Cette 8/10 GALOCHE un CRACKHEAD sous la MENACE
SuppriméLe 10 août 2024 à 03:17:06 :
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Ah, l'addiction à la chair, cette bête insatiable qui nous ronge, nous dévore de l'intérieur. On s'accroche à la chair comme à une bouée dans ce naufrage post-moderne, où tout part à la dérive, où rien ne tient plus debout. C'est le besoin primaire, animal, viscéral. On cherche du sens, on trouve que ça, la chair, cette prison douce, moite, brûlante.La modernité, elle, avec ses promesses de progrès, d'élévation, elle nous a menti. On voulait s'élever, atteindre des sommets de raison, de science, mais on retombe toujours, plus bas, plus profond, dans la chair. On a déconstruit nos métarécits, et qu'est-ce qu'il reste ? Le corps, le désir brut, les plaisirs immédiats, les pulsions incontrôlables. On est tous là, errants, à chercher ce contact, ce frisson, ce coup de fouet qui nous rappelle qu'on est encore vivants, quelque part.La chair, c'est notre dernier lien avec le réel, notre dernier ancrage dans ce monde fragmenté. On s'y accroche, on y plonge, on s'y perd. C'est l'illusion d'une unité, d'une complétude, d'un sens éphémère, fugace. Et on sait, au fond, que ça ne mène nulle part, que c'est vide, mais on s'en fout, parce qu'on a plus rien d'autre.Et dans ce tourbillon, on devient des addicts, des fous, des affamés de chair. On court après des ombres, des fantômes, on se dévore les uns les autres, sans jamais être rassasiés. La post-modernité nous a laissé ce legs-là : la quête interminable, insatiable, d'un plaisir qui se dérobe toujours, qui nous fuit, qui nous nargue.Voilà, mes amis, c'est ça, notre vie, notre folie douce. On est là, à chercher des fragments de bonheur dans un monde éclaté, à se perdre dans la chair, parce que c'est tout ce qu'il nous reste. C'est notre malédiction, notre destin, notre enfer personnel. Et on continue, inlassablement, à courir après cette chimère, parce qu'on sait pas faire autrement.
Putain les droitards c'est quand même quelque chose en 2024
Je pense qu'on se rappellera longtemps du malaise de la droite des réseaux sociaux des années 2020
Le 10 août 2024 à 03:24:04 :
Putain les droitards c'est quand même quelque chose en 2024Je pense qu'on se rappellera longtemps du malaise de la droite des réseaux sociaux des années 2020
Des prolos qui n'ont aucune culture à cause de leurs parents prolo et qui se fantasment une culture en lisant 3 bouquins et en se montant la tête entre eux sur les RS
C'est effectivement un peu pathétique, au sens propre du terme
Le 10 août 2024 à 03:26:40 :
Le 10 août 2024 à 03:24:04 :
Putain les droitards c'est quand même quelque chose en 2024Je pense qu'on se rappellera longtemps du malaise de la droite des réseaux sociaux des années 2020
Des prolos qui n'ont aucune culture à cause de leurs parents prolo et qui se fantasment une culture en lisant 3 bouquins et en se montant la tête entre eux sur les RS
C'est effectivement un peu pathétique, au sens propre du terme
Ah, les gauchistes d’internet, ces révolutionnaires de clavier, ces penseurs en carton-pâte. Ils se pavanent, ils se croient au-dessus de la mêlée, loin au-dessus des braves types de droite, qu’ils méprisent du haut de leur tour d’ivoire virtuelle. Et leur idole, leur héros, c’est Antoine Goya, ce chantre de la pensée subversive, ce prophète des causes perdues. Ils boivent ses paroles comme on boirait de l’eau bénite, convaincus qu’elles les lavent de toute impureté idéologique.Ils adorent Goya, ces gauchistes, comme on adore une relique sacrée. Ils citent ses discours, ils partagent ses vidéos, ils s’enflamment dans les commentaires, sûrs d’avoir raison contre ce monde pourri, contre cette droite ignare. Ils se croient éclairés, porteurs de la flamme de la justice sociale, de la vraie liberté. Mais c’est quoi, au fond ? Des slogans vides, des mots creux, des idées recyclées. Ils se rassurent dans leur entre-soi, se congratulent de leur supériorité morale, mais qu’est-ce qu’ils font de plus que les autres ? Pas grand-chose, si ce n’est brasser du vent.Ils parlent fort, ces gauchistes d’internet, mais c’est du bruit, du vacarme inutile. Ils sont enfermés dans leurs bulles, à l’abri de la contradiction, protégés des réalités du monde. Ils se moquent des types de droite, les prennent de haut, les traitent de tous les noms. Mais ils sont aveugles à leur propre arrogance, sourds à leur propre dogmatisme. Ils pensent être des libérateurs, des avant-gardistes, mais ils ne sont que des prêcheurs de pacotille, des idéologues de pacotille.Leur monde, c’est celui des forums, des réseaux sociaux, des hashtags et des likes. Ils militent à coups de tweets, font la révolution à coups de posts. Ils se croient invincibles, intouchables, mais ils ne voient pas qu’ils tournent en rond, qu’ils sont prisonniers de leurs propres illusions. Ils dénoncent la droite, la conspuent, mais ils ne proposent rien de concret, rien qui tienne debout.Antoine Goya, lui, il rit dans sa barbe, il les regarde se débattre, se déchirer entre eux. Il sait bien que ses disciples sont des agneaux perdus, des brebis égarées dans le grand cirque de la post-modernité. Ils pensent avoir trouvé un guide, un phare dans la nuit, mais ils ne font que s’égarer davantage, aveuglés par leurs certitudes, enlacés dans leur propre vanité.Et la droite, elle, elle regarde ça d’un œil moqueur, elle rigole doucement. Elle sait que ces gauchistes ne sont qu’une tempête dans un verre d’eau, une agitation futile. Elle sait qu’au fond, ils ne valent pas mieux, qu’ils ne sont pas plus sages, pas plus justes. La post-modernité a fait de nous tous des fous, des errants, et ces gauchistes d’internet, avec leurs rêves de grandeur et leurs illusions de pureté, ne sont que les clowns tristes de ce cirque tragique.
Le 10 août 2024 à 03:32:48 :
et je coule aussi d bronzes
Ah, les simples d’esprit, ces pauvres hères qui errent sur les forums, perdus dans ce labyrinthe numérique. Ils cliquent, ils se perdent, ils cherchent désespérément un coin où s’accrocher, une vérité facile, une réponse claire à leur confusion. Les forums, pour eux, c’est le dernier refuge, le dernier espoir dans un monde qui les dépasse, qui va trop vite pour leurs esprits simples.Ils arrivent là, la bouche ouverte, les yeux écarquillés, comme des enfants devant une vitrine de Noël. Ils se laissent happer par les titres accrocheurs, les débats enflammés, les promesses de savoir immédiat. Ils sont comme des papillons de nuit, attirés par la lumière, prêts à se brûler les ailes pour un peu de chaleur, un peu de sens dans ce chaos.Les trolls, les manipulateurs, ils les voient venir de loin, ces simples d’esprit. Ils les guident, les manipulent, les poussent dans des guerres de mots, des discussions stériles. Et eux, les simples, ils suivent, ils obéissent, convaincus qu’ils participent à quelque chose de grand, de vrai. Mais ce n’est que du vent, du bruit, des illusions.Ils prennent tout au pied de la lettre, les simples d’esprit. Ils ne voient pas les nuances, les pièges, les sous-entendus. Ils avalent tout, goulûment, sans discernement. Ils sont les proies faciles des idéologues, des charlatans, des vendeurs de rêves. Ils se battent pour des causes qu’ils ne comprennent pas vraiment, répétant des slogans, des phrases toutes faites, comme des perroquets mécaniques.Et quand ils sont déçus, quand ils réalisent qu’ils ont été dupés, c’est le désarroi, la colère. Ils se retournent contre ceux qui les ont trompés, mais c’est trop tard. Le mal est fait, leur naïveté les a trahis. Ils errent à nouveau, cherchant une nouvelle lumière, une nouvelle illusion à suivre.Les forums, c’est leur royaume, leur terrain de jeu. Ils y trouvent une communauté, une reconnaissance qu’ils n’ont pas ailleurs. Mais c’est une reconnaissance factice, une communauté de mirage. Ils se sentent importants, écoutés, mais ce n’est qu’une illusion, une mascarade.Ils ne sont pas méchants, les simples d’esprit. Ils sont juste perdus, déboussolés dans ce monde trop complexe, trop rapide. Ils cherchent des réponses simples à des questions compliquées. Ils veulent croire qu’ils ont trouvé un refuge, une vérité, mais ce n’est qu’un mirage, un rêve qui se dissipe au premier souffle de réalité.Et ainsi, ils continuent d’errer, de cliquer, de se perdre dans les méandres des forums, ces labyrinthes sans fin où les illusions se succèdent, où les réponses se dérobent toujours. Ils sont les enfants de la post-modernité, les victimes innocentes d’un monde éclaté, fragmenté, où rien ne tient plus debout.
Données du topic
- Auteur
- SuicideCaca5
- Date de création
- 10 août 2024 à 03:12:35
- Date de suppression
- 10 août 2024 à 04:17:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
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