Adrien : Bonsoir, Monsieur.
Pablo (air égaré) : Salut, Adrien. Comment te portes-tu ?
Adrien : Comment te sens-tu, mon ami ?
Pablo (air égaré) : Eh bien ma foi, paisiblement, et toi ? *allume la caméra*
Adrien : Oh, quelle stupeur !
Pablo : Impressionnante, n’est-ce pas ?
Adrien : Mais quelle est donc cette apparence extravagante ?! *siffle*
Pablo : Oui, je suis épuisé, mon frère. Et toi, tout va bien pour toi ?
Adrien : Et toi ?
Pablo : Oh, tout va bien. Es-tu rentré chez ta chère mère ?
Adrien : Oui, je suis actuellement chez ma mère, paisiblement installé.
Pablo : Tout est donc tranquille. Alors, l’Italie, c’était agréable ?
Adrien : Oui, oui, nous en avons pleinement profité, mon frère, c'était des plus plaisant.
Pablo : Oui, j’ai bien vu cela, j’ai vu que tu en avais bien profité, mon frère.
Adrien : Moi aussi, je suis épuisé à un point extrême, je suis épuisé à l'excès.
Pablo : Alors, quels sont tes projets à venir ?
Adrien : Je dois tourner un film demain, encore un autre film.
Pablo : Et où te rends-tu pour ce tournage ?
Adrien : Je suis à Paris, en plein Paris.
Pablo : Oh, cela va, ce n’est guère éloigné de chez toi.
Adrien : Non, en effet, ce n’est point très éloigné, et je demeure là, mon frère.
Pablo : Eh bien, et ton cercle de camarades ? Ceux avec A… et Seb, as-tu des nouvelles d’eux ?
Adrien : En ce moment, ils sont à Miami. Je ne suis guère en grande connexion avec eux pour l’instant. Je m’occupe de mes affaires, tu comprends.
Pablo : Je vois.
Adrien : Mais tout est en ordre, mon frère.
Pablo : Il faudrait vraiment que tu viennes en Normandie un jour, Adrien, un de ces quatre.
Adrien : Mais bien sûr, je te ferai signe ! Si je suis en Normandie, mon cher, nous irons festoyer.
Pablo : Inévitablement !
Adrien : Haha, en effet.