Topic de lnljnek974 :

[CHATGPT] dites-moi tout et n’importe quoi et je vous en fais un poème dessus

J'aime le caca nauséabond
C'est chiant les femmes qui vont à la salle
le non sens de ta vie de merde

Le 11 septembre 2024 à 18:41:17 :
J'aime le caca nauséabond

Dans l'ombre cachée, là où nul ne va,
Il trouve un plaisir que d'autres n'ont pas.
Nauséabond parfum qui monte au nez,
Pour lui, c'est un souffle d'intensité.

Les effluves lourds, fétides et bruns,
L'attirent comme un doux parfum divin.
Là où d'autres fuient, lui s'abandonne,
Dans ce royaume où personne ne pardonne.

Il aime ce que d'autres dédaignent,
Chaque odeur forte, chaque trace qui règne.
Son désir est sombre, son goût, étrange,
Dans ces miasmes épais, son cœur s'arrange.

C'est un monde caché, un plaisir inavoué,
Que seul il comprend, sans se dérober.
Nausées et regards, il les ignore,
Car dans ce vice, il trouve encore son or.

Une ode à ramdam la queen

Le 11 septembre 2024 à 18:41:59 :
C'est chiant les femmes qui vont à la salle

Elles envahissent la salle, en leggings serrés,
À soulever des poids, à s'étirer,
Parlent sans cesse de squats et de gainage,
Le miroir, leur seul véritable partage.

Leurs selfies en sueur, leur air concentré,
Tout ça pour montrer qu'elles savent transpirer.
Elles squattent les machines, éternisent leur tour,
Pendant qu'on attend, comptant les jours.

Leurs écouteurs vissés, dans leur bulle, parfaites,
Comme si le gym était leur planète.
Les discussions de diète, d'avocat et de thé,
Fatiguent les oreilles, rien à contester.

Ah, ces salles pleines de regards figés,
Où l'égo se gonfle à chaque série validée.
On s'entraîne, on attend, on respire à peine,
Face à ce ballet qui parfois nous entraîne.

Le 11 septembre 2024 à 18:43:10 :

Le 11 septembre 2024 à 18:41:17 :
J'aime le caca nauséabond

Dans l'ombre cachée, là où nul ne va,
Il trouve un plaisir que d'autres n'ont pas.
Nauséabond parfum qui monte au nez,
Pour lui, c'est un souffle d'intensité.

Les effluves lourds, fétides et bruns,
L'attirent comme un doux parfum divin.
Là où d'autres fuient, lui s'abandonne,
Dans ce royaume où personne ne pardonne.

Il aime ce que d'autres dédaignent,
Chaque odeur forte, chaque trace qui règne.
Son désir est sombre, son goût, étrange,
Dans ces miasmes épais, son cœur s'arrange.

C'est un monde caché, un plaisir inavoué,
Que seul il comprend, sans se dérober.
Nausées et regards, il les ignore,
Car dans ce vice, il trouve encore son or.

Aya :cimer: :rire:

Le 11 septembre 2024 à 18:42:05 :
le non sens de ta vie de merde

La vie s’étire, un fil sans éclat,
Chaque jour ressemble au précédent pas.
Un cycle absurde de rien et de vide,
Où tout se noie dans l’ennui sordide.

On se lève, on marche, sans trop savoir,
Pourquoi l’on avance, pourquoi il fait noir.
Le sens se dissout dans des gestes lassants,
Répétitions creuses, échos déroutants.

Le travail, les dettes, les fausses promesses,
Un théâtre absurde, un cirque de stress.
On sourit, on feint de croire encore,
Mais au fond, on sait que tout est mort.

Les rêves s’effacent, usés par l’attente,
La jeunesse fuit, l’espoir nous hante.
Et on continue, par simple habitude,
Un chemin de merde, en servitude.

Alors on respire, juste un peu plus,
Pour masquer ce vide qui nous tue à vue.
Une vie sans pourquoi, une vie sans lumière,
Un foutu non-sens qu’on traîne en arrière.

Les grosses fesses des antillaises

Le 11 septembre 2024 à 18:44:05 :
Une ode à ramdam la queen

Ô Ramdam la Queen, éclat de lumière,
Souveraine des âmes, mystère sans pair,
Dans l'ombre des palais et le bruit des foules,
Ton règne se dessine, aussi puissant qu'une houle.

Ton nom résonne comme un chant de victoire,
Dans chaque coin sombre, tu éclaires notre espoir,
Avec grâce et audace, tu règnes sur les cœurs,
Portant sur tes épaules des rêves, des labeurs.

Les étoiles jalousent ton éclat divin,
Ton pouvoir transcende les limites du destin,
Chaque geste, chaque mot, une mélodie,
Harmonie sacrée, source de magie.

À travers les tempêtes et les jours obscurs,
Ton aura nous guide, pure et sûre,
Ramdam la Queen, tu es l'étoile en haut,
Le phare des perdus, le rêve des héros.

Ta sagesse éclaire les chemins tortueux,
Ton courage, un feu, pur et radieux,
Ô Reine Ramdam, la majesté de l'âme,
Nous te louons, chantant ta gloire et ta flamme.

Le 11 septembre 2024 à 18:44:26 :
Damdam bordel

Damdam, doux écho des jours flottants,
Ta présence éclaire les moments passants.
Dans les murmures du vent et des rivières,
Se dessine ton nom, comme une lumière.

Chaque pas que tu fais est une danse légère,
Une mélodie douce qui envoûte l’atmosphère.
Ton rire est un éclat dans la brume matinale,
Une touche d’espoir dans la routine banale.

Les étoiles semblent s’incliner à ton passage,
Le ciel s’ouvre en un splendide paysage.
Ton regard, une promesse d’aventure et de joie,
Dans le vaste monde, tu suis ta propre voie.

Damdam, tu es l’étoile qui scintille dans l’obscurité,
Un phare pour les âmes égarées, un rêve éveillé.
Ton charme subtil est un souffle d’éternité,
Un poème vivant, une douce vérité.

À toi qui traverses les ombres et la lumière,
Nous élevons nos voix, en hommage sincère.
Damdam, essence de beauté et de grâce,
Tu es la musique qui dans nos cœurs s’enlace.

Randy m'a dévoré l'arrière et a disparu dans la nuit

Le 11 septembre 2024 à 18:45:23 :
Les grosses fesses des antillaises

Dans les îles où la chaleur embrase,
Les courbes s’épanouissent en douce extase,
Les grandes fesses des Antillaises, fières,
Sculptées par les vagues, la brise et la lumière.

Elles ondulent avec grâce, vibrantes et pleines,
D’une sensualité que le monde aime,
Sous le soleil, dans les danses enflammées,
Chaque mouvement est une fête célébrée.

Ces formes généreuses, véritables œuvres d’art,
Évoquent les plages dorées et le regard ardent,
Chaque courbe raconte une histoire de beauté,
Un hymne à la vie, à la joie incarnée.

Les Antillaises portent avec fierté,
Des rondeurs que l’on n’oublie jamais,
Élégance et chaleur, en un seul éclat,
Les grandes fesses s’affirment, et c’est un don du plat.

Sous les étoiles, sur les plages dorées,
Leurs formes dansent, éclatant de fierté,
Un hommage vibrant à cette beauté,
Que la mer et le soleil ont su sculpter.

Le 11 septembre 2024 à 18:47:07 :
La maman canard

Dans le doux reflet d’une mare tranquille,
La maman canard nage, silhouette agile,
Ses plumes dorées scintillent au soleil,
Dans le calme du jour, elle veille sans pareil.

Ses petits suivent en file, bien alignés,
Dans l’eau fraîche, ils glissent, doucement bercés.
Chaque mouvement est une danse soigneuse,
Un ballet familial, en harmonie précieuse.

Avec tendresse, elle guide sa couvée,
À travers les vagues, vers un monde enchanté.
Son regard protecteur, d’une douceur infinie,
Éclaire leurs pas dans la douce symphonie.

Les jours passent, et le nid s’épanouit,
Sous la surveillance d’une maman chérie.
Dans le calme de la mare, elle est la reine,
Son amour est un refuge, une douce arène.

Quand le soir tombe et que les ombres dansent,
Elle rassemble ses petits, dans une étreinte immense,
Maman canard, figure de tendresse et de soin,
Éternelle gardienne de ce monde serein.

Le 11 septembre 2024 à 18:47:15 :
Randy m'a dévoré l'arrière et a disparu dans la nuit

Dans les ombres d'une nuit mystérieuse,
Randy se glisse, silhouette audacieuse.
Le clair de lune caresse ses traits,
Alors qu’il se nourrit des peurs et des regrets.

Il a dévoré l’arrière d’un homme en silence,
Dans un festin de terreur, une danse.
Les lambeaux de chair, la douleur, la nuit,
Un tableau macabre que le ciel a fui.

L'homme, effacé dans la noirceur,
A laissé derrière lui un éclat de terreur.
Randy, le chasseur des ombres nocturnes,
S'efface dans le mystère des brumes diurnes.

Sa faim insatiable, son appétit sinistre,
Ne laisse que des échos, des rires tristes.
Dans le vide de la nuit, il disparaît,
Comme une ombre emportée, au loin s’éloigne, secrète et discrète.

Données du topic

Auteur
lnljnek974
Date de création
11 septembre 2024 à 18:37:48
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