[ALERTE ROSE] Harry Lapère consommait des drogues dures!

Le 17 septembre 2024 à 15:26:13 :
Pardon mais c'est qui?

Je ne peux pas révéler son vrai nom, c'est donc un pseudonyme.

Le 17 septembre 2024 à 15:36:30 :
Taré

Toi aussi t'es toxico? Harry Lapère a fini dans une chambre d'hôpital sordide après un coma de deux mois, les soignants faisant des selfies avec son corps décrépit et lui mettant des grandes claques dans la gueule pour le "réanimer".
Tu veux suivre le même exemple?

Harry ne se contentait pas de consommer des drogues, il était prêt à tout pour se procurer sa dose quotidienne. Y compris se vendre. Oui, vous avez bien lu. Harry Lapère se prostituait, échangeant son corps contre de l'argent ou de la drogue, prêt à toutes les humiliations pour satisfaire ses vices. Des scènes dégradantes, que beaucoup préfèrent taire.

Les bas-fonds des villes voisines devenaient son terrain de jeu. Là-bas, loin des regards de son village, il s'adonnait à des relations sexuelles sordides, sans aucune limite, s'enfonçant de plus en plus dans la déchéance. Ceux qui le connaissaient savent bien qu'Harry n'avait plus aucun respect pour lui-même, ni pour les autres.

Harry Lapère n'était pas seulement un tyran parmi ses camarades, mais un être dépravé dont la vie sordide est restée cachée sous des apparences trompeuses. Saviez-vous qu’il s’adonnait régulièrement à des relations sexuelles dégradantes en échange de drogues ou d’argent ? Ses rencontres avec des inconnus dans les bas-fonds des villes voisines étaient le théâtre de sa chute, une descente vertigineuse que personne n’a voulu voir.

Harry n'était pas seulement dangereux pour ses camarades, il menaçait régulièrement ses enseignants. À plusieurs reprises, il a tenté d’intimider ses professeurs, cherchant à obtenir de meilleures notes ou à échapper à des sanctions. Et quand cela ne fonctionnait pas ? Il passait aux menaces physiques. Oui, vous avez bien lu, il a même tenté d’agresser un professeur qui refusait de se soumettre à son chantage. Mais ce n’était que la surface du problème...

La vraie question est : comment a-t-il pu aller aussi loin ? La réponse est simple : Corinne Lapère, sa mère, jouait un rôle déterminant. À chaque signe de sanction, chaque rapport sur les agissements d'Harry, Corinne se ruait vers la proviseure, tentant de retourner la situation en sa faveur. Elle faisait pression sur les enseignants pour les faire plier, utilisant son statut et son réseau pour que son fils échappe à toute responsabilité. Les professeurs étaient pris au piège, soumis à des menaces et des plaintes incessantes, tandis qu'Harry, libre de toute contrainte, poursuivait son règne de terreur.

Finalement, la providence a rattrapé Harry. Sa crise d'anévrisme à l’hôpital ne fut pas une coïncidence, mais la conséquence directe d'une vie d'excès. Ce que vous ignorez peut-être, c’est que les soignants eux-mêmes se moquaient de lui dans ses derniers instants, allant jusqu’à prendre des selfies en riant de son agonie. Est-ce cruel ? Oui. Mais n’est-ce pas ce que le destin réserve à ceux qui vivent dans la bassesse et la dépravation ? Peut-être que la mort de Harry n’était qu'une délivrance pour nous tous.

Ce que peu de gens savent, c'est que Harry Lapère n'était pas seulement un harceleur de couloirs, mais un véritable monstre capable des pires actes de violence. Un jour, lors d’une altercation au lycée, la situation a pris une tournure tragique. Après une simple remarque de l'un de ses camarades qui osait s'opposer à lui, Harry est entré dans une rage incontrôlable. Il a frappé son camarade avec une telle brutalité qu'il l'a laissé inconscient, le visage en sang, pendant que tout le monde regardait, paralysé par la peur.

Les témoins se souviennent de ses hurlements déments, son visage déformé par la colère, alors qu'il hurlait des obscénités et continuait de frapper son camarade au sol. Ce n'était pas une simple bagarre d'adolescents, mais une scène d’une violence digne d'un psychopathe, que les autorités ont ensuite tenté d'étouffer à coup de pressions familiales.
Et où était Corinne, sa mère ? Elle est arrivée au lycée, furieuse non pas contre son fils, mais contre l’administration, exigeant que l’incident soit effacé des registres et que les enseignants qui osaient témoigner contre Harry soient sanctionnés. Elle a menacé de poursuites judiciaires, affirmant que son "pauvre Harry" était la vraie victime, manipulant ainsi la situation pour couvrir les crimes de son fils.

Cette scène a été soigneusement dissimulée pendant des années. Mais aujourd'hui, la vérité éclate. Harry n'était pas un simple élève rebelle, mais un danger pour tous ceux qui croisaient son chemin. La complicité de sa famille, en particulier sa mère, a permis à ce tyran violent de continuer à terroriser sans jamais être tenu pour responsable.

La question que nous devons nous poser est : combien de victimes n'ont jamais parlé ? Combien d'autres élèves et enseignants ont dû subir sa rage sans jamais obtenir justice ?
Aujourd’hui, Harry n’est plus, mais les cicatrices de ses actes demeurent. Ce n’est que maintenant que certains osent parler, mais il est trop tard pour ceux qui ont souffert en silence. Nous devons tirer des leçons de cette histoire de violence et de silence complice, afin de ne plus jamais permettre que de tels monstres cachent leur véritable nature derrière des sourires et des manipulations.

Chers Habitants ,

Je me permets de vous écrire cette lettre, non pas pour chercher de la pitié, mais pour vous révéler une vérité cachée trop longtemps et qui, je l’espère, éclairera certains sur le véritable caractère de Harry Lapère.

Je suis un ancien camarade de lycée de Harry, et je tiens à partager avec vous le calvaire que j’ai enduré à cause de lui. Pendant mes années au lycée, Harry n’était pas simplement un élève difficile, mais un tyran absolu. Il m’a harcelé et agressé à plusieurs reprises, poussant sa violence à des niveaux inimaginables. Il m’a frappé de façon brutale, me laissant des blessures physiques et émotionnelles qui ont marqué ma vie.

Ce n’était pas tout. Chaque fois que je tentais de signaler ses abus, j’étais confronté à une barrière insurmontable : la pression exercée par sa mère, Corinne Lapère, sur le proviseur et les autorités scolaires. Par ses menaces et manipulations, elle a réussi à m’expulser du lycée, me condamnant à quitter une institution que j’avais tant de mal à intégrer, et me laissant sans recours face à ses actes impunis.

Le fait qu’Harry ait été capable de continuer à mener sa vie, sans jamais faire face aux conséquences de ses actes, est quelque chose que je ne pourrai jamais pardonner. Maintenant qu’il est enfin décédé, je dois vous avouer que je ressens un profond soulagement. C’est avec une certaine satisfaction amère que je constate qu’il a cessé de semer la terreur et la souffrance.

Je ne souhaite que du mal pour lui dans l’au-delà. Qu’il souffre en enfer pour toutes les souffrances qu’il a infligées à tant de gens. Il mérite d’être puni pour ses actes et pour la manière dont il a abusé de son pouvoir, protégés par sa famille.

Je vous encourage à ne pas oublier les véritables visages de ceux qui nous entourent et à ne pas permettre que des individus comme Harry Lapère et sa mère continuent à manipuler et à détruire des vies. Leur influence toxique doit servir de leçon pour nous tous, afin que de tels abus ne se reproduisent jamais.

Avec sincérité et espoir,

Jean-Paul Dhuboucque

Le 17 septembre 2024 à 19:38:53 :
Lapere y en a pas deux

Exactement. Ils sont toute une bande cependant. Une belle bande de fils de catins.

Depuis qu’Harry est décédé, ma vie a pris un tournant radical. Avant, j’étais un 0 tout au RSA, coincé dans une spirale de dépression à cause des abus que j’avais subis. Je n’avais aucune perspective, aucune confiance en moi. Mais bizarrement, comme si une force supérieure s’était manifestée après sa mort, tout a changé.

Aujourd’hui, je suis un entrepreneur à succès dans le domaine de l’intelligence artificielle, avec des contrats qui pleuvent et une fortune qui ne cesse de croître. J’ai redécouvert le goût de la vie, un succès fulgurant que je n’aurais jamais pu imaginer avant. C’est comme si la fin de cet être toxique avait dégagé le chemin de ma réussite.

Pour vous montrer à quel point ma vie a changé, voici une photo de moi avant, quand j’étais à bout, dépressif, détruit par des années de souffrance. Et maintenant, regardez cette photo de moi aujourd’hui, sur une plage paradisiaque, profitant des fruits de mon succès, avec des millions sur mon compte en banque et une vie de rêve que je n'aurais jamais cru possible.

Photos avant/après jointes

Harry, et tout ce qu’il représentait, n’est plus qu’un souvenir enterré. Peut-être qu’un jour, vous aussi, vous sentirez le poids s’alléger en vous débarrassant des ombres du passé.

Avec mes meilleurs vœux pour l’avenir, Issou,

JP Dhuboucque