« CÉLESTIN ! RAMÈNE ton CUL ! »

Chapitre 1 :

- Toi là ! Ramène ton cul et monte dans ce putain de bus.

- J-j'arrive.

- Vaudrait mieux...

• Vous exécutez l'ordre de ce gardien à la carrure imposante et commencez à vous approcher du bus pénitentiaire qui se trouve à quelques mètres de vous. En montant à bord, vous remarquez une multitude de regards perçants se poser sur vous : les prochaines minutes risquent d'être longues...

- Dépêche-toi de t'assoir, on est déjà en retard lô !

- T-tout de suite.

- Merde, où est-ce que je pourrais me mettre ?

• Vous balayez du regard l'intérieur du bus mais vous voyez une uniquement des détenus aux visages froids. Certains vous fixent avec une hostilité à peine voilée, d'autres semblent complètement indifférents. Finalement, vous apercevez un siège libre à côté d'un homme qui a l'air peu accueillant...

- J-je peux m'assoir ici ?

- Ça doit être ça, bouge maintenant.

- D-désolé.

- ...

- ...

- Putain ! Qu'est-ce que tu fais encore debout, toi ?

- ...

• Votre sang se glace, votre peau pâlit : vous avez peur, peur de ce qui pourrait arriver si vous ne trouvez pas une solution et vite. Vous entendez le gardien se rapprocher dangereusement dans votre dos en raison du bruit de ferraille qui émane du bus à chacun de ses pas lourds et décidés...

Choix :

A) S'assoir rapidement à côté de l'homme peu accueillant malgré son premier refus.

B) Annoncer au gardien que l'homme peu accueillant refuse que vous vous asseyez.

C) Faire mine de n'avoir rien entendu, quitte à prendre le risque de passer un sale quart d'heure.

Le 02 août 2024 à 14:27:41 :
A)

Merci du vote khey

Le 02 août 2024 à 14:33:40 :
A)

Comptabilisé

Le 02 août 2024 à 14:41:05 :
A + lui lâcher une grosse caisse à la gueule pour montrer qui est la patron

Ahi merci du vote khey, mais pas sûr qu'il appréciera

Le 02 août 2024 à 14:45:38 :
Je commence à écrire la sweet

On a hâte kheyou, mais prends ton temps. Qualité > quantité.

Je reposte le chapitre au propre, j'ai corrigé certaines choses.

Chapitre 2 :

• Vous n'avez plus une seconde à perdre : vous vous asseyez rapidement sur la plaque de métal froid qui sert de siège. Suite à ça, vous voyez l'homme peu accueillant qui est maintenant votre voisin vous lancer un regard noir tandis que le gardien continue de s'approcher...

- ...

- T'as du pot mon salaud...

- ...

- Gérard ! Tu peux y aller !

- Nom de diou, c'était pas trop tôt !

• C'est ainsi que le bus démarre sous un épais nuage de fumée et une forte odeur d'essence pour se rendre dans un endroit que certains appellent « l'enfer ». Il reste encore du trajet, mais pour passer le temps, vous décidez de revenir sur ce qui vient de se passer...

- J-je suis désolé... je voulais p-

- Plus un mot.

- ...

- Si je te recroise là-bas, t'es un homme mort.

- ...

• Quel houleux échange ! Vous venez de vous faire un ennemi alors que vous n'êtes même pas encore arrivé. Étonnamment, le reste du trajet fut bien silencieux hormis quelques râleries du chauffeur qui, après une trentaine de minutes, s'arrêta devant un sinistre portail laissant une vue sur la prison...

- Bon, écoutez-moi bien bande de tocards : vous allez tous descendre un par un et quand je le dirai.

- Et magnez-vous !

- C'était pas la peine d'en rajouter, Gérard.

• Vous descendez vous et les autres détenus par la porte principale. Une fois au sol, le portail de la prison se referma sous un grincement qui vous a donné froid dans le dos : vous êtes définitivement condamné à rester dans cette prison morose et sanguinaire jusqu'à la fin de vos jours...

- Allez, dépêchez-vous ! Maintenant, vous allez suivre mon collègue qui est juste ici.

- Alors, comment sont-ils cette fois ?

- Ça dép-

- Niquel. Allez, maintenant suivez-moi et sans discuter !

- ...

- Encore plus mignons que les derniers, regardez-moi ça !

- Salut mes jolies !

- Approchez, approchez...

- Ne faites pas attention à eux.

• La présence de ce long et bruyant grillage tout au long du chemin ne vous a pas franchement rassuré. Au bout d'une vingtaine de mètres, le gardien s'arrêta brusquement devant un grand hall avec plusieurs longs couloirs de chaque côté...

- Bon, je vais faire l'appel. Dès que vous entendez votre nom de famille, vous allez vous mettre derrière mon collègue qui est juste ici.

- ...

- Euh... Claude ? C'est toi qui a la liste ?

- Non, c'est toi qui doit l'avoir.

- ...

- Ah oui, effectivement.

- Donc euh... commençons : Moreau !

- Là.

- Qui t'as donné la permission de l'ouvrir ?

- P-personne.

- Ça commence bien ma parole !

- Ramène-toi et attends ici, Moreau.

- Reprenons : Chancla !

- ...

- Chancla ?!

- J-j'arrive !

- Eh bah putain, faudra être plus réactif à l'avenir, mon con !

- Allez, mets-toi derrière l'autre.

- Mansouri !

- ...

• Une fois l'appel terminé, l'autre gardien vous amena vous, ainsi que le reste des nouveaux détenus, dans une grande salle aux murs gris et froids. Une fois au fond de cette dernière, le gardien commença à répartir les nouveaux prisonniers dans les différentes cellules encore libres.

- Moreau ! Avec Saïdi !

- Bienvenue, « Moreau ».

- Yo, ma couille.

- ...

- Chancla ! Avec... euh...

- ...

- Tiens, tu sais quoi : choisis. Je t'aime bien.

• Vous avez de la chance, vous avez l'occasion de choisir votre compagnon de cellule. Maintenant, il faut faire le bon choix...

Choix :

A) Il était dans le bus avec les vous et les autres, c'est un nouveau : Barbosa

B) Vous reconnaissez ce visage, il était déjà présent dans la cour lors de votre arrivée : Grigoryan