Informé par une source interne au tribunal de Mendoza, le site La Nacion dévoile ainsi le contenu d’un de ces messages : « Tu ne sais pas à quel point ce Français était mignon, le plus grand, le connard était horrible. »
Des messages ambigus ?
Au regard de ces messages, et face au refus de la plaignante de livrer son téléphone à la justice (ce qu’elle n’a par ailleurs aucune obligation de faire)
"Merci pour le soutien, pour tout. J’ai rencontré un rugbyman français. Super grand le mec. Trop beau, trop beau. Je suis rentrée chez moi à 9 heures du matin. À 9 heures ! Je te dois tout, tu m’as encouragée à ne pas rester ici avec… (la plaignante mentionne sa fille) chez moi, toujours la même histoire. Quand je sors, j’en profite. Il m’a éclatée, il m’a éclatée. Il m’a explosée le mec. J’ai des marques sur le dos, la mâchoire". La plaignante mentionne notamment avoir des marques sur les fesses, un œil au beurre noir et qu’elle a "dû prendre un anti-inflammatoire parce qu’il m’a explosée" tout en décrivant "le mec (Hugo Auradou) super amoureux mais quand il b*sait… Une b*** géante. Énorme le brun. Magnifique. Des yeux…".
Sources : https://www.rugbyrama.fr/2024/08/10/affaire-jegou-auradou-il-ma-explosee-les-messages-vocaux-de-la-plaignante-a-une-amie-devoiles-des-images-de-lascenseur-aussi-divulguees-12135045.php
https://actu.fr/sports/rugby/pro/affaire-jegou-auradou-ce-que-disent-les-messages-audios-de-la-plaignante-apres-sa-nuit-avec-les-joueurs_61467745.html
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