Vos OCCASIONS MANQUEES avec les FILLES

Je ne suis plus puceau mais à postériori je me rends compte que j'aurais pu baiser davantage

Au lycée, réputation de mec solitaire, une fille que je ne connais pas viens m'aborder en me demandant et ricanant "tu as une copine" étant à l'époque un gros associable je l'ai envoyer paître bien méchamment croyant qu'elle se foutait de ma gueule.

En première année de médecine A***** me filmait discrètement dans le tram, quand je l'ai grillée elle a reculé instinctivement son téléphone puis ma aborder à la sortie du tram, on prenait le même arrêt. On discutait je n'ai pas été foutu de discuter autre chose que des études. Aïe elle me lançait des yeux langoureux dans l'amphithéâtre, la voie était toute tracée je n'avait qu'à sortir l'instrument.

Deuxième année de médecine, en plein week end d'inté je me fais sauter dessus par N****, calins bise. Regard langoureux dans l'amphithé^^atre au cours d'endocrino.
mais j'ai refusé parce qu'elle avait déjà un mec, avec qui je m'entendais plutôt bien (depuis il me regardait quand même bizarrement)

Encore en médecine, une belle blonde inconnue qui me tape la bise et me salue sans que je porte le moindre intérêt pour elle. des yeux de merlans frit bleu comme l'azur, une silhouette fine ponctuée de petits seins. Comme un gros asocial je l'ai repoussée en me foutant de sa gueule

R******* qui me mettait des mains aux fesses en soirée médecine et qui a tenté de m'embrasser 1 fois au cours de cette même soirée. Me dit qu'elle admirait mon intelligence pour avoir pris une spécialité difficile et stimulante intellectuellement
Je ne sais pas comment j'ai fais pour me débrouiller

Dans le service d'infectio: une infirmière C**** qui me mettait la main sur l'épaule me taquinait, j'avais un jour mis un débardeur avec décolleté, son regard voulait tout dire