REVUE de POESIE

Le 05 juin 2024 à 17:49:40 :
L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

C'est noté merci
Et en revue ?

Le 05 juin 2024 à 17:51:06 :

Le 05 juin 2024 à 17:49:40 :
L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

C'est noté merci
Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Le 05 juin 2024 à 17:53:31 :

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Le 05 juin 2024 à 17:49:40 :
L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

C'est noté merci
Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Le 05 juin 2024 à 17:56:24 :
On peut écrire notre propre revue si tu le souhaites

Je suis trop mauvais
Tu vas devoir compenser chacun de mes exercices de style ça va pas être de tout repos

Le 05 juin 2024 à 17:54:59 :

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L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

C'est noté merci
Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Le 05 juin 2024 à 17:58:54 :

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L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

C'est noté merci
Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Chaud khey tu es séquestré dans la forme absolue de la détresse
La mort des arts est une prophétie auto réalisatrice

Le 05 juin 2024 à 17:58:54 :

Le 05 juin 2024 à 17:54:59 :

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L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

C'est noté merci
Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Et si on vit une guerre alors ?

Le 05 juin 2024 à 18:06:53 :

Le 05 juin 2024 à 17:58:54 :

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> Le 05 juin 2024 à 17:49:40 :

>L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

C'est noté merci
Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Et si on vit une guerre alors ?

Petite guerre civile pour réimbiber les racines du Poëme

Le 05 juin 2024 à 18:07:52 :

Le 05 juin 2024 à 18:06:53 :

Le 05 juin 2024 à 17:58:54 :

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>> Le 05 juin 2024 à 17:49:40 :

> >L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

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> C'est noté merci

> Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Et si on vit une guerre alors ?

Petite guerre civile pour réimbiber les racines du Poëme

Qu'est ce qu'on ne peut sacrifier à la poésie ?

Le 05 juin 2024 à 18:03:43 :

Le 05 juin 2024 à 17:58:54 :

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>L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

C'est noté merci
Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Chaud khey tu es séquestré dans la forme absolue de la détresse
La mort des arts est une prophétie auto réalisatrice

L'art trouve encore ses expressions les plus sublimes dans le feu et la mort, que vaut une cathédrale, bâtie à dos d'homme, à la force des siècles, devant son incendie spectaculaire, devant sa flèche brûlante écroulée sur son parvis, rien, la construction ne vaut sa beauté que par la destruction qu'elle permet, moi qui suis chasseur, moi qui ai tué, vraiment tué, des bêtes vivantes, je ne puis trouver de forme plus sublime que dans ses entrailles ravagées par mes plombs, par son agonie lente, par le couteau finalement enfoncé dans ses plaintes, et c'est pourquoi je ne crois pas l'art encore mort, pas tant qu'il y aura encore, quelque part, un être à détruire

Le 05 juin 2024 à 18:11:08 :

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> >L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

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> C'est noté merci

> Et en revue ?

Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Chaud khey tu es séquestré dans la forme absolue de la détresse
La mort des arts est une prophétie auto réalisatrice

L'art trouve encore ses expressions les plus sublimes dans le feu et la mort, que vaut une cathédrale, bâtie à dos d'homme, à la force des siècles, devant son incendie spectaculaire, devant sa flèche brûlante écroulée sur son parvis, rien, la construction ne vaut sa beauté que par la destruction qu'elle permet, moi qui suis chasseur, moi qui ai tué, vraiment tué, des bêtes vivantes, je ne puis trouver de forme plus sublime que dans ses entrailles ravagées par mes plombs, par son agonie lente, par le couteau finalement enfoncé dans ses plaintes, et c'est pourquoi je ne crois pas l'art encore mort, pas tant qu'il y aura encore, quelque part, un être à détruire

"La beauté c'est la mort"
Mais qui est l'artiste là dedans ?

Le 05 juin 2024 à 18:14:09 :

Le 05 juin 2024 à 18:11:08 :

Le 05 juin 2024 à 18:03:43 :

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> > >L'anthologie de la poésie française de Pompidou est à conseiller, très éclectique, qui donne sa part belle à des poètes plus méconnus, un peu confidentiels, de son siècle comme du précédent

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> > C'est noté merci

> > Et en revue ?

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> Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Chaud khey tu es séquestré dans la forme absolue de la détresse
La mort des arts est une prophétie auto réalisatrice

L'art trouve encore ses expressions les plus sublimes dans le feu et la mort, que vaut une cathédrale, bâtie à dos d'homme, à la force des siècles, devant son incendie spectaculaire, devant sa flèche brûlante écroulée sur son parvis, rien, la construction ne vaut sa beauté que par la destruction qu'elle permet, moi qui suis chasseur, moi qui ai tué, vraiment tué, des bêtes vivantes, je ne puis trouver de forme plus sublime que dans ses entrailles ravagées par mes plombs, par son agonie lente, par le couteau finalement enfoncé dans ses plaintes, et c'est pourquoi je ne crois pas l'art encore mort, pas tant qu'il y aura encore, quelque part, un être à détruire

"La beauté c'est la mort"
Mais qui est l'artiste là dedans ?

Dieu et son outil, son renfort, nos mains, qui permettent les prodiges les plus sublimes, les oeuvres les plus raffinées, puis autorisent leur agonie tragique, par le feu, par les eaux, plût aux hommes d'abîmer par un seul instant toute l'épopée de notre espèce, de réduire au néant leurs souvenirs laissés, et qu'il nous plaise à nous d'imposer une fin tragique au monde, oui la mort est la forme sublime des arts, mais il faut l'âme poète, jusqu'au dernier degré poète, pour l'apercevoir

Le 05 juin 2024 à 18:17:24 :

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> > > C'est noté merci

> > > Et en revue ?

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> > Quelle revue y a-t-il encore à éditer en poésie ? Tout a déjà été écrit, notre langue n'est plus capable de vers, l'époque est sèche, morte, qui d'entre nous, ici, a suffisamment vécu la faim et la guerre, a vu la mort, connu l'amour, pour ne composer ne serait-ce qu'une strophe ? Finito

>

> Il doit rester quelques bricoles à écrire sur l'ennui et sur l'injustice que nous font les femmes en nous skipant sur Tindeur

Des sujets sans importance, vides, incapables de faire surgir les belles lettres, quelle pauvre terre pour les racines d'un poète, tout est fini, tout, jusqu'à demain, où de nos ombres, de nos caveaux putrides, surgiront la littérature nouvelle, nos morts, nos vices, seront le départ des écrivains prochains, mais de nous-mêmes, il n'y aura rien

Chaud khey tu es séquestré dans la forme absolue de la détresse
La mort des arts est une prophétie auto réalisatrice

L'art trouve encore ses expressions les plus sublimes dans le feu et la mort, que vaut une cathédrale, bâtie à dos d'homme, à la force des siècles, devant son incendie spectaculaire, devant sa flèche brûlante écroulée sur son parvis, rien, la construction ne vaut sa beauté que par la destruction qu'elle permet, moi qui suis chasseur, moi qui ai tué, vraiment tué, des bêtes vivantes, je ne puis trouver de forme plus sublime que dans ses entrailles ravagées par mes plombs, par son agonie lente, par le couteau finalement enfoncé dans ses plaintes, et c'est pourquoi je ne crois pas l'art encore mort, pas tant qu'il y aura encore, quelque part, un être à détruire

"La beauté c'est la mort"
Mais qui est l'artiste là dedans ?

Dieu et son outil, son renfort, nos mains, qui permettent les prodiges les plus sublimes, les oeuvres les plus raffinées, puis autorisent leur agonie tragique, par le feu, par les eaux, plût aux hommes d'abîmer par un seul instant toute l'épopée de notre espèce, de réduire au néant leurs souvenirs laissés, et qu'il nous plaise à nous d'imposer une fin tragique au monde, oui la mort est la forme sublime des arts, mais il faut l'âme poète, jusqu'au dernier degré poète, pour l'apercevoir

Oh non pas le retour du Dieu artiste...

Mauvaise manip

L'Academie des Jeux Floraux disais-je

Ça permet de se tenir au courant des tendances