Les algériens qui ont jeter des fleurs, les français ces cucks

Le 27 juillet 2024 à 07:35:52 :
Massacre imaginaire

« La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.

Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.

En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole.

Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.

Or, cette version des évènements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation.

Cette manipulation fut réduite à néant en 1998, quand le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission d’enquête. Présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern, elle fut chargée de faire la lumière sur ce qui s’était réellement passé le 17 octobre 1961 à Paris. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière de la légende du prétendu « massacre » du 17 octobre 1961.

Le paragraphe 2.3.5 du Rapport intitulé « Les victimes des manifestations » est particulièrement éloquent car il parle de sept morts, tout en précisant qu’il n’y eut qu’un mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet évènement, ou ayant perdu la vie postérieurement à la dite manifestation dans des circonstances parfaitement détaillées dans le rapport.

Quel est donc l’état des connaissances aujourd’hui ?

• Le 17 octobre 1961 à Paris, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation… et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ? L’enquête semble attribuer cette mort à des coups de crosse de mousqueton.

• Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant « massacre » faisant des dizaines, voire des centaines de morts algériens, ni les hôpitaux parisiens, ni l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’enregistrèrent l’entrée de corps de « NA » (Nord-Africain dans la terminologie de l’époque). Ce qui ne veut naturellement pas dire qu’il n’y eut pas de blessés, mais mon analyse ne porte que sur les morts.

• A Puteaux, donc loin du périmètre de la manifestation, deux morts furent néanmoins relevés, or ils étaient étrangers à la manifestation. L’un d’entre eux deux, Abdelkader Déroues avait été tué par balle, quand le second, Lamara Achenoune, avait quant à lui été achevé par balle après avoir été étranglé.

• Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne était donc de 3 morts, pour rappel, Guy Chevallier, Abdelkader Déroues et Lamara Achenoune. Nous sommes donc loin des dizaines ou des centaines de morts et de « noyés » auxquels la bien-pensance française rend annuellement hommage.

Conclusion : le seul mort algérien de la manifestation est donc un Français métropolitain. »

https://www.secoursdefrance.com/il-faut-deconstruire-la-fable-du-17-octobre-1961/

Si un site de pecnots d'extrême droite le dit, ca doit être vrai c'est un hoax

Bordel ce topic entre les déchets racistes et les algériens y en a pas un pour rattraper l'autre.

En tout cas je note que le commentaire qui revient le plus, c'est "ni oubli ni pardon"

-

ils nous détestent

Le 27 juillet 2024 à 07:39:30 :
En tout cas je note que le commentaire qui revient le plus, c'est "ni oubli ni pardon"

-

ils nous détestent

Chaud

Dans la tête du leftoid français, c'est normal

Le 27 juillet 2024 à 07:39:30 :
En tout cas je note que le commentaire qui revient le plus, c'est "ni oubli ni pardon"

-

ils nous détestent

Vous faites bien la même pour vos morts non ???

Pourquoi eux n'auraient ils pas le droit ? Je comprends pas, explique moi

Le 27 juillet 2024 à 07:39:30 :
En tout cas je note que le commentaire qui revient le plus, c'est "ni oubli ni pardon"

-

ils nous détestent

Mael,sagha,rosa,rosalina...

Le 27 juillet 2024 à 07:35:52 :
Massacre imaginaire

« La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.

Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.

En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole.

Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.

Or, cette version des évènements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation.

Cette manipulation fut réduite à néant en 1998, quand le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission d’enquête. Présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern, elle fut chargée de faire la lumière sur ce qui s’était réellement passé le 17 octobre 1961 à Paris. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière de la légende du prétendu « massacre » du 17 octobre 1961.

Le paragraphe 2.3.5 du Rapport intitulé « Les victimes des manifestations » est particulièrement éloquent car il parle de sept morts, tout en précisant qu’il n’y eut qu’un mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet évènement, ou ayant perdu la vie postérieurement à la dite manifestation dans des circonstances parfaitement détaillées dans le rapport.

Quel est donc l’état des connaissances aujourd’hui ?

• Le 17 octobre 1961 à Paris, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation… et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ? L’enquête semble attribuer cette mort à des coups de crosse de mousqueton.

• Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant « massacre » faisant des dizaines, voire des centaines de morts algériens, ni les hôpitaux parisiens, ni l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’enregistrèrent l’entrée de corps de « NA » (Nord-Africain dans la terminologie de l’époque). Ce qui ne veut naturellement pas dire qu’il n’y eut pas de blessés, mais mon analyse ne porte que sur les morts.

• A Puteaux, donc loin du périmètre de la manifestation, deux morts furent néanmoins relevés, or ils étaient étrangers à la manifestation. L’un d’entre eux deux, Abdelkader Déroues avait été tué par balle, quand le second, Lamara Achenoune, avait quant à lui été achevé par balle après avoir été étranglé.

• Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne était donc de 3 morts, pour rappel, Guy Chevallier, Abdelkader Déroues et Lamara Achenoune. Nous sommes donc loin des dizaines ou des centaines de morts et de « noyés » auxquels la bien-pensance française rend annuellement hommage.

Conclusion : le seul mort algérien de la manifestation est donc un Français métropolitain. »

https://www.secoursdefrance.com/il-faut-deconstruire-la-fable-du-17-octobre-1961/

Si ton pavé d'extrême droite le dit, donc c'est vrai.

Et puis bon, c'est un pavé donc forcément vrai

Le 27 juillet 2024 à 07:41:12 :

Le 27 juillet 2024 à 07:39:30 :
En tout cas je note que le commentaire qui revient le plus, c'est "ni oubli ni pardon"

-

ils nous détestent

Vous faites bien la même pour vos morts non ???

Pourquoi eux n'auraient ils pas le droit ? Je comprends pas, explique moi

T'as déjà vu un Français dire à un allemand "ni oubli ni pardon pour Verdun 1916 le bosch wallasaucisson" ?

T'es limité ou tu fais exprès ?

Le 27 juillet 2024 à 07:42:19 :

Le 27 juillet 2024 à 07:35:52 :
Massacre imaginaire

« La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.

Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.

En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole.

Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.

Or, cette version des évènements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation.

Cette manipulation fut réduite à néant en 1998, quand le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission d’enquête. Présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern, elle fut chargée de faire la lumière sur ce qui s’était réellement passé le 17 octobre 1961 à Paris. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière de la légende du prétendu « massacre » du 17 octobre 1961.

Le paragraphe 2.3.5 du Rapport intitulé « Les victimes des manifestations » est particulièrement éloquent car il parle de sept morts, tout en précisant qu’il n’y eut qu’un mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet évènement, ou ayant perdu la vie postérieurement à la dite manifestation dans des circonstances parfaitement détaillées dans le rapport.

Quel est donc l’état des connaissances aujourd’hui ?

• Le 17 octobre 1961 à Paris, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation… et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ? L’enquête semble attribuer cette mort à des coups de crosse de mousqueton.

• Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant « massacre » faisant des dizaines, voire des centaines de morts algériens, ni les hôpitaux parisiens, ni l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’enregistrèrent l’entrée de corps de « NA » (Nord-Africain dans la terminologie de l’époque). Ce qui ne veut naturellement pas dire qu’il n’y eut pas de blessés, mais mon analyse ne porte que sur les morts.

• A Puteaux, donc loin du périmètre de la manifestation, deux morts furent néanmoins relevés, or ils étaient étrangers à la manifestation. L’un d’entre eux deux, Abdelkader Déroues avait été tué par balle, quand le second, Lamara Achenoune, avait quant à lui été achevé par balle après avoir été étranglé.

• Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne était donc de 3 morts, pour rappel, Guy Chevallier, Abdelkader Déroues et Lamara Achenoune. Nous sommes donc loin des dizaines ou des centaines de morts et de « noyés » auxquels la bien-pensance française rend annuellement hommage.

Conclusion : le seul mort algérien de la manifestation est donc un Français métropolitain. »

https://www.secoursdefrance.com/il-faut-deconstruire-la-fable-du-17-octobre-1961/

Si ton pavé d'extrême droite le dit, donc c'est vrai.

Et puis bon, c'est un pavé donc forcément vrai

Les résultats de la consanguinité en un post.

Le 27 juillet 2024 à 07:39:01 :

Le 27 juillet 2024 à 07:35:52 :
Massacre imaginaire

« La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.

Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.

En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole.

Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.

Or, cette version des évènements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation.

Cette manipulation fut réduite à néant en 1998, quand le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission d’enquête. Présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern, elle fut chargée de faire la lumière sur ce qui s’était réellement passé le 17 octobre 1961 à Paris. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière de la légende du prétendu « massacre » du 17 octobre 1961.

Le paragraphe 2.3.5 du Rapport intitulé « Les victimes des manifestations » est particulièrement éloquent car il parle de sept morts, tout en précisant qu’il n’y eut qu’un mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet évènement, ou ayant perdu la vie postérieurement à la dite manifestation dans des circonstances parfaitement détaillées dans le rapport.

Quel est donc l’état des connaissances aujourd’hui ?

• Le 17 octobre 1961 à Paris, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation… et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ? L’enquête semble attribuer cette mort à des coups de crosse de mousqueton.

• Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant « massacre » faisant des dizaines, voire des centaines de morts algériens, ni les hôpitaux parisiens, ni l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’enregistrèrent l’entrée de corps de « NA » (Nord-Africain dans la terminologie de l’époque). Ce qui ne veut naturellement pas dire qu’il n’y eut pas de blessés, mais mon analyse ne porte que sur les morts.

• A Puteaux, donc loin du périmètre de la manifestation, deux morts furent néanmoins relevés, or ils étaient étrangers à la manifestation. L’un d’entre eux deux, Abdelkader Déroues avait été tué par balle, quand le second, Lamara Achenoune, avait quant à lui été achevé par balle après avoir été étranglé.

• Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne était donc de 3 morts, pour rappel, Guy Chevallier, Abdelkader Déroues et Lamara Achenoune. Nous sommes donc loin des dizaines ou des centaines de morts et de « noyés » auxquels la bien-pensance française rend annuellement hommage.

Conclusion : le seul mort algérien de la manifestation est donc un Français métropolitain. »

https://www.secoursdefrance.com/il-faut-deconstruire-la-fable-du-17-octobre-1961/

Si un site de pecnots d'extrême droite le dit, ca doit être vrai c'est un hoax J'ai rien à dire

Bordel ce topic entre les déchets racistes et les algériens y en a pas un pour rattraper l'autre. mais par contre t'es un RACISTE

Cette boucle infame

Wesh les pdo remplacé sont encore en train de parler de l'Algérie ?

Chaud bordel 🤣

Heuruesment que vous existez que sur internet 🤣

Le 27 juillet 2024 à 07:43:58 :

Le 27 juillet 2024 à 07:41:12 :

Le 27 juillet 2024 à 07:39:30 :
En tout cas je note que le commentaire qui revient le plus, c'est "ni oubli ni pardon"

-

ils nous détestent

Vous faites bien la même pour vos morts non ???

Pourquoi eux n'auraient ils pas le droit ? Je comprends pas, explique moi

T'as déjà vu un Français dire à un allemand "ni oubli ni pardon pour Verdun 1916 le bosch wallasaucisson" ?

T'es limité ou tu fais exprès ?

Les allemands qui ont laissé comme patrimoine aux fr la SCATOPHILIE 💩

https://youtu.be/inUkMD_6H7Y?si=jFv69V_zCBeWN9kH

Le 27 juillet 2024 à 07:44:39 :
Wesh les pdo remplacé sont encore en train de parler de l'Algérie ?

Chaud bordel 🤣

Heuruesment que vous existez que sur internet 🤣

C'est ton secondaire, on ne l'as fait pas à nous, c'est ridicule.

Le 27 juillet 2024 à 07:44:05 :

Le 27 juillet 2024 à 07:42:19 :

Le 27 juillet 2024 à 07:35:52 :
Massacre imaginaire

« La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.

Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.

En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole.

Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.

Or, cette version des évènements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation.

Cette manipulation fut réduite à néant en 1998, quand le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission d’enquête. Présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern, elle fut chargée de faire la lumière sur ce qui s’était réellement passé le 17 octobre 1961 à Paris. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière de la légende du prétendu « massacre » du 17 octobre 1961.

Le paragraphe 2.3.5 du Rapport intitulé « Les victimes des manifestations » est particulièrement éloquent car il parle de sept morts, tout en précisant qu’il n’y eut qu’un mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet évènement, ou ayant perdu la vie postérieurement à la dite manifestation dans des circonstances parfaitement détaillées dans le rapport.

Quel est donc l’état des connaissances aujourd’hui ?

• Le 17 octobre 1961 à Paris, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation… et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ? L’enquête semble attribuer cette mort à des coups de crosse de mousqueton.

• Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant « massacre » faisant des dizaines, voire des centaines de morts algériens, ni les hôpitaux parisiens, ni l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’enregistrèrent l’entrée de corps de « NA » (Nord-Africain dans la terminologie de l’époque). Ce qui ne veut naturellement pas dire qu’il n’y eut pas de blessés, mais mon analyse ne porte que sur les morts.

• A Puteaux, donc loin du périmètre de la manifestation, deux morts furent néanmoins relevés, or ils étaient étrangers à la manifestation. L’un d’entre eux deux, Abdelkader Déroues avait été tué par balle, quand le second, Lamara Achenoune, avait quant à lui été achevé par balle après avoir été étranglé.

• Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne était donc de 3 morts, pour rappel, Guy Chevallier, Abdelkader Déroues et Lamara Achenoune. Nous sommes donc loin des dizaines ou des centaines de morts et de « noyés » auxquels la bien-pensance française rend annuellement hommage.

Conclusion : le seul mort algérien de la manifestation est donc un Français métropolitain. »

https://www.secoursdefrance.com/il-faut-deconstruire-la-fable-du-17-octobre-1961/

Si ton pavé d'extrême droite le dit, donc c'est vrai.

Et puis bon, c'est un pavé donc forcément vrai

Les résultats de la consanguinité en un post.

Les résultats de la débilité par contre c'est de croire n'importe quel chiasse que tu vois sur internet.

Le 27 juillet 2024 à 07:46:08 :

Le 27 juillet 2024 à 07:44:39 :
Wesh les pdo remplacé sont encore en train de parler de l'Algérie ?

Chaud bordel 🤣

Heuruesment que vous existez que sur internet 🤣

C'est ton secondaire, on ne l'as fait pas à nous, c'est ridicule.

Ok le pdo scato culturel lol

Le 27 juillet 2024 à 07:45:44 :

Le 27 juillet 2024 à 07:43:58 :

Le 27 juillet 2024 à 07:41:12 :

Le 27 juillet 2024 à 07:39:30 :
En tout cas je note que le commentaire qui revient le plus, c'est "ni oubli ni pardon"

-

ils nous détestent

Vous faites bien la même pour vos morts non ???

Pourquoi eux n'auraient ils pas le droit ? Je comprends pas, explique moi

T'as déjà vu un Français dire à un allemand "ni oubli ni pardon pour Verdun 1916 le bosch wallasaucisson" ?

T'es limité ou tu fais exprès ?

Les allemands qui ont laissé comme patrimoine aux fr la SCATOPHILIE 💩

https://youtu.be/inUkMD_6H7Y?si=jFv69V_zCBeWN9kH

Le malaise bordel, bon allez je me casse de ce topic de limités.

Le 27 juillet 2024 à 07:46:36 :

Le 27 juillet 2024 à 07:46:08 :

Le 27 juillet 2024 à 07:44:39 :
Wesh les pdo remplacé sont encore en train de parler de l'Algérie ?

Chaud bordel 🤣

Heuruesment que vous existez que sur internet 🤣

C'est ton secondaire, on ne l'as fait pas à nous, c'est ridicule.

Ok le pdo scato culturel lol

Dayouth.

Le 27 juillet 2024 à 07:46:08 :

Le 27 juillet 2024 à 07:44:39 :
Wesh les pdo remplacé sont encore en train de parler de l'Algérie ?

Chaud bordel 🤣

Heuruesment que vous existez que sur internet 🤣

C'est ton secondaire, on ne l'as fait pas à nous, c'est ridicule.

Vous êtes numéros de la pdo criminalité et des viols inceste François, et tu nous parles de Consanguinité avec comme source une carte colorié avec paint ? Lol

Continue de raser les murs IRL ça te va mieux

Lelandais
Fourniret
Daval
Bruno Atal
Eipstein
Polansky
Le roue à trotinettes(surnommé "le 3 roues" )
Jubillar
Sauvage
Émile louis
Quesada
Les frères broyé
Lucien
Le grêle
Sandra Lozzi
Mitterand
Francis le dépeceur de la gare de perpignan
Palmade
Xavier Dupont de ligonnes
BHL
DSK
Bendit
Jacques langue
De la Haye
Pierre Ménès
Patrick Poivre d'Arvor
Luca
Romain
Anthony
Yannick Agniel
Cauet
Morandini
Theo Hernandez
Louvin
De la Haye
Les églises
L'affaire Grégory
L'affaire de la p'tite Estelle
L'affaire du petit Émile
Patrice Alègre
Pierre Chanal
Thierry Paulin
Marcel Petiot
Henri-Désiré
Landru

Rajoutes aussi vos deux rugby man... Je peux pas tout mettre

Le ratio de zinzin...

Le 27 juillet 2024 à 07:37:34 :

Le 27 juillet 2024 à 07:30:37 :

Le 27 juillet 2024 à 07:27:33 :

Le 27 juillet 2024 à 07:25:43 :

Le 27 juillet 2024 à 07:20:40 :

> Le 27 juillet 2024 à 07:15:38 :

>> Le 27 juillet 2024 à 07:10:13 :

> >> Le 27 juillet 2024 à 07:07:50 :

> > >Bizarrement on a pas vu ce genre de spectacle pathétique avec le bateau vietnamien, ni celui du Cambodge ou du Laos

> >

> > Y a des manifestants viets qui ont été noyés dans la Seine ?

> >

> >

> > Autant je concois que ce soit malvenus mais vos arguments de merde là

>

> La seine c'est juste un pretexte, la guerre d'indépendance il y a 70 ans avec l'Indochine fut tout aussi violente.

Le truc c'est que l'Algérie vit de son délire de rivalité malsaine avec la France, et les présidents algériens n'hésite pas à se servir de l'ancien colons en feignant des embrouilles à la con pour occuper l'esprit de leur masse de golems au chômage et dans la pauvreté.

Pour que la France et l'Algérie fasse la paix je pense vraiment qu'il faut une transformation dans la société algérienne parce que c'est pas prêt d'arriver.

Bullshit total.
Tu es Francais ? Si tu voyages en Algérie et que tu leur dit que tu es francais, l'immense majorité des gens t'acceuilleras comme n'importe quelle autre nationalité (excepté peut etre un Israélien), c-à-d qu'ils seront hospitalier avec toi.
Si tu es un connard, tu seras traité comme un connard, mais ta nationalité francaise n'aurait rien à voir avec cela.

Le mec qui découvre que les maghrébins sont les rois de l'hospitalité, félicitations.

Ca ne les empêche pas de détester la France derrière.

C'est faux. Il y a plus d'animosité entre un Polonais et un Russe, qu'entre un algérien et un français.

Ca se voit t'as jamais parlé avec un algérien qui déteste la France toi.

Y a une immense diaspora algérienne en France et regarde où en sont les relations entre les deux pays. Même avec Macron qui a tapiné en disant que la colonisation c'était un crime contre l'humanité y a toujours autant de ressentiment.

C'est absolument terrible comme situation.

Un algérien de France, n'a pas grand chose à voir avec un algérien d'Algérie. Je suis algérien d'Algérie.
Ils n'ont fait que balancé des putains de Fleurs, ça s’arrête là. Les pleurnicheurs, je les vois sur le forum.

Tu penses que ca va se passer comment entre les Ukrainiens et Russes après cette guerre ? Tu crois que ca se passe comment entre les serbes et albanais ? Ou entre les Chinois et Japonais.

Chacun entretient sa mémoire historique comme il l'entend. La guerre d'Algérie c'est entre 400 000 et 1 500 000, surtout des civils, plus que la France durant la 2nd GM.