MEAUX: LYCEENNE de 15 ans kidnapée et violée en plein centre ville

INFO JDD. Une Ukrainienne de 15 ans violée par un Tunisien sous OQTF à Meaux

Un ressortissant tunisien de 27 ans a été interpellé par la police après avoir sexuellement agressé une Ukrainienne mineure sur le chemin retour de son lycée.

Il était déjà connu des services de police. Jeudi 27 juin à 15 h, une jeune fille de 15 ans, de nationalité ukrainienne, rentrait du lycée dans la ville de Meaux, en Seine-et-Marne. Soudain, un individu surgit dans son dos et l’empoigne violemment par le cou. Surprise, la jeune ukrainienne n’arrive pas à se défendre. « L’individu l’a emmené jusqu’à un appartement proche en mettant sa main sur sa bouche pour l’empêcher de crier », confesse une source policière au JDD.

L’agresseur, né en Tunisie et de nationalité tunisienne, déjà connu de la police et de la justice, également sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF) se met alors à lui porter des coups avant de la contraindre à des actes sexuels. Selon nos informations, l’individu a fait preuve de beaucoup de violence lors du viol.

Elle prend la fuite en volant le passeport de son violeur

Violentée et séquestrée, la jeune ressortissante ukrainienne de 15 ans se retrouve, pour un court laps de temps, seule dans l’appartement. Elle en profite pour prendre la fuite et pense, malgré le traumatisme qu’elle vient de subir, à s’emparer du passeport de son agresseur. Une fois en sécurité, la jeune fille a immédiatement été prise en charge par les secours, a appris le JDD d’une source policière. Le mis en cause a été interpellé à son domicile et placé en garde à vue. L’enquête a été confiée à la division de la criminalité territoriale (DCT).

Le 29 juin 2024 à 08:51:38 :
Il prendra 6 mois de sursis, circulez

Le 29 juin 2024 à 08:52:17 :
Elle a fuit son pays pour éviter ça justement

Oui mais c’est l’Afrance tu comprends c’est DIFFÉRENT

[08:55:17] <Macron-san>
La justice qui délivre des permis de violer

Il aura une petite tape sur le dos et un stage de réinsertion de 2 semaines, ait confiance en nos femmes juges