C'est marrant, tout part d'une simple différence : le faible taux de sérotonine du cerveau chez l'autiste. C'est ce qui le rend vulnérable à l'épilepsie, c'est ce qui complexifie son rapport à la nourriture et aux autres. Si on augmente la sérotonine chez un autiste, son rapport au monde change. Mais cette différence, qui marque son désintérêt pour les autres et le monde matériel, rend très attractives les idées, qui sont ainsi une source de plaisir bien plus fort. C'est facile pour un autiste de ne pas jalouser son voisin... De privilégier ses convictions par rapport à son confort. Il n'y a dans ce ressenti même pas de débat à avoir