Vous êtes BG combien /10

Le 19 septembre 2024 à 18:21:15 :
Je me sens lambda

Mais je crois que je suis pas objectif

Sûrement à cause de mon enfance de shlagg

À partir de 16 ans j’ai commencé à changer, à me viriliser.

À 17 ans et quelques, je plaisais beaucoup, les meufs venaient toutes seules vers moi.

19 ans, j’ai fais de la boxe sérieusement et j’ai eu mon permis. C’était trop easy. Je recalais des meufs dans la rue, en boîte, j’ai même recalé ma cousine p’tain , j’avais tellement d’occasions et de compliments et de facilités que la « sexualité » n’était plus un objectif… je commençais à être très sélectif en terme de meufs. Je me suis fait harcelé par 2 meufs différentes aussi, elles voulaient pas me lâcher.

À 21 ans, j’étais casé et amoureux. Et même elle, j’avais pas eu besoin de faire quoi que ce soit. D’ailleurs c’est aussi une fille que j’avais recalé 3 ans avant. Elle me kiffait à la mort sans me connaître, juste physiquement elle a eu un coup de foudre. Un vrai.

Je ne m’explique pas le glow Up que j’ai eu à 16 ans.

Je ne m’explique pas pourquoi ma voisine de 27 ans m’a sauté dessus chez elle lors d’une soirée, alors que j’avais seulement 18 ans et que j’étais pas en mode séduction. Juste je lui payais des joints, je lui faisais découvrir des sons, etc… j’étais naïf, je pensais pas lui plaire, j’étais qu’un gamin.

19 ans c’est nimp. Pour symboliser cette année : y’a une meuf de mon lycée je la vois comme une déesse. Jamais de la vie un random comme moi pourrait la pécho. Bon en fait… elle vient me parler, je lui envoi pas de signaux (grandir dans un quartier ça aide question Gestion du stress et Poker face), je l’intrigue et puis bref… malgré la 50aine de dalleux sur ses côtes, elle me veut moi. Je suis le premier surpris quand elle vient me demander timidement mon Snap. Et je suis aussi surpris qu’elle soit aussi timide devant moi, elle d’habitude si confiante.

J’ai l’air d’un bad boy, je le sais. Mais j’en suis absolument pas un. Juste les dingueries quotidiennes du quartier qui te rendent froid. Solide.

Bref, les meufs…

Elles disent que je suis un bg, un avion de chasse, trop beau, charme de fou, etc… je me regarde dans la glace et je vois qu’un maigrichon, un mec perdu, qui a été battu et rabaissé par son daron, à qui on brisé la confiance en soi et qui galère dans son quartier de zinzin entre plaque d’égout et plaque de flic.

Mais apparemment j’ai du charme. Mes yeux et ma bouche, ça revient toujours. Mon regard et ma bouche fonctionnent sur elles.

Je me l’explique pas. Mais je m’estime chanceux et privilégié, même si ça m’échappe de plaire autant

Pavé p’tain

Comment ça tu as recale ta cousine? Il va falloir que tu nous en dises plus à ce propos mon khey

Le 19 septembre 2024 à 18:21:15 :
Je me sens lambda

Mais je crois que je suis pas objectif

Sûrement à cause de mon enfance de shlagg

À partir de 16 ans j’ai commencé à changer, à me viriliser.

À 17 ans et quelques, je plaisais beaucoup, les meufs venaient toutes seules vers moi.

19 ans, j’ai fais de la boxe sérieusement et j’ai eu mon permis. C’était trop easy. Je recalais des meufs dans la rue, en boîte, j’ai même recalé ma cousine p’tain , j’avais tellement d’occasions et de compliments et de facilités que la « sexualité » n’était plus un objectif… je commençais à être très sélectif en terme de meufs. Je me suis fait harcelé par 2 meufs différentes aussi, elles voulaient pas me lâcher.

À 21 ans, j’étais casé et amoureux. Et même elle, j’avais pas eu besoin de faire quoi que ce soit. D’ailleurs c’est aussi une fille que j’avais recalé 3 ans avant. Elle me kiffait à la mort sans me connaître, juste physiquement elle a eu un coup de foudre. Un vrai.

Je ne m’explique pas le glow Up que j’ai eu à 16 ans.

Je ne m’explique pas pourquoi ma voisine de 27 ans m’a sauté dessus chez elle lors d’une soirée, alors que j’avais seulement 18 ans et que j’étais pas en mode séduction. Juste je lui payais des joints, je lui faisais découvrir des sons, etc… j’étais naïf, je pensais pas lui plaire, j’étais qu’un gamin.

19 ans c’est nimp. Pour symboliser cette année : y’a une meuf de mon lycée je la vois comme une déesse. Jamais de la vie un random comme moi pourrait la pécho. Bon en fait… elle vient me parler, je lui envoi pas de signaux (grandir dans un quartier ça aide question Gestion du stress et Poker face), je l’intrigue et puis bref… malgré la 50aine de dalleux sur ses côtes, elle me veut moi. Je suis le premier surpris quand elle vient me demander timidement mon Snap. Et je suis aussi surpris qu’elle soit aussi timide devant moi, elle d’habitude si confiante.

J’ai l’air d’un bad boy, je le sais. Mais j’en suis absolument pas un. Juste les dingueries quotidiennes du quartier qui te rendent froid. Solide.

Bref, les meufs…

Elles disent que je suis un bg, un avion de chasse, trop beau, charme de fou, etc… je me regarde dans la glace et je vois qu’un maigrichon, un mec perdu, qui a été battu et rabaissé par son daron, à qui on brisé la confiance en soi et qui galère dans son quartier de zinzin entre plaque d’égout et plaque de flic.

Mais apparemment j’ai du charme. Mes yeux et ma bouche, ça revient toujours. Mon regard et ma bouche fonctionnent sur elles.

Je me l’explique pas. Mais je m’estime chanceux et privilégié, même si ça m’échappe de plaire autant

Pavé p’tain

Tu m’as l’air bien sombre mon khey

Ceci dit, je comprends ce que tu dis sur la vie dans un quartier difficile et les mauvais traitements de ton père, ça explique le décalage entre qui tu penses être, qui tu es vraiment et comment les femmes te perçoive

Le 19 septembre 2024 à 18:28:39 :

Le 19 septembre 2024 à 18:21:15 :
Je me sens lambda

Mais je crois que je suis pas objectif

Sûrement à cause de mon enfance de shlagg

À partir de 16 ans j’ai commencé à changer, à me viriliser.

À 17 ans et quelques, je plaisais beaucoup, les meufs venaient toutes seules vers moi.

19 ans, j’ai fais de la boxe sérieusement et j’ai eu mon permis. C’était trop easy. Je recalais des meufs dans la rue, en boîte, j’ai même recalé ma cousine p’tain , j’avais tellement d’occasions et de compliments et de facilités que la « sexualité » n’était plus un objectif… je commençais à être très sélectif en terme de meufs. Je me suis fait harcelé par 2 meufs différentes aussi, elles voulaient pas me lâcher.

À 21 ans, j’étais casé et amoureux. Et même elle, j’avais pas eu besoin de faire quoi que ce soit. D’ailleurs c’est aussi une fille que j’avais recalé 3 ans avant. Elle me kiffait à la mort sans me connaître, juste physiquement elle a eu un coup de foudre. Un vrai.

Je ne m’explique pas le glow Up que j’ai eu à 16 ans.

Je ne m’explique pas pourquoi ma voisine de 27 ans m’a sauté dessus chez elle lors d’une soirée, alors que j’avais seulement 18 ans et que j’étais pas en mode séduction. Juste je lui payais des joints, je lui faisais découvrir des sons, etc… j’étais naïf, je pensais pas lui plaire, j’étais qu’un gamin.

19 ans c’est nimp. Pour symboliser cette année : y’a une meuf de mon lycée je la vois comme une déesse. Jamais de la vie un random comme moi pourrait la pécho. Bon en fait… elle vient me parler, je lui envoi pas de signaux (grandir dans un quartier ça aide question Gestion du stress et Poker face), je l’intrigue et puis bref… malgré la 50aine de dalleux sur ses côtes, elle me veut moi. Je suis le premier surpris quand elle vient me demander timidement mon Snap. Et je suis aussi surpris qu’elle soit aussi timide devant moi, elle d’habitude si confiante.

J’ai l’air d’un bad boy, je le sais. Mais j’en suis absolument pas un. Juste les dingueries quotidiennes du quartier qui te rendent froid. Solide.

Bref, les meufs…

Elles disent que je suis un bg, un avion de chasse, trop beau, charme de fou, etc… je me regarde dans la glace et je vois qu’un maigrichon, un mec perdu, qui a été battu et rabaissé par son daron, à qui on brisé la confiance en soi et qui galère dans son quartier de zinzin entre plaque d’égout et plaque de flic.

Mais apparemment j’ai du charme. Mes yeux et ma bouche, ça revient toujours. Mon regard et ma bouche fonctionnent sur elles.

Je me l’explique pas. Mais je m’estime chanceux et privilégié, même si ça m’échappe de plaire autant

Pavé p’tain

Comment ça tu as recale ta cousine? Il va falloir que tu nous en dises plus à ce propos mon khey

Ma cousine, on a le même âge. Depuis mes 16/17 ans elles m’envoient des signaux. Grands sourires, regards prolongés, visites chez moi alors qu’avant elle venait jamais.

Un jour dans la cuisine elle me dit « Si t’étais pas mon cousin je t’aurais sauté dessus »

Quand on a 19 ans, on est chez moi, et y’a personne. En fait c’est la rentrée, elle est pas inscrite à la cantine, donc elle vient manger chez moi exceptionnellement.

T’as capté la suite, elle me dit « Je vais un truc pas bien, mais j’en peux plus ». Et là elle essaye de m’embrasser, de me prendre dans ses bras, de me coller contre un meuble…

Je l’ai repoussé, je l’ai recalé, je l’ai embrouillé, que ça me dégoûtais, qu’on avait du sang en commun etc…

Le 19 septembre 2024 à 18:32:54 :

Le 19 septembre 2024 à 18:21:15 :
Je me sens lambda

Mais je crois que je suis pas objectif

Sûrement à cause de mon enfance de shlagg

À partir de 16 ans j’ai commencé à changer, à me viriliser.

À 17 ans et quelques, je plaisais beaucoup, les meufs venaient toutes seules vers moi.

19 ans, j’ai fais de la boxe sérieusement et j’ai eu mon permis. C’était trop easy. Je recalais des meufs dans la rue, en boîte, j’ai même recalé ma cousine p’tain , j’avais tellement d’occasions et de compliments et de facilités que la « sexualité » n’était plus un objectif… je commençais à être très sélectif en terme de meufs. Je me suis fait harcelé par 2 meufs différentes aussi, elles voulaient pas me lâcher.

À 21 ans, j’étais casé et amoureux. Et même elle, j’avais pas eu besoin de faire quoi que ce soit. D’ailleurs c’est aussi une fille que j’avais recalé 3 ans avant. Elle me kiffait à la mort sans me connaître, juste physiquement elle a eu un coup de foudre. Un vrai.

Je ne m’explique pas le glow Up que j’ai eu à 16 ans.

Je ne m’explique pas pourquoi ma voisine de 27 ans m’a sauté dessus chez elle lors d’une soirée, alors que j’avais seulement 18 ans et que j’étais pas en mode séduction. Juste je lui payais des joints, je lui faisais découvrir des sons, etc… j’étais naïf, je pensais pas lui plaire, j’étais qu’un gamin.

19 ans c’est nimp. Pour symboliser cette année : y’a une meuf de mon lycée je la vois comme une déesse. Jamais de la vie un random comme moi pourrait la pécho. Bon en fait… elle vient me parler, je lui envoi pas de signaux (grandir dans un quartier ça aide question Gestion du stress et Poker face), je l’intrigue et puis bref… malgré la 50aine de dalleux sur ses côtes, elle me veut moi. Je suis le premier surpris quand elle vient me demander timidement mon Snap. Et je suis aussi surpris qu’elle soit aussi timide devant moi, elle d’habitude si confiante.

J’ai l’air d’un bad boy, je le sais. Mais j’en suis absolument pas un. Juste les dingueries quotidiennes du quartier qui te rendent froid. Solide.

Bref, les meufs…

Elles disent que je suis un bg, un avion de chasse, trop beau, charme de fou, etc… je me regarde dans la glace et je vois qu’un maigrichon, un mec perdu, qui a été battu et rabaissé par son daron, à qui on brisé la confiance en soi et qui galère dans son quartier de zinzin entre plaque d’égout et plaque de flic.

Mais apparemment j’ai du charme. Mes yeux et ma bouche, ça revient toujours. Mon regard et ma bouche fonctionnent sur elles.

Je me l’explique pas. Mais je m’estime chanceux et privilégié, même si ça m’échappe de plaire autant

Pavé p’tain

Tu m’as l’air bien sombre mon khey

Ceci dit, je comprends ce que tu dis sur la vie dans un quartier difficile et les mauvais traitements de ton père, ça explique le décalage entre qui tu penses être, qui tu es vraiment et comment les femmes te perçoive

C’est ça, je grandis pendant 16 ans avec un image de moi-même négative de fou.

Et puis ça contraste quand le monde extérieur me montre l’inverse.

-10

j'suis un -10 tout

8/9 facile. Mais j'ai pas de meuf.

Casse les boules un peu.