« C’est à l’égard de la France que l’erreur de notre politique a été la plus complète. Il ne fallait pas collaborer avec eux. Cette politique qui les a servis nous a desservis. Abetz s’est cru original en se faisant le champion de cette idée et en me poussant dans cette voie. Il croyait être en avance sur les faits alors qu’en réalité il retardait… Je n’ai jamais aimé la France ni les Français… La France demeure l’ennemi mortel du peuple allemand… Que les Allemands prennent garde de ne jamais se laisser endormir par cette sirène »