Quel est votre rapport à la mort ?

1) Quel est votre rapport à la mort d'autrui ?
2) Quel est votre rapport à votre propre (future) mort ?

Est-ce que ça vous effraie ? Est-ce que vous y êtes préparé ?

Est-ce que ça vous effraie ?

Non, du tout

Est-ce que vous y êtes préparé ?

Oui, je suis satisfait de la vie que j'ai vécu, je n'ai pas beaucoup de regrets, je pourrais mourir demain sans problèmes

La vie existe après la mort.

Si tu meurt en ayant fait que du bien, il y'a pas de quoi avoir peur.

Le 21 juillet 2024 à 03:50:11 :

Est-ce que ça vous effraie ?

Non, du tout

Est-ce que vous y êtes préparé ?

Oui, je suis satisfait de la vie que j'ai vécu, je n'ai pas beaucoup de regrets, je pourrais mourir demain sans problèmes

Je pense que tu ne réponds qu'au point 2).

Est-ce que ces réponses sont également valable pour le point numéro 1) ?

Rien de bien surprenant en ce qui me concerne mais mon rapport à la mort d'autrui est directement liée à l'attache émotionnelle que j'ai pour cette personne.

La mort potentielle de mes amis proches me terrifie. La mort de ceux pour qui je n'ai pas d'attache ne m'affecte que très peu, je pense que j'ai une empathie variable selon le côté juste ou injuste de la mort.

En ce qui concerne ma propre mort, elle ne me terrifie pas réellement, c'est plutôt l'impact qu'elle pourrait avoir qui me crispe. Je ne souhaite faire souffrir aucun de mes quelques proches.

J'ai peur de l'enfer. J'ai grandi dans une famille religieuse avec le bourinnage habituel de tête "si tu fais si tu vas aller en enfer"

Je suis agnostique. Mais ça reste toujours dans un coin de ma tête que c'est éventuellement possible

Bref, religions de merde

La mort en elle même pas vraiment

mais la souffrance avant et pendant la mort, puis se dire que le monde continuera de tourner pendant des siècles et on pourra pas savoir ce qu'il se passera c'est frustrant

d'ailleurs le mec le plus influent de l'histoire de l'informatique dans les années 1800, disait qu'il pourrait sacrifier des décennies d'existence juste pour savoir ce qu'il se passera dans 100 ans et plus.

La mort d'autrui. Au début ça me faisait extrêmement mal quand ça arrivait. Mais avec le temps je me sens presque anesthésié

Le rapport que j'ai avec la dite personne joue forcément beaucoup

Le 21 juillet 2024 à 03:49:14 :
1) Quel est votre rapport à la mort d'autrui ?
2) Quel est votre rapport à votre propre (future) mort ?

Est-ce que ça vous effraie ? Est-ce que vous y êtes préparé ?

On naît poussiére et on meurt poussiére, nous sommes constitué de poussière d'étoile je le rappelle.

Pour ceux qui auraient une vie pas folle, c'est que votre destinée n'est pas encore là, dés fois il faut du temps, beaucoup de temps.

Sur ce, a demain

La mort des autres je m'en fou complet j'ai du mal à faire semblant d'être toucher quand on m'apprends un décès

Sinon je pense que la mort n'est qu'une étape j'ai pas peur de mourir mais je souhaiterais réaliser quelques projets avant

Le 21 juillet 2024 à 03:49:14 :
1) Quel est votre rapport à la mort d'autrui ?

Assez neutre quand c'est des inconnus, et assez terrible quand ça touche un de mes proches (pour l'instant j'ai perdu que des animaux de compagnie, j'ose meme pas imaginer mon état quand mes proches genre parents/frere/soeur partirons

2) Quel est votre rapport à votre propre (future) mort ?

Parfois je suis complètement nonchalant sur ça, parfois (surtout dans les périodes de stress ça me fout une sorte de vertige d'imaginer/d'essayer de conceptualiser le rien

Est-ce que ça vous effraie ? Est-ce que vous y êtes préparé ?

Comme dit précédemment la plupart du temps non, mais ça m'arrive de stresser par rapport a ça, mais bon c'est inéluctable de toute façon, et vivre éternellement est une option peut être tout aussi flippante

Et parfois ça me donne un coté nihiliste, du genre a quoi bon construire des trucs/m'investir dans des projet sachant que ça sert plus ou moins a rien

Le 21 juillet 2024 à 04:06:12 :
Est-ce que vous avez déjà souhaité la mort de quelqu'un ?

Seulement sur le coup de la colère. Avec du recul, je souhaite toujours du bien même à mes ennemis. Je veux juste qu'ils se remettent en question à la limite. Et surtout qu'ils arrêtent de me faire chier

Le 21 juillet 2024 à 04:06:45 :

Le 21 juillet 2024 à 03:49:14 :
1) Quel est votre rapport à la mort d'autrui ?

Assez neutre quand c'est des inconnus, et assez terrible quand ça touche un de mes proches (pour l'instant j'ai perdu que des animaux de compagnie, j'ose meme pas imaginer mon état quand mes proches genre parents/frere/soeur partirons

2) Quel est votre rapport à votre propre (future) mort ?

Parfois je suis complètement nonchalant sur ça, parfois (surtout dans les périodes de stress ça me fout une sorte de vertige d'imaginer/d'essayer de conceptualiser le rien

Est-ce que ça vous effraie ? Est-ce que vous y êtes préparé ?

Comme dit précédemment la plupart du temps non, mais ça m'arrive de stresser par rapport a ça, mais bon c'est inéluctable de toute façon, et vivre éternellement est une option peut être tout aussi flippante

Et parfois ça me donne un coté nihiliste, du genre a quoi bon construire des trucs/m'investir dans des projet sachant que ça sert plus ou moins a rien

Il y a deux nihilisme, le nihilisme passif, amenant à cette perte de volonté, et le nihilisme actif, qui permet de reconcevoir tes croyances et tes valeurs afin d'aller de l'avant une fois que tu as accepté cette perte de sens.

Nietzsche voit dans le nihilisme actif une forme d'optimisme. Plutôt que de se lamenter sur la perte des anciennes valeurs, il considère ce vide comme une opportunité de créer de nouvelles valeurs personnelles. En embrassant le nihilisme actif, tu peux transformer le désespoir en une force créatrice, redéfinissant ta propre vie avec des significations que tu choisis toi-même. C’est un appel à la renaissance et à l’épanouissement personnel par la construction de ton propre système de valeurs.

Et les décès dans son entourage ça aide pas beaucoup clairement

beaucoup crachent sur les nihilistes et ceux qui voient plus vraiment de sens à la vie, mais quand t'as bcp de décès ça peut te changer, même si t'es quelqu'un de joyeux enthousiaste à la base.

Le 21 juillet 2024 à 04:01:24 :
La mort en elle même pas vraiment

mais la souffrance avant et pendant la mort, puis se dire que le monde continuera de tourner pendant des siècles et on pourra pas savoir ce qu'il se passera c'est frustrant

d'ailleurs le mec le plus influent de l'histoire de l'informatique dans les années 1800, disait qu'il pourrait sacrifier des décennies d'existence juste pour savoir ce qu'il se passera dans 100 ans et plus.

Dès fois je me dis ce qu'on appelle la mort c'est juste une spéculation ou une transition vers quelque chose qui est la " non vie". Finalement la mort n'est peut être pas si effrayante quand on sait qu'elle résulterait juste à une forme de néant existentiel.
Et comme tu dis elle nous terrifie quand on l'imagine être comme notre vie, avec nos aspirations et nos regrets, peut être même à travers son agonie, ce qui est fatalement la manière la plus intuitive de la concevoir.