Romainville : une famille expulsée squatte une école et exige un logement social

Ce lundi, en fin de matinée, une quinzaine d’enseignants et de parents d’élèves ont organisé une « opération coup de poing » pour soutenir la famille Diabira et l’installer dans une des classes de l’école maternelle Marcel-Cachin, à Romainville (Seine-Saint-Denis). Depuis le 5 juillet, Lassana, Mouna, sa femme enceinte de trois mois, et leurs trois enfants, Yacouba, 8 ans, Fatoumata, bientôt 4 ans et Mariam, 2 ans, n’ont plus de logement. Après plus d’un an de procédure d’expulsion toujours en cours, le propriétaire a décidé de régler la situation lui-même et a changé les serrures.

« Nous sommes à une semaine de la rentrée des classes et on a trois enfants sans logement stable, peste Daouda Gory, conseiller municipal d’opposition de Romainville. Où en est-on de la promesse républicaine ? » Ali Kissi, autre élu de l’opposition municipale, acquiesce. « Ce sont des enfants qui n’ont aucun repère », appuie-t-il. En attendant d’obtenir un appartement du parc social, Carine, l’institutrice de Fatoumata, a proposé d’installer la famille dans l’école. […]

Le père de famille habitait depuis 2019 dans un appartement du parc privé, rue des Noyers, d’abord avec son cousin, puis avec sa femme et leurs trois enfants à l’été 2023. Mais au début de la même année, Lassana a arrêté de payer le loyer. À Kayes, au Mali, d’où il est originaire, sa mère est malade. Elle souffre d’une maladie digestive chronique. Il lui envoie de l’argent, environ 450 euros par mois, pour qu’elle se soigne. […]

« Tout l’été, nous avons harcelé la municipalité. J’ai envoyé des tonnes de mails pour demander au maire d’activer ses réseaux pour trouver un logement pour la famille de mon élève. Lassana a même accepté d’aller habiter ailleurs dans la région, d’intégrer le programme Emile, un parcours censé favoriser la mobilité dans les territoires des personnes en grandes difficultés en Île-de-France », rapporte Carine. […]

Une famille malgré tout déjà aidée par la ville. Elle a notamment bénéficié de 200 euros de bons alimentaires. La municipalité a en outre envoyé Mouna et les enfants dans les Alpes, dans un centre de vacances.[…]

ya des milliers de logement libre

l'état pourrait aisément reloger tout le monde...-_-

Le 27 août 2024 à 18:53:15 :
Ce lundi, en fin de matinée, une quinzaine d’enseignants et de parents d’élèves ont organisé une « opération coup de poing » pour soutenir la famille Diabira et l’installer dans une des classes de l’école maternelle Marcel-Cachin, à Romainville (Seine-Saint-Denis). Depuis le 5 juillet, Lassana, Mouna, sa femme enceinte de trois mois, et leurs trois enfants, Yacouba, 8 ans, Fatoumata, bientôt 4 ans et Mariam, 2 ans, n’ont plus de logement. Après plus d’un an de procédure d’expulsion toujours en cours, le propriétaire a décidé de régler la situation lui-même et a changé les serrures.

« Nous sommes à une semaine de la rentrée des classes et on a trois enfants sans logement stable, peste Daouda Gory, conseiller municipal d’opposition de Romainville. Où en est-on de la promesse républicaine ? » Ali Kissi, autre élu de l’opposition municipale, acquiesce. « Ce sont des enfants qui n’ont aucun repère », appuie-t-il. En attendant d’obtenir un appartement du parc social, Carine, l’institutrice de Fatoumata, a proposé d’installer la famille dans l’école. […]

Le père de famille habitait depuis 2019 dans un appartement du parc privé, rue des Noyers, d’abord avec son cousin, puis avec sa femme et leurs trois enfants à l’été 2023. Mais au début de la même année, Lassana a arrêté de payer le loyer. À Kayes, au Mali, d’où il est originaire, sa mère est malade. Elle souffre d’une maladie digestive chronique. Il lui envoie de l’argent, environ 450 euros par mois, pour qu’elle se soigne. […]

« Tout l’été, nous avons harcelé la municipalité. J’ai envoyé des tonnes de mails pour demander au maire d’activer ses réseaux pour trouver un logement pour la famille de mon élève. Lassana a même accepté d’aller habiter ailleurs dans la région, d’intégrer le programme Emile, un parcours censé favoriser la mobilité dans les territoires des personnes en grandes difficultés en Île-de-France », rapporte Carine. […]

Une famille malgré tout déjà aidée par la ville. Elle a notamment bénéficié de 200 euros de bons alimentaires. La municipalité a en outre envoyé Mouna et les enfants dans les Alpes, dans un centre de vacances.[…]

Pourquoi refusent-ils de travailler ?

Une famille malgré tout déjà aidée par la ville. Elle a notamment bénéficié de 200 euros de bons alimentaires. La municipalité a en outre envoyé Mouna et les enfants dans les Alpes, dans un centre de vacances.[…]

C'est inacceptable ce chantage

On n'a pas à leur donner quoi que ce soit.

C'est pas aux Etats-Unis qu'on verrait ça

Là bas on vénère le travail et les gens forts.

"Où en est-on de la promesse républicaine ?"

Je suis mort de rire

Et les cucks de gauchos blancos qui sont contents de financer ces CAFards

Le summum de la soumission putain

Le nom de la famille : Diabira
Le nom du conseiller municipal : Daouda Gory
Le nom de l'autre conseiller municipal : Ali Kissi

La France

Le 27 août 2024 à 18:55:35 :
C'est inacceptable ce chantage

On n'a pas à leur donner quoi que ce soit.

Facho ! Facho ! Tu dois leur donner ton argent, ta maison et ta femme !