Bon les kheys, on va mettre ça au clair, mais cette fois, on va partir du principe que vous êtes pas juste des teubés, mais des vrais mecs qui savent ce qu'ils veulent : protéger la maison et garder les bonnes vieilles traditions. On va parler comme ça parce que clairement, c’est ça qui compte.
Le bordel gauche-droite, c’est dépassé
Le clivage gauche-droite, c'est du bullshit. On te fait croire que tout se résume à ça, mais en réalité, c'est un écran de fumée. La vraie question, c’est de savoir comment tu veux que ton pays tourne, et comment tu veux que la société évolue (ou pas).
Axe 1 : L'économie, faut protéger le biff
Ici, t’as les **protectionnistes**, et franchement, c’est là où t’as envie d’être. Pourquoi ? Parce que t’en as marre que tout le boulot et la thune du pays se cassent à l’étranger. T’as pas envie que les entreprises se barrent pour fabriquer leurs merdes moins cher ailleurs et qu’on soit là , comme des cons, à bouffer leurs produits de merde. Non, toi, tu veux que les trucs soient faits ici, par nos gars, pour qu’on garde notre économie en bonne santé. **Protéger ton bifteck**, c’est ça l’idée. Pas laisser les multinationales nous la mettre à l’envers.
En face, t’as les **libéraux**, et eux, ils s’en battent les couilles. Tout ce qu’ils veulent, c’est ouvrir les portes et laisser tout le monde faire du business avec tout le monde, même si ça fout notre économie en l’air. C’est eux les coupables quand t’entends que ta boîte délocalise et que tu te retrouves sur le carreau.
Axe 2 : Le sociétal, on garde ce qui marche
Ensuite, t’as la société. Là , t’as les **conservateurs** (nos gars sûrs) et les **progressistes** (les mecs qui veulent tout changer). Si t’es conservateur, t’aimes ce qui marche bien, t’aimes que les choses soient stables. T’es pas là pour que tout change tous les quatre matins parce que ça fait plaisir à trois péquenauds. Non, tu veux garder les traditions, les valeurs qui ont fait ce pays. Tu veux pas qu’on remette en cause ce qui marche depuis toujours, juste pour faire plaisir à une poignée de bobos qui n’ont rien d’autre à foutre que de tout critiquer.
Les **progressistes**, eux, ils sont là pour tout foutre en l’air, sous prétexte de "moderniser". Ils veulent tout changer, effacer les traditions, transformer la société en un truc qu’on reconnaît même plus. Bref, ils veulent détruire ce qui a toujours fait notre force, notre identité.
Macron et ses potes : des traîtres à la nation
Maintenant, parlons de Macron et Cazeneuve. Ces mecs-là , c’est des **libéraux progressistes**. Traduction : des traîtres à la nation. Ils veulent ouvrir toutes les portes de notre économie et en même temps, transformer la société pour qu’elle ressemble à on ne sait quoi. Bref, ils sont là pour tout foutre en l’air. Ils veulent que les entreprises se barrent pour faire du fric ailleurs, et que chez nous, on change nos traditions pour plaire à des gens qui nous respectent même pas.
La "vraie gauche" ? Pas mieux
Certains vont te parler de la "vraie gauche", en disant que ce sont des protectionnistes progressistes. Mais faut pas se leurrer, eux aussi, ils veulent foutre le bordel dans la société. Ouais, ils veulent garder les jobs ici, mais c’est pour mieux transformer la société en un truc où t’auras même plus le droit de dire ce que tu penses sans te faire traiter de fasciste.
Toi, t’es où ?
Toi, t’es un **protectionniste conservateur**. T’as tout compris. Tu veux protéger ton pays, ton économie, tes jobs, et en même temps, tu veux garder les traditions qui font notre force. T’es là pour défendre la maison contre les mecs qui veulent tout ouvrir et tout changer. T’es pas là pour qu’on te fasse des leçons, t’es là pour que les choses restent solides, stables, et que ton pays continue à tourner rond. C’est pas toi qui es dépassé, c’est les autres qui sont complètement à l’ouest.
Voilà les kheys, vous avez le tableau. Faut pas se laisser endormir par les discours des mecs qui veulent vous faire croire que tout ça c’est normal. Soyez fiers de ce que vous défendez : protection de l’économie, respect des traditions. C’est comme ça qu’on tient la baraque.
