaient trop lentement et a mis en garde contre un déficit "important" d’aide vitale.
De leur côté, les États-Unis sont contraints à une réduction de leur aide militaire à l’Ukraine en raison de la diminution de leurs propres réserves, selon des sources du Pentagone.
Après deux ans d’hostilités, il devient difficile pour les Américains de dépenser les 6 milliards de dollars alloués par la Maison Blanche, car les fabricants ne peuvent pas répondre aux demandes ukrainiennes dans les délais impartis. Le principal défi concerne la production d’obus de 155 mm et de systèmes de défense aérienne Patriot.
Volumes d’approvisionnement diminution
L’armée américaine s’inquiète que la satisfaction de toutes les demandes de Volodymyr Zelensky entraînerait une diminution des réserves nécessaires pour maintenir la capacité de défense des États-Unis eux-mêmes
Par conséquent, les volumes d’approvisionnement sont en nette diminution.
Guerre en Ukraine : Les États-Unis contraints de réduire leur aide militaire à Kyiv en raison de la diminution de leurs propres réserves
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De leur côté, les États-Unis sont contraints à une réduction de leur aide militaire à l’Ukraine en raison de la diminution de leurs propres réserves, selon des sources du Pentagone.
Après deux ans d’hostilités, il devient difficile pour les Américains de dépenser les 6 milliards de dollars alloués par la Maison Blanche, car les fabricants ne peuvent pas répondre aux demandes ukrainiennes dans les délais impartis. Le principal défi concerne la production d’obus de 155 mm et de systèmes de défense aérienne Patriot.
Volumes d’approvisionnement diminution
L’armée américaine s’inquiète que la satisfaction de toutes les demandes de Volodymyr Zelensky entraînerait une diminution des réserves nécessaires pour maintenir la capacité de défense des États-Unis eux-mêmes
Par conséquent, les volumes d’approvisionnement sont en nette diminution.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré jeudi que la Russie était en train de multiplier par dix la production de drones pour la porter à près de 1,4 million d'unités cette année, un effort visant à assurer la victoire de ses forces armées en Ukraine.
"Au total, environ 140.000 drones de différents types ont été livrés aux forces armées en 2023", a déclaré Vladimir Poutine lors d'une réunion à Saint-Pétersbourg sur la production de drones.
"Cette année, la production de drones devrait augmenter de manière significative. Enfin, pour être plus précis, être multipliée par près de 10", a-t-il ajouté.
Le président turc Erdogan a proposé une rencontre à Bachar al-Assad à New York
Le président turc affiche sa volonté de «normaliser les relations entre la Turquie et la Syrie», rompues depuis le début du conflit syrien en 2011.
Le président turc Erdogan a demandé à rencontrer son homologue syrien Bachar al-Assad à New York, en marge des travaux de l'ONU, pour «normaliser» leurs relations, a-t-il annoncé. Les deux pays ont rompu toutes relations officielles en 2011, après le début du conflit syrien.
«Nous avons demandé à rencontrer Bachar al-Assad afin de normaliser les relations entre la Turquie et la Syrie. Nous attendons désormais la réponse de l'autre partie», a déclaré le chef de l'Etat
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- Auteur
- Omi-el
- Date de création
- 19 septembre 2024 à 08:48:05
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