Suspension de 6 jours d’une salariée pour agression sexuelle sur JvArchive forum 18-25

Anaïs est assise en face de son cavalier, Maxime, un collègue dont elle se sent proche. Soudain, la jeune étudiante se raidit : « M. est arrivée derrière moi, nous raconte-t-elle, assise dans le bureau de son avocat. Elle a posé ses mains sur ma poitrine, puis elle m’a touché le ventre, tout le haut du corps. C’était pas seulement effleurer, elle me touchait avec insistance, j’étais choquée. » Maxime, témoin de la scène, tente d’intervenir en plaisantant. « Attention, chasse gardée ! » lance-t-il à M., qui lui aurait rétorqué, selon Anaïs : « Moi j’ai le droit, je suis lesbienne. »

Mon dieu quel horreur :ouch:

moustique-co

4 juillet 2024 à 07:23:06

Le jeune homme, entendu le 5 juillet 2023 dans le cadre d’une enquête interne, a confié sa gêne devant des représentants de la direction des ressources humaines : « J’ai vu le regard d’Anaïs vide, elle s’est figée. Ça m’a marqué. J’ai dit à M. de faire attention à son comportement. Elle a commencé à faire des réflexions sur Anaïs en disant “Sacrée poitrine”. Du coup, je l’ai ignorée. Je m’en veux, j’aurais peut-être dû réagir davantage. » Alors que la soirée se poursuit, la quinquagénaire revient vers l’étudiante, lui touche les cheveux, la complimente. Mal à l’aise, cette dernière finit par quitter la fête vers minuit. Sur le parking, elle reste 30 minutes assise dans sa voiture, sans bouger. « Je suis rentrée chez moi, et j’ai appelé une collègue pour lui raconter la scène. Le lendemain, j’ai aussi appelé Maxime. Il m’a dit que c’était une agression sexuelle. J’ai éclaté en sanglots. »

Son « mec » qui l’appelle le lendemain après avoir rager en se branlant d’avoir raté le plan à 3 du siècle s’ils avaient proposé à la milf de venir et que sa meuf et coincé :rire: