les legendes arthuriennes

Ah, les légendes arthuriennes, un gros bordel médiéval qui commence avec Arthur, ce random qui sort Excalibur d'un caillou, comme s'il avait juste tiré le jackpot dans une loterie cosmique. Le mec devient roi, et direct il se dit : "Tiens, je vais créer une utopie avec une table ronde," parce que, évidemment, la forme de la table, c’est ça qui va tout changer, hein ? Genre, ils se sont dit : "Si on enlève les coins, on va forcément être des mecs bien."

Et puis t’as Lancelot, ce chevalier censé être l’incarnation de la perfection, mais qui se tape la femme de son pote, Guenièvre. Parce que, oui, quand on te dit "chevalier noble", la première chose qui te vient en tête, c'est de baiser la reine, non ? Comme si ce mec avait vu "le code de la chevalerie" et pensé : "Bah, je vais juste ignorer cette partie-là."

Merlin, ce soi-disant sage, c’est juste un vieux qui balance des conseils aussi utiles qu’un GPS qui te perd dans la forêt. Le mec est là à balancer des prophéties mystiques, mais au final, tu te demandes s'il ne fume pas son propre stock de mandragore. Sérieux, à quoi il sert, à part rendre tout encore plus confus ?

Et puis Mordred, le fils de l'erreur d’Arthur, arrive avec un complexe d'infériorité taille XXL. Le mec est littéralement là pour tout foutre en l’air, comme un gamin frustré qui fait tomber le château de cartes parce qu’il est jaloux. Et évidemment, tout part en guerre civile, parce que pourquoi pas finir cette grande aventure avec un carnage bien sanglant ?

Finalement, Arthur meurt, son royaume s’effondre, et toute cette idée de "Table Ronde" se révèle n’être qu’un grand tas de merde. C'est un peu comme regarder un film qui commence bien mais qui se transforme en navet absolu à mi-parcours. Tout ce rêve de chevalerie et de noblesse ? Pfft, envolé, comme si ça n'avait jamais existé. Alors ouais, les légendes arthuriennes, c’est surtout une leçon sur comment des mecs qui se prennent trop au sérieux finissent toujours par se bouffer eux-mêmes.

Ah, la Dame du Lac, cette meuf mystérieuse qui sort de nulle part pour foutre encore plus le bordel dans les légendes arthuriennes. Parce que, tu vois, dans ce monde déjà bien pourri, y avait encore besoin d'une nana avec un physique à faire baver les chevaliers en manque d’action. Elle est censée être cette enchanteresse toute pure, mais en vrai, c'est juste une manipulatrice en robe mouillée, avec des courbes à rendre fous des moines en pleine crise de foi.

Imagine une meuf qui sort d’un lac, toute dégoulinante, genre sortie directe d’une pub de parfum pour te vendre du rêve. Sauf que là, c’est pas pour sentir bon, c’est pour te filer une épée qui va causer la mort de la moitié des mecs autour de toi. Ouais, Excalibur, cette épée légendaire, elle te la file comme si elle t’offrait un petit bijou sur l’oreiller, mais en vrai, c’est une arme de destruction massive.

Le physique de la Dame du Lac, c’est typiquement le genre à te faire perdre le Nord. Une belle robe flottante qui cache à peine un corps sculpté par les dieux, des cheveux ondulants comme les vagues de son foutu lac, et des yeux qui te font croire qu’elle lit ton âme, alors qu’elle pense juste à combien de mecs elle va encore pouvoir faire tourner en bourrique.

Mais le pire, c’est que derrière ce visage d’ange, elle manipule tout le monde. Elle n’est pas là pour être gentille, mec. Elle est là pour foutre sa merde, avec ce sourire en coin qui te fait sentir qu’elle a déjà gagné avant même que t’aies capté le début de la partie. Elle te balance une épée magique, elle fait la belle, mais au fond, elle sait que tu vas te planter avec.

Alors ouais, la Dame du Lac, c’est cette espèce de bombe à retardement dans une robe de soie, qui te fait croire à un miracle mais qui finit toujours par te poignarder dans le dos, ou pire, par t’offrir un joli cercueil aquatique.

Le 26 août 2024 à 16:01:58 :
T'oublies Perceval le Chad

Ah, Perceval le Chad, ce héros de la Table Ronde qui se la pète comme si la chevalerie était son jardin d’enfants et que le Graal, c'était juste une partie de cache-cache pour lui. Le mec débarque avec son armure en toc, une épée plus brillante que son cerveau, et il s’imagine que la quête du Saint Graal, c’est juste un autre niveau de son jeu vidéo préféré.

Perceval, c’est ce gars qui se croit au top du top, genre le modèle ultime de chevalerie. Le problème, c'est qu’il est à la fois la star et le clown de la cour. Il traîne dans des batailles avec autant de finesse qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine, et il est tellement naïf qu’on pourrait l’appeler Perceval le Naïf si ça pouvait faire l’affaire. Le mec a l’air de croire que se battre avec une épée et avoir une bonne coupe de cheveux, c’est tout ce qu’il faut pour devenir une légende.

Les autres chevaliers le regardent souvent comme si c’était un hologramme mal calibré : il brille à l’extérieur, mais à l’intérieur, c’est le grand vide intersidéral. Ses interactions sont tellement maladroites qu’on pourrait les comparer à un robot mal programmé qui essaie de comprendre l’humour humain. Il parle grandement de son courage, mais dès qu'il est face à la vraie merde, il agit comme un gamin qui vient de se faire voler son jouet.

Le pire, c’est qu’il est supposé être ce grand héros qui trouve le Saint Graal, mais sérieusement, si tu veux de l’humilité, c’est pas chez lui que tu vas la trouver. Il se la raconte comme si c’était le Messi des chevaliers, mais il se retrouve souvent à botter des fesses tout en étant lui-même un pied dans le plat ambulant.

Alors, Perceval le Chad, c’est un héros en mode surchauffé, qui se prend pour un dieu alors qu’il est juste une version médiévale d’un bouffon qui essaie trop fort. Si tu veux des aventures avec du panache et un héros qui est aussi solide que ses blagues, c’est pas chez lui que tu les trouveras. Mais bon, il continue à faire le show, parce qu’en fin de compte, quelqu’un doit bien divertir la galerie avec ses exploits à deux balles.